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Olga Givernet Mari
Olga Givernet Mari

Olga Givernet Mari – Le chiffre 42 est mon âge. Il y a deux filles et ma femme et moi sommes mariés. Originaire des Yvelines en région parisienne, j’y ai passé mes années de formation. C’est là que j’ai reçu mon éducation publique.

Mon père est homme d’affaires et ingénieur chimiste du Puy-en-Velay ; ma mère est psychologue scolaire à l’Education Nationale. Nous étions mariés à la naissance. Mon cadet de deux ans, mon frère était l’associé de service d’un menuisier.

J’ai ensuite obtenu un baccalauréat scientifique avant de poursuivre des études d’ingénieur en informatique et électronique au niveau universitaire. En plus de ma maîtrise ès sciences, je suis titulaire d’un baccalauréat ès sciences en ingénierie.

Le second a une renommée bien plus internationale. Mon stage chez Renault Trucks à Lyon est la pierre angulaire de mon programme Bac + 5. Là, j’ai épousé mon âme sœur. Après la fin de notre stage en 2004, au lieu d’accepter un poste de consultant ou un CDD, nous avons choisi de partir à l’aventure en Nouvelle-Zélande.

Nous obtenons un VVT, qui est un visa vacances-travail, puis nous achetons des billets d’avion et réservons une auberge de jeunesse pour deux nuits. Ils nous ont aidés à trouver un colocataire, nous ont acheté une voiture et un téléphone. Après quatre mois de petits boulots, nous avons chacun obtenu un emploi en rapport direct avec notre formation.

​Air New Zealand, la compagnie aérienne nationale du pays, m’a recruté. J’ai débuté comme ingénieur avionique en rejoignant le bureau d’études, puis j’ai gravi les échelons jusqu’à devenir chef de projet. Nous avons profité au maximum de notre temps de vacances limité – seulement trois semaines par an – en voyageant.

J’ai eu le choix entre Toulouse et Genève lorsque nous avons décidé de revenir trois ans plus tard, en 2007. La diversité du paysage culturel et le relief montagneux de Genève m’ont séduit. J’ai pu maintenir ce lien avec la communauté mondiale après avoir été bilingue anglais et français.

​Bien que nous ayons déménagé deux fois, nous n’avons jamais quitté Saint-Genis, où nous avons établi notre maison. À l’aéroport de Genève, j’ai pu accéder à un poste d’expert en aménagement intérieur d’avions privés, passant du bureau d’études au service commercial. Je travaille dans le secteur de l’aérospatiale depuis près d’une décennie, occupant plusieurs postes à responsabilité.

Les premiers pas pour devenir politiquement actif

Lorsque mes enfants sont entrés à l’école, j’ai pris le relais en tant que parent délégué. C’est l’année où les nouveaux rythmes scolaires se mettent en place ; nous avons eu l’occasion de collaborer avec la faculté et les équipes municipales à ce sujet.

C’est l’éveil politique qui survient après avoir regardé Borgen, une série de trois saisons qui suit le parcours politique d’une femme puissante et autonome. Je suis devenue conseillère municipale à Saint-Genis, spécialisée dans l’intercommunalité et le transfrontalier, car je souhaitais continuer à m’impliquer dans les décisions locales.

​Député de la circonscription de l’Ain depuis 2017

En avril 2016, je suis devenu membre du mouvement En Marche d’Emmanuel Macron après avoir participé à une première élection législative partielle sans m’identifier politiquement. Aux élections législatives de 2017, La République en marche ! m’a investi comme candidat au 3ème siège de l’Ain.

Au deuxième tour, j’ai battu la députée en exercice, Stéphanie Pernod-Beaudon, avec 61,86 % des voix, après avoir obtenu 45,30 % au premier tour.Au cours de mon mandat initial, j’ai occupé les postes de vice-président de la Commission d’évaluation et de contrôle des politiques publiques et de membre de la Commission des affaires étrangères.

En allant à contre-courant de la tendance nationale, les habitants de la 3ème circonscription se sont plus largement organisés, et j’ai été réélu en juin 2022 avec 58,72% des suffrages, soit plus de 2000 voix de plus qu’en 2017.Afin de continuer à représenter mes électeurs au-delà des frontières internationales, j’ai décidé de rester au Comité des affaires étrangères.

