Nicole Ferroni Enfant – Le journal de 20 heures de France 2 du mardi 5 mai mettra en vedette l’humoriste et comédienne Nicole Ferroni.Le mardi 5 mai à 20 heures, le JT de 20 heures de France 2 proposera un entretien avec l’actrice et comédienne Nicole Ferroni, qui parlera de son incarcération « sportive ». En effet, elle est incarcérée aux côtés de deux copains et de leurs quatre enfants.
Je n’ai pas d’enfants, alors je vois à quel point les parents peuvent être héroïques ou naïfs, ajoute-t-elle. Nicole Ferroni fait l’éloge des mères qui travaillent car “je les admire vraiment pour pouvoir travailler et enseigner à leurs enfants”.
Un conte du meuble à chaussures
Elle a été incarcérée pour ses écrits sur France Inter, mais elle n’a pas arrêté de tenir sa chronique hebdomadaire à la radio. Elle affirme qu’elle enregistre dans un placard à chaussures parce que c’est “le seul endroit de la maison où l’on peut avoir un son décent.
et parce que les jetés suspendus contribuent à créer un environnement acoustique plus “terne”. Ce studio, dit-elle, est « le meilleur studio de radio du monde ». L’éducatrice professionnelle Nicole Ferroni estime que “ce sera très compliqué” de reprendre les cours le 11 mai.
À tous les représentants du gouvernement : la gentillesse devrait être aussi automatique que votre signature. Le 29 janvier 2020, sur France Inter, Nicole Ferroni diffusera une tirade cinglante. La bande dessinée utilise constamment Nora Poulain comme exemple de quelqu’un qui ne gagne que de l’argent liquide.
Cette mère d’un enfant de 8 ans atteint d’une maladie génétique qui n’a pas encore été diagnostiquée se bat contre l’assurance maladie « à la manière de la paperasse à mains nues », comme elle l’a décrit dans son premier message en janvier 2019. La tragique nouvelle est que Haize est décédé le 6 janvier 2020.
C’était une réponse “technique”.
Nora a tout fait correctement « pour ne pas ajouter de paperasse à sa douleur », comme le dit Nicole Ferroni. Pour alerter la CAF (caisse d’allocations familiales ; parfois qualifiée de “choc ante facial vu la situation”), elle leur a écrit un mail. Lorsque les prestations ont finalement pris fin le mois suivant, elle a reçu un préavis deux jours plus tard.
Ce qui l’a vraiment mise sous la peau, c’est la façon dont l’e-mail a été rédigé ; c’était extrêmement officiel, administratif et sans émotion et ne fournissait aucun détail sur les options juridiques de la mère. Aussi, « ni technique ni conseil », intervient Nicole Ferroni, qui ne s’en prend pas à la « dame du clavier » mais plutôt à ceux qui, « à la tête de la CAF », envisageaient cette réponse sans aucun amour. D’accord, et alors ? Pas de membres, pas de chocolat, pas d’avantages sociaux et la perte de son enfant, dit-elle.
Une réponse ministérielle
Nicole Ferroni a posé une question sur Twitter à Sophie Cluzel, qui a répondu : “Oui, ces réponses automatiques et déshumanisées sont insupportables.” L’attention et l’action rapide de l’administration sont particulièrement nécessaires auprès des plus démunis d’entre nous.
La secrétaire d’État chargée du Handicap assure être « en contact avec Nora pour travailler sur ces dossiers ». Vous l’avez fait, alors prenez le temps de vous détendre avant votre grand jour : Nora doit avoir 16 livres d’idées et de conseils. La pointe de l’iceberg révélée par mes écrits n’est qu’un flocon de neige. J’apporte donc des couvertures de survie et des croissants au cas où.”
Ce spectacle faisait partie de la tournée “Je t’offre un vers” de l’humoriste.
Mercredi au Cercle de l’Harmonie, l’actrice, comédienne et ex-chroniqueuse de France Inter Nicole Ferroni est apparue dans le cadre d’une série d’émissions gratuites. C’est ma visite guidée. Jusqu’au 5 mai, je vous donne un vers. Alors la jeune Aubagnaise, d’une quarantaine d’années, s’appuie sur les comptoirs pour discuter d’Amour capital M, à la manière des Marseillais.
Le comique est resté devant un bureau pendant 45 minutes d’affilée, délivrant une série de stéréotypes et de moqueries sudistes, dont un sur son père “qui est arrivé avec un Adepte de l’amour dur, elle a fait sa déclaration de dévouement à Marseille « contre vents et marées », devant une salle remplie de monde.
La comique, après avoir coupé son short sur le balcon du théâtre du Gymnase en construction avec lequel elle tourne “hors les murs”, s’est tournée vers la poésie en réimaginant le mythe des fondateurs de Phocée, Gyptis et Protis, comme un conte de Pastis et Panisse.
Elle a repris la chanson. En réponse à la chanson très populaire “Bande organisée” sur une mélodie d’opéra, le groupe Iam a interprété pour la première fois une version féminine de la chanson dans les années 1980, la refondant sous le nom de.
Je danse le Miaou”. Nicole Ferroni a conclu par un hommage à la cagole, personnage universellement reconnaissable, sans pour autant oublier la Bonne Mère. Près de 300 personnes étaient présentes pour l’événement.
À Casablanca, au Maroc, Nicole Ferroni est entrée dans le monde le 19 mars. Elle est née au Maroc d’un père militaire et y a passé sa petite enfance avant de s’installer à Aubagne à l’âge de sept ans.
