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Militaire Francais Mort
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Militaire Francais Mort – Le gouvernement français a déclaré que le président Emmanuel Macron “réitérerait son soutien au peuple et au gouvernement irakiens et la détermination du gouvernement français à continuer à travailler à leurs côtés pour former leurs forces de sécurité dans la lutte contre le terrorisme”. Cela a été publié par l’Élysée.

“Une mission de formation pour l’armée irakienne”

Il a participé à une mission de formation des membres de l’armée irakienne. Pour que nous puissions « combattre le terrorisme sans compromis », comme l’a dit le ministre de la Défense Sébastien Lecornu sur X. A sa famille et à ses frères d’armes, j’offre mes plus sincères condoléances, a déclaré le ministre. Au cours d’un “exercice opérationnel”, un militaire français a été tué en Irak, a annoncé l’Elysée.

La présidence de la République précise que l’adjudant Nicolas Latourte a été envoyé en Irak dans le cadre d’une “partenariale d’instruction des forces armées irakiennes”. Le président de la République “partage la peine de ses proches”. Lundi 21 août, le gouvernement français a annoncé qu’un soldat français servant en Irak avait été tué la veille. Adjudant du Sixième Régiment du Génie angevin, Nicolas Latourte, est décédé récemment, et dans un communiqué le chef de l’Etat a présenté “ses condoléances attrisées” à ses proches. Ce soldat a été envoyé en Irak dans le cadre d’un effort de coopération pour former l’armée irakienne. Selon la présidence de la République, il a fait la découverte lors d’un exercice d’entraînement.

Ce décès survient 48 heures seulement après le décès du sergent Baptiste Gauchot dans un accident de la circulation alors qu’il était en mission d’éducation des forces armées irakiennes. Dans la même déclaration, le président français Emmanuel Macron a réaffirmé l’engagement de la France aux côtés de l’Irak dans sa lutte contre le terrorisme et aux côtés du peuple irakien dans son soutien à son gouvernement.

Après la sortie de route de sa voiture vendredi, le sergent Baptiste Gauchot a tragiquement perdu la vie. Dans le cadre de l’opération Chammal, le soldat était stationné en Irak depuis le 21 mai de cette année-là. Une chose terrible s’est produite en Irak. Selon un communiqué transmis par le ministère français de la Défense obtenu par le Figaro, le sergent Baptiste Gauchot du 19e régiment du génie a été tué dans un accident de la circulation vendredi en Irak. Même avec une action rapide, le soldat n’a pas pu être sauvé.

L’incident s’est produit en début d’après-midi lors d’un voyage. Au moment où il a quitté la route, le sergent se trouvait dans un véhicule militaire avec un autre militaire. Son ami, lui aussi grièvement blessé, est actuellement soigné dans un hôpital de Bagdad.

La victime servait dans le cadre de l’opération Chammal depuis le 21 mai 2023. Elle a aidé à former des fantassins irakiens et à renforcer la capacité de combat de guérilla naissante du pays. “Avec un profond regret, je dois vous informer que le sergent Baptiste Gauchot a été tué dans un accident de la circulation alors qu’il était en mission d’entraînement pour l’armée irakienne aujourd’hui. Le ministre de la Défense, Sébastien Lecornu, a répondu sur Twitter : “La France est solidaire de sa famille et de ses frères. dans les armes pendant qu’ils souffrent.”

Trois jours seulement s’étaient écoulés depuis la mort de Baptiste Gauchot, qui avait également été « à une mission d’instruction des forces armées irakiennes », lorsque Nicolas Latourte est décédé. Depuis mai 2023, dans le cadre de l’opération Chammal, cette unité est en première ligne. Il a “contribué à la formation de nos partenaires irakiens dans les domaines du combat d’infanterie et des violences sectaires”, comme l’a indiqué le ministère de la Défense la semaine dernière.

