Mort Du Chat Neko – Il peut y avoir une ramification juridique à la disparition prématurée du chat de la gare Montparnasse Neko. Des accusations “d’actes de cruauté” ont été portées par la Fondation 30 Millions d’Amis contre la SNCF.
Y aura-t-il des conséquences juridiques pour le meurtre de Neko, un chat qui s’est échappé de ses maîtresses et a ensuite été écrasé à mort par un train à la gare Montparnasse de Paris début janvier ? passible d’une peine maximale de 75 000 euros et de cinq ans de prison. prison.
Pour souligner “l’abominable cruauté des faits”, le président de la Fondation, Reha Hutin, a déclaré que “l’animal était en règle car ses maîtresses avaient payé un billet pour qu’il puisse voyager légalement”. Autrement dit, c’est un voyageur de la SNCF qui a été volontairement percuté.
Une plainte a été déposée “contre la SNCF et toute personne impliquée dans la chaîne décisionnelle qui a conduit au démarrage du train, sachant qu’un chat état sous la rame pour délit de maltraitance grave ou acte de cruauté”, l’association Stéphane Lamart ” Pour la défense des droits des animaux”, a déclaré mardi.
Depuis l’annonce des circonstances de la mort de l’animal, les discussions à ce sujet ont explosé sur les réseaux sociaux. C’est d’autant plus vrai après avoir entendu l’avis de personnalités publiques comme le journaliste Hugo Clément, qui a déclaré : « le chat qui s’échappe de sa cage est un accident ». Ce n’est pas un accident si le train s’éloigne après avoir constaté qu’un chat est en dessous.
Ou, comme l’a dit le député du Nupes Aymeric Caron, “honte aux salariés de la SNCF qui ont refusé d’attendre quelques minutes que ce chat soit récupéré avant de redémarrer le train”. La cruauté envers les animaux, y compris le meurtre d’animaux de compagnie, est illégale. Là-bas, absolument rien n’a été fait pour empêcher une catastrophe.
La SNCF vérifie que toutes les mesures de sécurité ont été prises. ” L’entreprise ferroviaire avec actu Paris s’en est expliquée en disant : “Un train stationné en gare est en effet toujours alimenté en électricité et les risques d’électrocution sont réels.”
La SNCF évoque un “triste incident” et souligne qu’elle “est soucieuse de la cause animale et de la sécurité des animaux de compagnie voyageant en train et qu’il ne s’agit en aucun cas d’une situation qui laisse [la] indifférence”.
L’opinion publique a été surprise et traumatisée par la scène. Une mère et sa fille en route pour Bordeaux début janvier ont été témoins de la mort du chat familial, qui s’était échappé de sa cage de transport à la gare Montparnasse. Neko, pris de panique, se glisse sous un TGV en stationnement. Après avoir supplié les contrôleurs des chemins de fer et les agents de la SNCF de retenir le train pour qu’ils puissent le rattraper, en vain, le chat de la famille Neko a été tué juste devant eux alors que le train s’éloignait.
Sa maîtresse exige une rétribution. En janvier de cette année, le chat de Georgia a été tué sous ses yeux par un train quittant la gare Montparnasse de Paris. Le propriétaire de l’animal a exigé des “explications” lors d’un rassemblement organisé samedi en gare de Bordeaux en son honneur ; la SNCF sera jugée lundi.
Le propriétaire affirme n’avoir reçu aucune réponse de la SNCF à « aucun message » envoyé ni « même à la lettre ouverte » rendue publique. Dans une action civile, elle s’est rangée du côté de l’allégation de la 30 Million Friends Foundation.
La SNCF a exprimé sa tristesse face à “ce triste accident” dans une interview à BFMTV.com propriétaires voyageurs du chat Neko”, ajoute la société ferroviaire.
Georgia se sent rassurée que “Neko n’a pas dit son dernier mot” concernant le chat perdu. Le propriétaire insiste sur le fait que “nous devons faire quelque chose” et “nous voulons des explications”.
Samedi dernier, sa famille et ses amis lui ont témoigné leur soutien en se rassemblant à la gare de Bordeaux pour être à ses côtés. à BFMTV.
Le 2 janvier, Neko a pu temporairement éviter sa maîtresse, Melana, une jeune fille de 15 ans, alors qu’ils s’apprêtaient à quitter Paris pour Bordeaux. Le chat prend alors la mauvaise décision de se cacher sous un train qui passe. La mère et la fille ont immédiatement alerté les employés de la station, mais il était trop tard.
En réalité, le train part en écrasant le chat.D’après BFMTV.com, “le chat n’était plus visible et quand le train a démarré, nous n’avions aucune idée d’où il avait fui”. confirmé dimanche par la SNCF malgré des recherches approfondies par bod a déclaré à Sud Ouest, “malgré les recherches menées par nos équipes et les propriétaires, le chat n’était plus visible et quand le train a démarré, nous n’avions aucune idée d’où il avait fui.” Lundi, au tribunal de police, il y aura une audience qui permettra de clarifier ces questions. Le procès doit commencer dans la matinée.