Nathalie Levy Mari – Le lundi 11 septembre 2023, les fans de Canal+ pourront retrouver Nathalie Lévy dans “En Aparté” ! La journaliste fait bon usage de sa famille, notamment de sa fille Faustine et de son mari Philippe, alors qu’elle ne contribue pas à des projets télévisés. De plus, le week-end, chacun s’en tient à une routine qui lui apporte de la joie.
Une voix que les auditeurs d’En Aparté connaissent bien ! Le retour du programme phare de Nathalie Levy, dans lequel Eva Longoria n’apparaît pas, est prévu pour le lundi 11 septembre 2023. De très nombreux objets intimes des célébrités invitées sont exposés dans l’appartement où se déroule son show.
Le retrait du masque n’est cependant pas toujours pour eux une promenade de santé. “Il y a plusieurs choses : d’abord, il y a les invités qui ne veulent pas abandonner leur armure”, analysait le journaliste dans On refait la télé de mai.
Last but not least : “Qui sont dans la position, qui sont dans les composantes linguistiques.” C’est problématique car normalement nous avons autre chose à proposer au public d’une manière différente. L’animatrice aime passer du temps avec son mari Philippe et leur fille Faustine, dix ans, alors qu’elle ne travaille pas sans arrêt dans les médias.
Interrogé par nos confrères du JDD de l’année dernière, le principal intervenant a évoqué le fait que, le dimanche, lorsqu’ils étaient chez eux, chacun avançait à son rythme. Celle qui reste « le plus souvent en pyjama » a répondu : « Pas de brunch fantastique ». Une chose que tout le monde aime faire est de se réunir « le samedi soir » pour voir un bon film.
Avoir une famille n’a pas de prix.
Pour eux, la perspective de redécouvrir des œuvres du septième art via l’univers Marvel ou encore les films de Louis de Funès est un motif de satisfaction. En dehors des responsabilités de Faustine, Nathalie Lévy et sa famille aiment passer du temps au Champ-de-Mars pour se détendre et se ressourcer.
Elle avait également pour tradition de rendre visite à sa grand-mère Rosine, qui avait résidé à Montrouge avant de vivre dans le 15e arrondissement de Paris, près d’elle. Elle appréciait sa compagnie même lorsqu’elle était petite fille.
« C’était des journées vraiment ordinaires, mais nous avions une connexion merveilleuse », raconte Nathalie Lévy, qui se souvient même d’avoir appelé sa grand-mère dès le matin. À 9 h 12. Pour me sentir mieux, j’ai besoin d’entendre la voix de grand-mère.
celle-ci n’a pas répondu, l’inquiétude est montée. N°2 : l’intervenante principale a eu un malaise en rentrant chez elle. « J’aurais pu en parler à une autre », remarque Nathalie Lévy, ajoutant qu’il y a eu plusieurs dimanches similaires à celui-ci. 1. De plus, c’était son endroit où nous prenions des collations quelle que soit la météo. En 2021, à l’âge de 99 ans, il a perdu celle qui avait été son rocher pendant si longtemps.
Si elle a débuté dans la radio, ce n’est pas pour rien. Une Nathalie Lévy épanouie est aujourd’hui à la tête d'”En aparté”. Pourtant, le journaliste a avoué avoir un complexe important et choquant dans une interview au magazine “Closer” publiée le 7 avril 2023.
Nathalie Lévy aime expérimenter sa voix plus que tout autre talent. Après avoir fait ses débuts dans le milieu sur BFM Radio (2001-2005), la journaliste s’est tournée vers la télévision, plus précisément sur BFMTV, dès le lancement de la chaîne en 2005.