De plus, je suis membre de l’Office parlementaire pour l’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST), un organisme bipartisan dont la mission et la structure scientifiques reflètent mon propre parcours politique et professionnel.

J’ai 35 ans. Mes filles ont six et huit ans et je suis une femme mariée. Originaire des Yvelines en région parisienne, j’y ai passé mes années de formation. C’est là que j’ai reçu mon éducation publique. C’est un Baccalauréat Scientifique que j’ai obtenu. Un psychologue de l’éducation nationale et un père entrepreneur m’ont élevé.

Ma mère avait une formation en génie chimique. Les partenaires menuisiers de service étaient mon jeune frère et moi, âgés de deux ans d’écart. Il est aujourd’hui un homme marié et père d’un enfant en passe de devenir gestionnaire d’actifs techniques.

Après avoir terminé mes études de premier cycle, j’ai obtenu un diplôme d’ingénieur avec une concentration en informatique et électronique. Mon stage chez Renault Trucks à Lyon m’a servi de validation pour mon programme Bac +5.

Là, j’ai épousé mon âme sœur. Après la fin de notre stage en 2004, nous avons pensé qu’un voyage à Auckland, en Nouvelle-Zélande, serait plus notre style. Nous obtenons un VVT, ou Working Hisa de vacances. Nous avons chacun obtenu un emploi en rapport avec notre formation après quatre mois de petits boulots.

Air New Zealand, la compagnie aérienne nationale du pays, m’a recruté. J’ai débuté comme ingénieur avionique en rejoignant le bureau d’études, puis j’ai gravi les échelons jusqu’à devenir chef de projet. L’atmosphère au centre des Alpes et la variété des cultures à Genève m’ont captivé lorsque nous avons décidé d’y retourner après trois ans. J’ai pu maintenir ce lien avec la communauté mondiale après avoir été bilingue anglais et français.

Saint Genis Pouilly est mon chez-moi. Après avoir travaillé au bureau d’études puis au service commercial, j’ai pu décrocher un emploi à l’aéroport de Genève en tant qu’architecte d’intérieur spécialisé dans les jets privés. Ainsi, pendant près d’une décennie, j’ai été cadre dans le secteur aéronautique.

Lorsque mes enfants sont entrés à l’école, j’ai pris le relais en tant que parent délégué. C’est l’année où les nouveaux rythmes scolaires se mettent en place ; nous avons eu l’occasion de collaborer avec la faculté et les équipes municipales à ce sujet.

J’aspirais à maintenir mon engagement actif dans la prise de décision au niveau local, j’ai donc été conseiller municipal pour des questions impliquant plusieurs communautés et pays, puis comme conseiller régional.

Olga Givernet Mari

Tout le monde était présent à leur arrivée… Dimanche soir, après l’annonce des résultats, Olga Givernet, députée du Parti libéral de gauche (LREM), lui a adressé une invitation à la fête de la victoire des Républicains devant le centre Jean-Monnet. équipe, sympathisants, fans, mari, enfants et amis.

Plusieurs de ses adversaires, dont Fulgence Kouassi (1,67%), qui s’était présenté contre lui au premier tour des législatives, étaient également présents. Ce fut une merveilleuse rencontre ; nous avons fait connaissance cette semaine. Le législateur a exprimé l’espoir qu’ils pourraient collaborer sur des questions communes.

L’héritier de la série “Borgen”, lga Givernet, monte la garde aux portes de Genève

Un habitant du Pays de Gex s’est engagé en politique après qu’un éclair en regardant une émission de télévision l’ait inspiré à informatiser les avions. Dans l’Ain, elle est candidate à sa réélection comme députée. Sa principale préoccupation : la question des frontières internationales.

Elle prévoyait de se retrouver à mi-chemin entre les deux coutumes, avec une vue imprenable sur le plus grand centre de physique des particules au monde, l’illustre institution transfrontalière CERN. Symbole de la commune voisine de Saint-Genis-Pouilly dans le Pays de Gex, où réside la scientifique Olga Givernet (elle est ingénieure aéronautique de formation).

Sur la terrasse du complexe sportif de Maisonnex, on se réfugie du soleil de plomb. Ici, nous pouvons voir le CERN ainsi qu’une piscine où cet après-midi-là, nous avons vu un seul nageur faire des longueurs.Un stagiaire du Conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes a reconnu à Capital qu’il était responsable de la récente polémique impliquant la députée Olga Givernet, dont le véhicule était garé sur une place réservée aux personnes handicapées.