Nicole a ensuite obtenu une licence en sciences biologiques et de la terre puis a enseigné dans un lycée des quartiers nord de Marseille et un autre lycée d’Aix-en-Provence.
Très tôt attirée par la scène, elle présente en 2010 L’Oeuf, la poule ou Nicole ?, un one-woman show à Marseille, forte de son CV d’emplois à temps partiel.Lorsque Nicole décide de quitter son travail et de partir à Paris l’année suivante, elle devient rapidement un nom connu grâce à son rôle dans la comédie de France 2 On n’demande qu’à en rizer.
En raison de sa marque unique de comédie, de son accent et de sa prestation, elle a rapidement été élevée au rang de l’une des principales bandes dessinées de la série. En 2013, elle rejoint l’équipe de la matinale de France Inter en tant que chroniqueuse, et en 2015, elle devient membre du casting de Si tu écoutes, j’annule tout, rebaptisé Par Jupiter ! en 2017. Ça ne sortira pas d’ici ! sur France 2 avec Michel Cymes, qu’elle rejoint en 2018.
Avec Léa Salamé et Nicolas Demorand, la relation de Nicole Ferroni a pris fin mercredi matin. L’humoriste annonce sur France Inter le 30 juin “This Is It” : “En vérité je vous mens, ce n’est pas ma dernière chronique de la saison, c’est ma dernière chronique, point barre”. Il nous a fallu sept ans et 344 chroniques matinales sur France Inter pour ne plus pouvoir nous aimer, mais quand nous l’avons finalement fait, nous avons mis fin à notre relation.
Une annonce pour le moins inattendue, faite au milieu d’une chronique dans le plus pur style Ferroni dans laquelle elle rendait un bel hommage à toute l’équipe des “makers” de la matinale, qui fait suite à une décision clairement “unilatérale” » de la rédaction de France Inter, comme elle l’explique dans un long post publié le lendemain sur Facebook.
Ce choix a été fait “sans larmes ni ressentiment”, et le comique revient sur ses sept années passées à essayer de faire rire les gens des bizarreries de la vie politique française tout en planifiant l’avenir. On ne peut nier à quel point l’émission matinale manquera de son esprit acerbe, de son dévouement inébranlable et de sa prestation de “mitrailleuse”.
Votre émission du mercredi matin sur France Inter était le jour où vous avez annoncé votre départ. Quand et comment êtes-vous arrivé à cette conclusion ?
Parce que le « comment » ne dépend pas entièrement de moi, je ne peux pas donner de réponse définitive. Je n’ai pas été re-signé par France Inter pour la saison à venir. Je ne peux pas non plus revenir en arrière et apprendre tous les détails du processus qui a conduit à ce résultat.
En revanche, j’ai l’impression que le chemin que j’ai parcouru ressemble à celui d’un couple en difficulté : on s’aime mais on ne se reconnaît pas, on a du mal à se comprendre et on n’arrive pas à se rappeler pourquoi on convenu d’être ensemble en premier lieu. J’avais retouché pour France Inter. Étant donné que tel était effectivement le cas, je me suis convaincu qu’il valait mieux ne pas persister.
Je me demandais pourquoi votre partenariat avec France Inter avait pris fin.
Le format des chroniques était nettement plus préoccupant que leur contenu réel. Certains se sont plaints du fait que c’était « trop compliqué », qu’il y avait « trop de rebondissements » et que le « côté déconcertant » avait été perdu. En fait, je suis dans une certaine mesure d’accord avec cette évaluation : j’ai écrit plusieurs éditoriaux qui n’étaient… pas drôles, ce qui est dévastateur pour un comédien.
En creusant davantage dans les faits sociaux – et en réalisant que certaines choses n’ont pas changé depuis sept ans… – il m’a peut-être été plus difficile de faire rire les autres, tout comme j’ai eu plus de mal à rire de l’état actuel des choses.
À quoi sert une chronique humoristique si elle est déplacée à 8 h 55, qu’aucun invité n’est autorisé et que l’année suivante est une année d’élection présidentielle ?
Cela a du sens tant que le comique est un funambule et non un somnambule (même si dormir pendant les élections est également une option si vous voulez éviter d’avoir à voter). Je trouve formidable que vous ayez réussi la tâche difficile de garder une attitude positive et de répandre la joie tout en communiquant des informations importantes dans une période de bouleversement politique et des enjeux élevés que cela implique.
Rétrospectivement, je penche pour l’opinion selon laquelle avoir « trop » de sens est la plus grande menace pour un comédien à une telle époque. L’ironie du fait que ses propos soient sérieusement pris en considération malgré son statut comique.
Parfois, les internautes disent des choses comme : « D’accord, Nicole, pour qui devrions-nous voter ? et je devrai leur donner une recommandation. Que quelqu’un me demande cela était à la fois attendu et troublant ; attendu car j’analyse la machine politique tous les mercredis ; et troublant parce que j’avais soudain l’impression d’avoir trop de pouvoir.
Tant que nous pouvons éviter d’y investir trop d’argent, je pense que ce créneau continuera à avoir du sens. L’indépendance qu’offre cette chronique humoristique est une autre raison pour laquelle elle restera pertinente quel que soit le locataire. Avoir un créneau quotidien où on peut dire ce qu’on veut, comme on veut, est un indicateur positif, dit la femme qui n’est plus là (rires).