
Nicolas Chenivesse Parents – D’Imbert de Bathernay, conseiller des rois de France, à l’artiste autodidacte Facteur Cheval, le château a accueilli de nombreux personnages historiques au fil des siècles.Le château de Charmes est unique en ce sens qu’il est le seul château privé, meublé et habité de toute la Drôme qui accueille les visiteurs.
L’imposante structure a un design unique en son genre qui reflète les nombreuses époques qui l’ont façonné et honore les nombreuses familles éminentes qui y ont vécu et contribué au développement de notre nation.
Le plus notable des propriétaires de la propriété s’appelait Imbert de Bathernay.
Sa compagnie comprenait des sommités de la Renaissance comme Léonard de Vinci, avec qui il se lia d’amitié, et les enfants de Louis XI, Charles VIII, Louis XII et François Ier, qu’il aida à élever.Les enfants d’Imbert, qui ont conseillé la famille royale française, et sa fille, Diane de Poitiers, qui a été la favorite du roi pendant des décennies, ne sont que deux exemples des nombreux membres de la noblesse française liés à la maison de Bathernay.
La conception du château proclame fièrement ses liens historiques avec notre nation.
Après avoir été un fort au Moyen Age, le donjon est reconstruit au XIe siècle, et au XVIe siècle, grâce à l’entretien minutieux de Jacques Coste de Simiane, ami proche de Nicolas Fouquet qui dessina les jardins d’ornement de Charmes, il s’était transformé en un élégant palais. Le propriétaire le plus notable était un certain Imbert de Bathernay. Il était l’ami de Léonard de Vinci et le bras droit de quatre rois. Il était un personnage important au début de la Renaissance.
Il a participé à l’éducation des enfants de Louis XI, Charles VIII, Louis XII et François Ier, tous rencontrés au château.Trois décennies plus tard, passionnés de patrimoine, Pierre (59 ans) et Nicolas (21 ans) s’uniront pour sauver le Château de Charme. Les deux hommes sont issus de familles importantes de la région jusqu’à la Révolution française.
Depuis, Nicolas Chenivesse est à la tête de cet effort, se consacrant pleinement à la restauration de ce monument historique.Le domaine accueille un public averti et curieux intéressé par les premières restaurations du bâtiment et l’histoire cachée dans ses murs. Après le Palais Idéal du Facteur Cheval, le Château de Charmes est devenu la deuxième attraction touristique la plus fréquentée du territoire.
Il est chez lui maintenant. Ce n’est pas un style linguistique particulier. Nicolas Chenivesse, 24 ans, est propriétaire du château de Charmes-sur-l’Herbasse depuis trois ans. Ce dont lui et son ami de 59 ans, Pierre Dussert de Rougemont, sont à la fois fiers et responsables. Deux familles apparentées réunies par un amour commun de l’histoire.
Nicolas souligne que « Pierre est un descendant de la famille Béranger du Gua, qui occupa ce château aux XVIIe et XVIIIe siècles ». Il tombe amoureux de la structure médiévale en travaillant à la restauration d’une maison bourgeoise du XVIIIe siècle dans le quartier Les Moulins de Saint-Donat. Car ce descendant aristocratique beaujolais, qui a récemment perdu ses parents, se décrit avant tout comme un passionné d’histoire. Il a également lancé sa propre société de conseil dans ce domaine.
Né le 24 octobre 1998 à Lyon, Auvergne-Rhône-Alpes, France, Nicolas Chenivesse est un propriétaire-restaurateur français. Nicolas Chenivesse a obtenu son BTS en Design Graphique de l’Ecole D’Art Presquile Lyon et son diplôme de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts en 2017.
Selon le wiki de Nicolas Chenivesse sur Save Daughters, il travaille comme vendeur d’objets d’art pour Les Puces Du Canal depuis 2015 et continue dans ce rôle aujourd’hui. Il est également bien connu pour son rôle de propriétaire et restaurateur du Château de Charmes, qu’il a rénové en un lieu à couper le souffle pour les mariages et autres événements.
Le wiki de Nicolas Chenivesse sur le site
Comme Nicolas Chenivesse est privé de sa vie familiale, y compris de ses filles, les informations sur ses parents et ses frères et sœurs ne sont pas accessibles au public. Cette section sera mise à jour dès que nous pourrons obtenir ces informations.
Il y a des spéculations selon lesquelles le propriétaire-restaurateur français Nicolas Chenivesse est en couple, mais nous ne pouvons pas en être sûrs car son profil Instagram est secret, il est donc officiellement célibataire. , selon sa page wiki sur Save Daughters.