A l’hôtel régional Auvergne-Rhône-Alpes le 28 juin, pourquoi la voiture d’Olga Givernet était-elle garée sur une place réservée aux personnes handicapées ? Selon Le Progrès, la députée LREM de l’Ain, membre de l’opposition régionale, a été huée par certains de ses collègues lorsque le président Laurent Wauquiez l’a rappelée à l’ordre en pleine assemblée plénière.

Le nom de l’élu est affiché bien en évidence sur la carrosserie de sa voiture, une circonstance accablante qui l’a rendue mortifiée et l’a obligée à se livrer à une autoflagellation publique. “J’ai délégué la tâche de garer la voiture à mon stagiaire”, a-t-elle précisé, sans pour autant nier son apparente responsabilité.

“On dirait qu’il y avait une autre voiture garée là, bloquant le symbole, comme vous pouvez le voir sur la photo de l’endroit. Accepter une huée comme celle-là n’est pas facile. Cependant, un fonctionnaire doit donner le bon exemple.

” Il concède en outre que l’utilisation d’une place de stationnement pour personnes handicapées n’est pas justifiée. L’amende pour ce type de stationnement est de 135 euros, et Olga Givernet a accepté de la payer. Officiellement, il s’agit d’un délit contre l’Association Départementale d’Aide aux Personnes de l’Ain ( ADAPA).

De quoi apaiser le tumulte. Quoi qu’il en soit, au sein du Conseil régional. Pour la simple raison que certains utilisateurs de Twitter remettent ouvertement en question le récit du responsable, l’accusant d’utiliser sa “petite main” pour influencer les événements.

Ce terrible incident a bien été provoqué par un stagiaire qui était en mission d’été sur place, comme cela a été confirmé. Capital l’a retrouvé et il a ajouté qu’il avait gentiment déplacé la voiture de la députée, qu’elle avait demandée, à une courte distance du siège régional, en guise de service.

Affirmant avoir garé le véhicule d’Olga Givernet sur un emplacement réservé aux personnes handicapées, le jeune stagiaire s’excuse de son imprudence. Mes excuses.Même si cela n’a pas dissuadé la nouvelle recrue.

certains députés regrettent que ce scandale ait terni la réputation de LREM. “Olga Givernet fait conduire sa voiture par une stagiaire. Comment est-ce possible ?” L’un d’eux, qui souhaite rester anonyme, exprime des doutes sur le fait que ce type d’opération

la cession est incluse dans son contrat.

Le scandale suscite des moqueries au sein de l’entourage de Laurent Wauquiez, qui entretient des relations relativement nouvelles avec Olga Givernet : “Elle a confondu le stagiaire avec son fiancé ?”, s’interroge un proche du président. Le même interlocuteur poursuit : “Olga Givernet aurait été mieux inspirée de prendre ses responsabilités plutôt que d’abandonner”.

“Pour être honnête, cela ne me surprend pas”, a déclaré l’orateur avant de développer. Même si Olga Givernet n’envisage pas d’utiliser le parking des agents du quartier lors de son séjour à Paris, elle le fait régulièrement.

Contacté, le cabinet d’Olga Givernet nie formellement cette dernière accusation : “C’est ridicule”, remarque un proche du député. En semaine, elle se rend à l’Assemblée nationale depuis son domicile de Saint-Genis-Pouilly (Ain) en train jusqu’à Bellegarde ou en avion jusqu’à Genève, à proximité de son domicile.

Qui croit qu’elle « apprécie » le trajet d’une heure et demie jusqu’à Lyon pour laisser sa voiture au parking du Conseil Régional ?

Congé de LREM par la députée Olga GivernetLa République en marche est un parti politique avec lequel la députée de la troisième circonscription de l’Ain aimerait mettre un peu d’espace entre elle. Récupérer son rôle d’élu et revenir à une politique plus locale sont ses objectifs sans étiquette.

Pour justifier son départ de La République en marche, Olga Givernet utilise également l’expression tendance « excès politique », courante dans le monde des partis politiques. Le coût d’une victoire politique est si élevé. Nous devons continuer, raviver l’énergie originelle qui était la nôtre au début et réaliser le rêve révolutionnaire que j’ai depuis 2016.

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