Elle fait partie de la famille Canal+ depuis 2021, et son plus marquante Son rôle est celui d’animateur de l’émission “En aparté”, unique parmi les émissions de journalisme car le journaliste n’est jamais vu. Si vous écoutez attentivement, vous pourrez entendre sa voix seul dans la pièce avec notre invité d’honneur aujourd’hui. Mais malgré les premières impressions, Nathalie Lévy est tout sauf friande de ce ton si particulier…
Cette belle brune de 46 ans a évoqué cette voix, qu’elle décrit comme un énorme complexe qui la suit depuis son adolescence, dans une interview publiée le 7 avril 2023 par nos confrères du magazine Closer. Notre objectif est de répondre aux normes d’un jeune qui se sent à l’aise dans ses chaussures jusqu’à l’âge de quinze ans.
La voix est trop grave et trop distinctive ; comment ne pas en être gêné ? “Et puis, avec cette voix si particulière, c’est difficile de vaciller”, a-t-il ajouté. son explication fut d’abord brève. La confiance en soi de la jeune fille qu’elle était autrefois s’est progressivement érodée. Même si Nathalie Lévy est pour l’heure satisfaite de l’évolution de ce complexe, elle avoue avoir encore du mal à s’accorder avec sa propre voix.
Me parler est gênant.
Pour aggraver les choses, sa petite bizarrerie vocale ne cesse de lui venir à l’esprit, même dans les activités quotidiennes les plus banales. a-t-elle annoncé. Autant Nathalie Lévy aime sa voix lorsqu’elle est au travail, autant elle la trouve insupportable lorsqu’elle est à la maison avec sa famille. “Quand mon conjoint s’allume. En dehors de cela, je change de chambre. “M’écouter est encore inconfortable aujourd’hui”, a-t-elle remarqué.
A noter que Nathalie Lévy est mariée depuis quelques temps et que le 10 décembre 2012, elle a donné naissance à une fille, du nom de quiom est inconnu pour le moment. La journaliste anonyme partage fréquemment des images de sa fille sur Instagram.
Nathalie Lévy décrit ses dimanches : “J’ai tendance à remettre les choses à la dernière minute car je suis une personne très active.” L’animatrice d’En aparté (Canal+) et journaliste Nathalie Lévy passe ses dimanches en famille et étudie sans relâche.
Au téléphone, Nathalie Levy nous a adressé un avertissement. Elle s’abstient de « faire quoi que ce soit de fou » le dimanche. L’heure du rendez-vous est fixée à 13h45. au lieu de 14h ou 13h30 puisqu’elle n’aime pas les nombres pairs et ronds.
Elle va jusqu’à admettre qu’elle programme un rendez-vous à 19h13. rendez-vous à Tourville, un café du 7e arrondissement, où on la voit habituellement le mardi, quelques minutes seulement avant d’enregistrer sur Canal+ son émission En aparté, qu’elle a présentée cette saison. La deuxième saison de l’événement est rendue possible par la qualité de ses invités et la créativité de leurs propos.
Avec sa décoration violette cosy et sa moquette moelleuse de la même teinte, le lieu dégage la même chaleur et la même convivialité que ses dimanches. Au premier étage de ce café, la journaliste a rédigé ses mémoires, Courage au coeur et sac au dos (Éditions du Rocher), dans lesquels elle rend hommage à sa grand-mère maternelle, Rosine, et décrit son quotidien d’aide-soignante.
L’histoire commence un dimanche. Heure : « 9h12 ». « J’aspire au son réconfortant de la voix de grand-mère », écrit Nathalie Lévy. Quelqu’un ne répond pas au téléphone. Je suis frénétique. Elle vit seule à 98 ans. Nathalie, son anxiété grandissant face au calme inquiétant, se précipite chez sa grand-mère, où elle la découvre dans les toilettes. Émotions : soulagement, étreintes et larmes. “Il y a eu d’innombrables dimanches similaires à celui-ci que j’aurais pu partager avec quelqu’un d’autre”, admet-elle, sa langue glissant.