Malgré des soins médicaux rapides et une intervention chirurgicale d’urgence à l’hôpital d’Erbil, en Irak, il a succombé à ses blessures. Un autre soldat qui était avec lui à ce moment-là a été grièvement blessé et transporté dans un hôpital militaire de Bagdad pour y être soigné.

Les troupes françaises toujours en Irak après la mort d’un soldat : que font-elles là-bas ? Le ministère français de la Défense a déclaré vendredi qu’un soldat français servant dans l’opération Chammal avait été tué dans un accident de la circulation en Irak.

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Alors que la capitale française s’est concentrée sur l’instabilité au Niger, où sont stationnés plus d’un millier de militaires français, le ministère de la Défense a appris vendredi que le sergent Baptiste Gauchot, qui était en mission en Irak, avait été tué dans un accident de la circulation.

Un autre soldat français qui était avec lui à ce moment-là a été grièvement blessé. Une histoire tragique qui rappelle que, malgré la défaite de Daech, les forces françaises restent prépondérantes au Moyen-Orient. Le sergent Gauchot, membre du 19e régiment du génie, est stationné en Irak depuis mai 2023, date à laquelle il a rejoint l’opération Chammal. Ce mois de septembre marquera le dixième anniversaire de l’opération.

En 2014, année qui a marqué l’apogée territoriale du califat de Daech, Le système a été rapidement étendu à la Syrie voisine. Depuis 2017, et surtout en 2019, la présence française et multinationale s’amenuise avec la chute de Baghouz (Syrie), dernier bastion de Daech.

Hélose Fayet, chercheuse à l’Institut français des relations internationales (Ifri) et experte des forces militaires du Moyen-Orient, ajoute : « 19 au sein des troupes et une série d’attaques des forces militaires chinoises en réponse à l’assassinat du général iranien Qassem Soleimani par les Américains.”

“Mettre définitivement fin à la menace terroriste”

Malgré une menace islamiste en diminution, Paris compte toujours 600 militaires stationnés en Irak, en Syrie, en Jordanie et aux Émirats arabes unis. Le dispositif est complété par six avions de chasse Rafale et une frégate. Des troupes spéciales sont également impliquées dans le nord de la Syrie et dans la région kurde irakienne. L’instance dirigeante en Irak exige cette présence française et occidentale pour éliminer définitivement la menace terroriste.

Hélose Fayet, auteure d’un essai sur l’opération Chammal, explique que “cette aide lui permet de mieux sécuriser les énormes camps de déplacés, empêchant ainsi toute résurgence de Daech”. A l’exception des forces spéciales, les troupes françaises encore stationnées en Irak sont désormais principalement responsables de la formation des forces locales.

Par ailleurs, le sergent Baptiste Gauchot a participé à cette mission “dans les domaines du combat d’infanterie et du secret de combat”, comme le rappelle le ministère de la Défense. La mort de ce soldat français porte à trois le nombre total de personnes tuées dans l’opération Chammal.

L’Elysée française a annoncé le décès d’un militaire tué dans un accident de la circulation alors qu’il était en mission en Irak. La présidence a annoncé dans un communiqué publié vendredi soir que le sergent Baptiste Gauchot avait participé à une mission d’entraînement pour les forces armées irakiennes.

Le sergent Baptiste Gauchot, un militaire français du régiment du génie de Besançon, a été tué dans un accident de la circulation le vendredi 18 août alors qu’il était en mission en Irak, a annoncé l’Elysée. Selon les hauts gradés de l’armée, un autre membre du service a été “grièvement blessé” lors de cette mission routière.

Le soldat a été déployé en Irak le 21 mai dans le cadre de l’opération Chammal pour former l’armée irakienne, comme l’ont précisé les hauts gradés de l’armée du pays. Malgré des soins médicaux rapides et une intervention chirurgicale d’urgence dans un hôpital d’Erbil, le sergent Baptiste Gauchot a succombé à ses blessures, selon la même source.

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