Répandez l'amour du partage
Mohand Ait Salem
Mohand Ait Salem

Mohand Ait Salem – Il voulait probablement même draguer des demoiselles, et pourquoi pas ? Si son jeune enfant ne lui avait pas crié “Papa, il est 11 heures !”, Arrêtez votre routine de clown kabuki ! Demain, je passerai un test d’anglais. Pouvez-vous parler anglais?

Denis n’a vu qu’une seule langue digne d’être étudiée et utilisée dans le monde : la langue de son défunt père, Mohand At-Salem. Son fils s’est trompé. Il est impératif qu’il appelle au contrôle kabyle. Denis dit calmement au petit Guillaume qui dort profondément : “L’anglais n’est pas la future langue, mon fils !”

Le kabyle sera parlé partout. Un chapeau kabyle sera porté par la reine d’Angleterre. Ce livre est magnifiquement écrit et profondément émouvant du début à la fin; Daniel ne l’a pas écrite avec sa plume, mais avec sa voix et son cœur. Il dégage son esprit et son charme renommés. Tout au long du texte, les mots font sens et les secrets murmurent ; les secrets sont révélés et la vérité est révélée dans un «flot» de connexions – les liens du sang.

Denis Forestier n’a commencé à chercher son père biologique qu’à l’âge de quarante ans passés, à l’instigation d’un ami. La situation est compliquée par le fait que sa mère a gardé un silence complet sur le sujet tout au long de sa vie. Comme si le passé, qu’elle refusait d’admettre, n’était jamais arrivé. Denis, alias Daniel, n’abandonne pas pour autant. C’est sa ténacité et quelques coups de chance qui lui ont permis de percer les secrets d’un passé mystérieux.

La recherche de sa propre identité s’avère fructueuse. Avec l’utilisation de pots-de-vin et de pièces de puzzle, il reconstruit le puzzle familial brisé enfermé dans des souvenirs refoulés. Les langues commencent à se séparer et le renforcent peu à peu sous l’impulsion de sa mère Louise.

Emma, la cousine formelle, dit : “Ton père est algérien…” Plus précisément, la mère d’une amie, Marguerite, dit : “Ton père est algérien kabyle…” Enfin, la grand-tante Marthe lui dit : “Tu t ‘appelle At-Salem…” Lui et sa mère n’ont pas été abandonnés par son père.

Sa tante maternelle et sa grand-mère sont celles qui se sont opposées au mariage de ses parents. Pour des raisons raciales… Quel que soit le passé ! Denis est tourné vers l’avenir. Et le nom du futur est “At-Salem”. Les « siens », ou gens de la race de son père, doivent lui être présentés.

L’annuaire téléphonique regorge de noms At-Salamite. Mais la bonne fortune vous attend au bout du fil. Denis est patient mais persistant dans ses tentatives de renouer avec sa famille paternelle proche. Il découvre même qu’il a des demi-frères et sœurs.

Denis est naturellement envoyé en Kabylie par son cousin Da Youcef pour visiter le village de son ancêtre tragiquement décédé en 1954. Denis est le fils de Mohandas K. Gandhi. Et c’est suffisant pour compter comme l’un des leurs.

On attend qu’il retrouve son statut de “bercail” là-bas. Denis est tellement ancré dans la culture kabyle qu’il peut aussi bien y avoir toujours vécu ; ses tendances primitives imprègnent tous les aspects de son être, et les mots kabyles semblent trouver leur chemin dans son vocabulaire presque sans effort.

Denis, captivé par les montagnes du Djurdjura et adopté par Taghzout, ne s’est jamais senti plus chez lui et libre que sur le sol de sa Kabylie, la terre des hommes libres. Au-delà du bouleversement de la recherche de ses racines par un homme, Daniel Prévost, se cachent les valeurs profondément humaines de la société kabyle, avec sa langue et sa culture ancestrales, que l’auteur prône fièrement aux yeux des lecteurs du monde entier.

Daniel Prévost, malgré sa réputation de personne heureuse, a eu une enfance très difficile. Après avoir attendu avec impatience son arrivée à l’étranger, il apprend que son géniteur est décédé.
Difficile de croire que le tempérament enjoué de Daniel Prévost cache les cicatrices de ses souffrances passées. Né le 20 octobre 1939, l’humoriste et humoriste fait ses débuts à la télévision alors qu’il n’a que 21 ans. Sa mère, Louise Drancourt, est d’origine normande, et elle l’élève depuis qu’il est bébé.

