Nora Hamzawi Mari – Nora Hamzawi, comédienne et comédienne, fera son deuxième one-woman en direct du Casino de Paris sur TMC le mercredi 26 janvier à 21h15. L’occasion d’en apprendre davantage sur la vie privée de l’ancien Grand Chroniqueur du Journal et du Quotidien.
Même si elle fait rire toute la France avec ses sketchs sur sa vie de célibataire et sa relation loufoque, Nora Hamzawi n’hésite pas à souligner que tout cela n’est qu’un acte et qu’elle n’a jamais raconté sa vie de cette façon. De plus, le comique de 38 ans est très privé sur sa vie personnelle. Elle est mère d’un garçon de cinq ans, mais elle ne s’est jamais identifiée publiquement, ni son fils.
En couple depuis 16 ans, Nora Hamzawi…
Si l’on sait peu de choses sur la famille de Nora Hamzaoui, elle n’hésite pas à parler de son mari et de ses enfants et de la joie qu’ils lui apportent. Même si elle n’est devenue largement connue qu’en 2009, l’actrice et comédienne d’origine syrienne a déjà accompli beaucoup de choses.
Ancienne journaliste de France Inter, du Grand journal et du Quotidien de Yann Barthès, elle a également écrit plusieurs bandes dessinées et donné de nombreux concerts solo. Le cinéaste a fait ses preuves dans de nombreux longs métrages, dont Doubles Vies d’Olivier Assayas et le long métrage de son frère Amro Hamzawi, Éléonore. Et au travail comme à la maison, la jeune maman est soutenue par son cher et tendre compagnon.
et mère d’un jeune garçon de cinq ans.
Dans ses sketchs, Nora Hamzawi se moque fréquemment des hommes qui laissent leur femme s’occuper de toutes les tâches ménagères et de la garde des enfants. Mais son ami ne se sent pas menacé dans la vraie vie. La jeune femme avait confié à son auditrice attentive : “J’ai eu la bonne idée de sortir avec quelqu’un d’intelligent et qui a un certain sens de l’humour et une certaine autodérision”.
En effet, de leur amour est né un petit garçon en 2017. Il s’est produit quelque chose de dramatique qui a changé leur vie et renforcé leur amour l’un pour l’autre. Le fait qu’elle aime une personne plus que quiconque et de manière indestructible a un impact profond sur la vie de Nora Hamzawi.
Le 7 février, Nora Hamzawi revenait dans Quotidien pour présenter sa chronique. Et l’humoriste a été interloqué de voir un jeune homme monter sur la table pour annoncer sa flamme.
Chaque semaine, Yann Barthès et son équipe de Quotidien accueillent Nora Hamzawi en direct pour une édition jeunesse du magazine. L’humoriste s’est ainsi donné la responsabilité d’apporter des réponses humoristiques aux questions des jeunes esprits curieux.
La chronique de la jeune femme du jour 7 février est consacrée aux petits maux provoqués par le froid et surtout par la neige qui, grâce à la météo, a transformé la capitale nationale en une véritable station de ski.
⋙ L’émission TMC de Nora Hamzawi était un hachoir à sec.
En effet, après le post humoristique de Nora Hamzawi, Yann Barthès espérait la surprendre avec quelque chose qui la ferait éclater de rire. L’équipe de Quotidien a croisé un jeune homme visiblement fou de bande dessinée le 18 janvier, alors que Paris était en pleine fashion week. L’animateur de TMC est notoirement coquet avec son présentateur de JT, il a donc invité le mannequin de 22 ans Valentin Caron à apparaître dans l’émission.
Ce dernier n’est pas arrivé les mains vides par peur. Le jeune homme a peut-être oublié le bouquet de fleurs à cause de la neige, mais il souhaitait quand même écrire un poème pour exprimer ses sentiments. Je serai toujours ton gigolo et tu seras toujours mon couguar, peu importe le nombre d’années qui s’écoulent entre nous. Je laisserai ces salauds tomber amoureux de toi, Nora, et je supprimerai toutes mes correspondances sur Tinder.
Dis à Nora, espères-tu un garçon ou une fille ? Demandez à Nora : « Existe-t-il encore une place pour moi dans votre cœur ? » a-t-il ensuite annoncé devant les mineurs en colère de Nora Hamzawi. Et cette dernière a promis de riposter par les siens la semaine prochaine, à temps pour la Saint-Valentin.
Nora Hamzawi, la trentième invitée de notre podcast “Revue”, a hâte de remonter sur scène. En attendant, elle continue ses sketchs sur France Inter et sort son deuxième livre.