Où réside grand-mère Rosine
Même jeune fille et même adolescente, Nathalie Lévy passait ses dimanches chez Rosine à Montrouge (Hauts-de-Seine). Vous voulez dire la chambre de la fille de sa mère ? “C’était un stand de collectionneur où je découvrais des vêtements de chaque décennie et des classeurs remplis de vieilles photographies.” “Je me suis réveillé le matin, l’odeur d’ail et d’oignon flottait dans la maison.
En courant laver la voiture de Rosine, la petite fille a fui la puanteur. Après avoir dit au revoir à Montrouge, la grand-mère s’est rendue dans le quartier de sa petite-fille à Paris, le 15e Comme le dit Nathalie Lévy, “qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, nous prenions une collation chez elle” le dimanche. Rosine est décédée en novembre 2021, à l’âge de 99 ans. Par la suite, la journaliste a parlé franchement d’elle. état d’esprit.
Une existence hypermnésique et omnisciente est quelque chose que j’aimerais vraiment.
La famille Levy affirme que leurs dimanches « commencent le samedi soir par un film familial ». Avec des plats de Funès, Francis Veber et de l’univers Marvel.
Après une longue journée, l’animatrice de 45 ans se couche et commence à travailler sur ses projets comiques. C’est pourquoi elle rassemble une pléthore de documents de lecture, notamment des livres, des coupures de presse, des définitions et synonymes de dictionnaires, ainsi qu’un arc-en-ciel de dossiers en carton colorés.
Le jour de notre rendez-vous, elle présente un dossier jaune contenant divers documents, dont un entretien avec Annie Ernaux et un reportage sur les soignants. Différent avec plusieurs pages de synonymes. « Hé, j’ai trouvé le mot « phalanstère », à quelle fréquence l’utilisez-vous ? elle s’enquiert. Pas du tout. Même si elle l’utilisera un jour ou si elle l’utilisera, elle ne le sait même pas.
Une salade de fruits rafraîchissante
Je trouve décourageant que notre mémoire soit si faible – seulement 10 % de ce que nous lisons. Oh, comme j’aspire à posséder l’hypermémoire et l’omniscience ! Familiarisez-vous avec tous les concepts, mémorisez-les. Un moyen de combler les écarts. Pourquoi? Parce que c’est le sentiment qu’a Nathalie Levy : qu’on n’est jamais assez bon, qu’il y a toujours plus à apprendre et à atteindre. Un syndrome de l’imposteur, « la tragédie de toutes les femmes » – et donc la sienne aussi.
C’est peut-être parce que son destin de journaliste échappait totalement à son contrôle. Alors qu’il étudiait le droit, ses parents voulaient qu’il reprenne la société immobilière. Elle a envisagé une école de journalisme, mais a finalement décidé de s’orienter vers le droit.
Après avoir fait ses armes en tant que stagiaire et freelance, elle s’installe finalement chez BFMTV, où elle anime de nombreux journaux télévisés pendant 18 ans.Quelques mois après le début de sa grossesse, elle était censée apparaître à l’antenne ce soir-là, mais un problème de santé se détériore.
Je l’ai envoyée aux urgences et plus tard à la salle d’opération. “J’étais absolument terrifié…”
Ce dimanche, Nathalie Lévy s’entraîne encore pour son rituel quotidien avant de se lever du lit : “Un petit-déjeuner copieux avec une salade de fruits pour laquelle je peux passer des heures à éplucher des fruits”, dit-elle en souriant. Oui elle.
Dans l’après-midi, elle, son mari et leur enfant se sont réfugiés dans le salon lumineux de l’immeuble de la rue Lecourbe, où elle est née et où elle a décroché “par pur hasard” un emploi. En bas, tout le monde travaille dur, à l’exception de Faustine, absorbée par ses devoirs.
Ils se promènent ensuite le long du Champ-de-Mars, un lieu qui revêtait une grande importance pour l’hôte durant son enfance. Elle a transmis à sa fille l’antique manège à manivelle dont se servait la journaliste lorsqu’elle était enfant. Avez-vous vu? Ce n’est pas si absurde.