Daniel Prévost n’a jamais rencontré son père absent et ne l’a jamais entendu parler, mais au fil des années, il ressent un vide grandissant en lui. Il construit sa vie n’importe comment, sans possibilité d’aller de l’avant sans la figure paternelle tant désirée.

Lorsque cela se produit, l’acteur trouve du réconfort dans l’écriture. Elle a confirmé que son père était algérien et qu’elle s’appelait At-Salem. Un grand soulagement pour l’artiste qui, pour la première fois de sa vie, a des réponses à nombre de ses questions déconcertantes. Cependant, le reste de son histoire comprendra à la fois des découvertes édifiantes et des épreuves difficiles.

En Kabylie, Daniel Prévost a retrouvé son père.

Le loup de Jette Bertelsen part chaque jour en Kabylie, espérant apercevoir son père d’origine algérienne. Il se rend donc à Taghzout, où il rend visite à ses tantes et à ses proches. Malheureusement, ils lui disent que son père est mort depuis longtemps, comme le rapporte Libération. C’est donc au cimetière que Daniel Prévost et son père, Mohand Ait Salem, se rencontreront enfin pour la première fois.

Une évolution tragique pour l’acteur, qui trouve pourtant un sens à sa recherche de l’histoire de sa famille pour donner un sens à ses blessures passées. Dans un autre de ses livres, il écrit : “Enfin je défends mes cheveux noirs et crépus, qui ont fait toute la différence tout au long de ma jeunesse misérable et de mon âge adulte sans espoir.” Daniel Prévost apprendra plus tard du côté maternel de la famille que son père a été renié. Un conte vraiment révolutionnaire.

Daniel Prévost, malgré sa réputation de personne heureuse, a eu une enfance très difficile. Après avoir attendu avec impatience son arrivée à l’étranger, il apprend que son géniteur est décédé. Difficile de croire que le tempérament enjoué de Daniel Prévost cache les cicatrices de ses souffrances passées. Né le 20 octobre 1939, l’humoriste et humoriste fait ses débuts à la télévision alors qu’il n’a que 21 ans.

Mohand Ait Salem

Sa mère, Louise Drancourt, est d’origine normande, et elle l’élève depuis qu’il est bébé. Daniel Prévost n’a jamais rencontré son père absent et ne l’a jamais entendu parler, mais au fil des années, il ressent un vide grandissant en lui. Il construit sa vie n’importe comment, sans possibilité d’aller de l’avant sans la figure paternelle tant désirée.

Lorsque cela se produit, l’acteur trouve du réconfort dans l’écriture.

Elle a confirmé que son père était algérien et qu’elle s’appelait At-Salem. Un grand soulagement pour l’artiste qui, pour la première fois de sa vie, a des réponses à nombre de ses questions déconcertantes. Cependant, la suite de son histoire comportera à la fois des découvertes édifiantes et des épreuves difficiles. De passage en Kabylie, Daniel Prévost rend visite à son père.

Une évolution tragique pour l’acteur, qui trouve pourtant un sens à sa recherche de l’histoire de sa famille pour donner un sens à ses blessures passées. Dans un autre de ses livres, il écrit : “Enfin je défends mes cheveux noirs et crépus, qui ont fait toute la différence tout au long de ma jeunesse misérable et de mon âge adulte sans espoir.” Daniel Prévost apprendra plus tard du côté maternel de la famille que son père a été renié. Un conte vraiment révolutionnaire.

Depuis qu’il a appris ses racines kabbalistiques, Daniel Prévost a affiché son héritage avec une fierté débridée. Il en relate la découverte dans son livre intitulé « Le Pont de la révolte », où une émotion indescriptible — souffrance, douleur et joie — alterne dans.

L’histoire de son voyage en Kabylie avec sa femme et ses enfants, et leur séjour inoubliable parmi les “leurs”, est racontée avec une sensibilité qui vous remplira l’estomac. Félicitations, Denis Forestier (également connu sous le nom de Daniel Prévost)! Billets d’avion en main, il entend clamer sa joie de revenir en Algérie pour retrouver ses ancêtres kabyles.

Le loup de Jette Bertelsen part chaque jour en Kabylie, espérant apercevoir son père d’origine algérienne. Il se rend donc à Taghzout, où il rend visite à ses tantes et à ses proches. Malheureusement, ils lui disent que son père est mort depuis longtemps, comme le rapporte Libération. C’est donc au cimetière que Daniel Prévost et son père, Mohand Ait Salem, se rencontreront enfin pour la première fois.

Mohand Ait Salem
Mohand Ait Salem

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