Elle est volubile et provocante, et elle est la meilleure pour décoder nos névroses sur scène. Ses chroniques mordantes et distillées se retrouvent sur les plateaux de France Inter ou du Quotidien, et ses lecteurs s’identifient volontiers à elle. À 37 ans, Nora Hamzawi nous a l’habitude de s’auto-psychanalyser sur l’autel de sa génération, née dans les années 1980.
Vingt-cinq ans après le début de la thérapie (dix ans au total), elle a publié 35 livres, dont 15 avant l’avènement d’Internet (éd. Mazarine). Un récit de sa vie avant les téléphones portables, Instagram, les bouteilles d’alcool et Spritz a été rédigé.
Figaro, Madame – C’était plein d’humour de repenser à ces premiers pas sur le tapis rouge des César. Charlotte Gainsbourg, Guillaume Canet, Sophie Marceau… Vous souvenez-vous de la première fois que vous avez vu un tapis rouge ? R. Nora Hamzawi. – Je crois qu’officiellement cela aurait dû avoir lieu à Venise pour le film Double vie d’Olivier Assayas. Et c’était vraiment ridicule ; cela n’avait aucun sens.
C’était assez incroyable, avec le fait que c’était ma première fois à Venise et tout, et le fait qu’il y avait aussi quelque chose d’amusant et de magique à vivre hors des sentiers battus. Je portais une robe avec beaucoup de décolleté, et je mettais des petits trucs de scotch dessus pour qu’elle ne remonte pas, donc j’étais sous beaucoup de pression pour me dire : « Ce n’est pas grave si je me retrouver nue pour la première fois dans une robe de tapis rouge.”
Anne-Sophie Pic, notre cheffe, nous raconte qu’elle réalise une “cérémonie du thé” pour se détendre. Y a-t-il quelque chose qui vous calme ou vous ressource ? Je n’aime vraiment pas cuisiner. C’est étrange puisque la façon de penser ces questions a changé à la lumière de ce que l’on voit. Avant, j’aurais dit de rester à la maison avec la famille et de cuisiner.
Sauf que ça fait un a que je fais ça… Alors ça commence à me serrer, et ça ne me dérange plus. Même s’il n’est pas surprenant que je sois un grand cinéphile et que j’ai regardé beaucoup de films tout au long de cet Mais en règle générale, je dirais quand même écouter de la musique, la radio, tout ce qui m’empêche d’être face à une image m’apaise pas mate période. Préparez-le néanmoins.
Je cuisine principalement des plats végétariens car je mange de moins en moins de viande car l’odeur de cuisson de la viande me rend malade. Mon plat signature est un curry de lentilles et d’oignons verts. Pas de viande dans ce chili non plus. Je suis plutôt bon en cuisine.
Après un an de pandémie, la vulnérabilité des adolescents a été portée à notre attention par des pédagogues comme Marie Rose Moro, professeur de psychiatrie. Quand tu avais 15 ans, comment était ta vie ? Nous étions bien plus insouciants que les jeunes d’aujourd’hui puisque nous avions beaucoup moins accès à l’information, à la stimulation et aux médias sociaux.
Ce qui change vraiment, c’est notre perspective sur le temps, la temporalité, l’attente, le long terme et même l’amour. Lorsque nous sommes tombés amoureux au premier regard, cela a fait battre notre cœur et nous ne découvrirons peut-être rien avant un ou deux jours (si c’était le week-end).
Nous avons eu beaucoup de temps pour rêver et planifier l’avenir. J’ai passé beaucoup de temps dans ce monde imaginaire, où j’étais sans doute moins militant et moins conscient que les adolescents d’aujourd’hui. En vérité, j’aspire à la liberté et à l’autonomie depuis l’âge de quatre ans et demi.
Quand j’avais 15 ans, je pense que la crise de l’adolescence avait atteint pour moi son paroxysme. J’avais très envie d’être libre, de chez moi. Je mettais certaines choses de côté en me disant que je les achèterais plus tard. Je rêvais de mon futur appartement, m’imaginant y disposer des vases avec des fleurs. Je voulais désespérément être un adulte.
Faiblesse, anxiété, insomnie, sentiment de perte de contrôle… On a beaucoup écrit sur l’incroyable influence de la respiration sur la somnolence et le sommeil. Avez-vous une bonne nuit de sommeil ? En général, je suis le genre de personne qui dort assez bien et qui peut s’assoupir pratiquement n’importe où. Vous savez, le fou qui s’endort en deux secondes chrono. Pas de soucis ici ; J’en ai assez de dormir tous les jours.