Dans ce blog sur les parents de Nicolas Chenivesse, j’aimerais entendre vos pensées. De plus, nous pensons que vous trouverez l’histoire derrière le nom “Save Daughters” très intéressante, alors veuillez consulter notre page À propos de nous. Amusez-vous à lire!
I. Louis de Chenivesse, dont plusieurs ramifications se sont développées. Sa vie s’étale sur le XVIe siècle. Louis de Chenivesse, père et fils, marchands du rieu morenc, obtient le 1er novembre 1563 le droit de résider et de commercer dans la ville de Bourg Saint Andéol (Claude Ganhat, non royal Bourg Saint Andéol AD).
Marié à Madeleine Benoyt, dont nous n’avons pas encore pu déterminer l’origine. Il y avait une famille Benoyt à Saint Maurice d’Ibie à cette époque ; un certain Claude de Benoyt était coseigneur de Saint Montan au début du XVIe siècle. L’arbre généalogique des Chenivesse est probablement assez long, mais les descendants suivants ont été identifiés de manière fiable jusqu’à présent :
Le château de Charmes semblait condamné depuis son perchoir au sommet de la colline. En raison de la négligence, les habitants l’avaient presque complètement oublié. Cependant, un nouveau propriétaire, un châtelain pas comme les autres, s’est installé il y a quatre ans. Nicolas Chenivesse, tout juste âgé de 27 ans, a sauvé de l’oubli une forteresse du XIe siècle. Le château, bien qu’étant un monument historique, avait été abandonné, pillé et vandalisé pendant près de 15 ans.
Quand il avait 21 ans, les parents de l’homme ont été brutalement assassinés et il a investi tout ce qu’il avait pour protéger leur héritage de la perte. Il a restauré et remodelé dix pièces en seulement cinq ans. Son prochain défi sera de redonner vie à la chapelle du château. Pour ce faire, il déclenche des feux d’artifice près de toutes les églises de la région.
Aujourd’hui, il a mis au jour un tableau qui se trouvait dans le château depuis le XVIIe siècle. S’il n’a pas les moyens de l’acheter à nouveau, il demandera la permission d’en faire une copie. Le jeune homme peut compter sur une armée de bénévoles pour l’aider dans ses besoins quotidiens. Les citoyens et les élus l’ont accueilli à bras ouverts. Les détails sont à retrouver dans la vidéo jointe. Reportage sur TF1 Blampain, C., & Gereys, B.
Bien que la partie nord du département de la Drôme soit moins ensoleillée et moins connue que la partie sud, le nouveau patron de l’office du tourisme de la Drôme, Franck Soulignac, a découvert lors de ses visites aux élus locaux le 7 janvier dernier qu’elle recèle un potentiel touristique qui vaut le détour. DEVIATION.
La ville de Charmes-sur-l’Herbasse, et la vallée qui s’élève pour la rencontrer à ses pieds, y sont dominées par le château, qui a été construit au XIIe siècle à l’emplacement d’une ancienne tour et enceinte en bois. Même s’il n’est pas le château de la Drôme le plus connu, Franck Soulignac a découvert lors de sa visite le 7 que son histoire valait le détour.
Pour mieux se familiariser avec les ressources et potentialités de cette portion du territoire moins sollicitée par les touristes que, peut-être, la moitié sud du pays, le nouveau président de l’ADT de la Drôme est parti en tournée dans la partie nord du département sous la direction de Bruno Domenach.
La renaissance du château
Selon Nicolas Chenivesse, qui a acheté la propriété il y a quatre ans, Imbert de Batarnay, grand-père de Diane de Poitiers et conseiller de confiance de plusieurs monarques, dont Louis X, Charles VIII, Louis XII et François Ier, possédait autrefois le château de Charmes. Après avoir été rénové par plusieurs propriétaires au cours des siècles qui ont suivi la Renaissance, le bâtiment est finalement tombé en ruine et a été vandalisé, pillé et saccagé.
Le nouveau propriétaire et ses associés ont fait pression pour la rénovation du site, et avec l’aide de mecenas et de campagnes de crowdsourcing, le complexe de 25 unités a été ramené à la vie, avec de nouveaux meubles, des entrées sécurisées, etc. Le lieu est également disponible pour des particuliers et événements publics (réceptions de mariage, tournages de films, concerts, etc.).
Le deuxième endroit où l’équipage ADT a vérifié est beaucoup mieux connu; le célèbre Palais Idéal du Facteur Cheval a fait l’objet d’un film avec l’acteur Jacques Gamblin. Une œuvre tout aussi fascinante que bouleversante, construite pierre par pierre, jour après jour, depuis plus de trois décennies, et qui attire chaque année environ 300 000 personnes.
