Mere De Nahel Origine – Mounia M., la mère de la victime, a réagi à la brutalité policière flagrante qui a déclenché des manifestations et des troubles dans toute la France. Personne ne m’a permis de voir mon fils. Je me suis juste présenté et j’ai demandé s’il était mort. dites-moi précisément que ce sont eux qui ont tué mon fils », a-t-elle d’abord dit, expliquant plus tard que les voisins qui ont vu le crime se dérouler lui ont dit la vérité.
Dans le même ordre d’idées, Mounia M. nous a assuré qu’elle n’avait pas l’intention de signaler l’incident à la police malgré le fait que la déposition du faux policier était appuyée par son collègue (tous deux avaient menti sur les agissements de Nahel et la justification de le tournage au préalable).
La faute est à un homme, pas au système.Laure Lavalette (RN) explose sur BFMTV après que David Guiraud (LFI) ait refusé d’appeler au calme suite à la mort de Nahel en disant : “Vous passez votre temps à vomir sur la police.” <<
J’espère qu’il purgera la peine de mon fils.
Et cet homme, elle n’est pas prête à lui pardonner, malgré ses demandes de grâce répétées tout au long de sa garde. A celle qui a ôté la vie à mon fils : « Je te veux. Il n’était pas obligé de tuer mon enfant. Une autre approche aurait pu être prise. au micro, « Il a vu la tête d’un Arabe, d’un petit gamin, et il a voulu ôter sa vie ; le frapper ou le faire fuir, oui ; une balle dans la tête, non.” Elle était convaincue que le racisme était à l’origine de ce drame.
Ainsi, la mère de Nahel espère qu’aujourd’hui justice sera rendue, envoyant un message à toute l’industrie qui facilite de telles tragédies. En effet, 16 personnes ont été tuées par la police française lors de contrôles depuis un an et demi. En comparaison, il n’y a eu qu’une seule fusillade mortelle en Allemagne au cours de la dernière décennie en raison d’un refus de se conformer à un ordre.
J’espère qu’il souffre autant que mon fils et paie pour son crime. Il a assassiné mon enfant; il m’a assassiné; elle s’est apparemment évanouie. C’est pas six mois après qu’il est dehors, et je veux qu’elle soit vraiment ferme. Je veux que la justice soit absolument inflexible.
“Je ne le veux pas de la police, je le veux d’une personne : celle qui a pris la vie de mon fils.” Dans sa première longue déclaration depuis la mort de son fils, Mounia M., la mère de Nahel, a déclaré jeudi qu’elle ne blâmait pas le service de police dans son ensemble pour la mort de son fils, mais plutôt l’officier qui lui a tiré dessus lors d’un contrôle routier de routine mardi. matin à Nanterre. Cet officier a fait l’objet d’une enquête pour « homicide volontaire » et est actuellement placé en détention provisoire.
Le 29 juin 2023, Mounia M. est interviewée par Mohamed Bouhafsi pour C à Vous (France 5) en réaction au décès de son fils unique, Nahel, tué après avoir refusé d’obstruer un point de contrôle de Nanterre. Et la mère s’est confiée, si elle ne le veut pas à l’ensemble de la police, sachant que tous les flics n’appartiennent pas au même panier, et elle réclame des représailles contre celui qui a déclenché la bagarre.
Nahel est tué lors d’une descente de police à Nanterre le 27 juin 2023. Après avoir clairement entendu le policier menacer de lui tirer une balle dans la tête, le conducteur du véhicule, âgé de 17 ans, a reçu une balle dans l’aine avec un stylo à bille sous le prétexte de refuser de faire obstruction.
Mounia M., la mère de la victime, a réagi à la brutalité policière flagrante qui a déclenché des manifestations et des troubles dans toute la France.Personne ne m’a permis de voir mon fils. Je me suis juste présenté et j’ai demandé s’il était mort. dites-moi précisément que ce sont eux qui ont tué mon fils », a-t-elle d’abord dit, expliquant plus tard que les voisins qui ont vu le crime se dérouler lui ont dit la vérité.
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Les avocats de sa mère ont porté plainte pour “homicide par négligence” et “fausse écriture dans un document public” après la mort de Nahel.ALERTE : LE PARISIEN A LES DÉTAILS. Entre-temps, le parquet de Nanterre (Hauts-de-Seine) a ouvert une information judiciaire, que l’équipe juridique de Nahel utilise pour porter plainte pour “homicide volontaire” et “faux écrit en public”.
Une plainte a été déposée contre X pour « homicide », « complicité d’homicide » et « faux en écriture publique » alors même que le parquet de Nanterre (Hauts-de-Seine) annonçait l’ouverture d’une information pour « homicide » contre le policier responsable du coup de feu mortel tiré sur Nahel, 17 ans.
Me Bouzrou affirme que tout ce qui ressemble à un “double coup” sur le papier est justifié “par la gravité des faits” d’une part et “la qualité des personnes mises en cause” d’autre part, ce qui rend “essentiel qu’ un magistrat instructeur indépendant soit immédiatement désigné.”
Une demande criée réitérée par un communiqué de presse. Les trois avocats écrivent qu’ils ont “pris acte de l’ouverture d’une information judiciaire confiée à deux juges d’instruction sur le fondement légal de l’homicide volontaire” et qu’il est “essentiel que ce dossier fasse l’objet d’un dépaysement afin que les magistrats d’un autre tribunal peut enquêter de manière objective, indépendante et impartiale.”
La plainte de l’avocat comporte également des allégations de “complicité d’homicide par participation volontaire” de la part du second policier intervenant, “qui avait ordonné à son collègue de tirer sur Nahel”. Enfin, selon Yassine Bouzrou, “le procès-verbal qui a vraisemblablement été rédigé par la police suite à leur intervention est un écrit public (…) et qu’il ferait état de fausses informations”, notamment en ce qui concerne les conditions de tir et sa légitimité.
Le dépôt de ces trois plaintes traduit avant tout une défiance de la part de la famille Nahel et de leurs avocats envers la justice et notamment le parquet de Nanterre. Au mépris, Me Yassine Bouzrou a également adressé jeudi matin une “demande de dépaysement” du dossier au procureur général de Versailles. Le document conteste “le comportement du procureur de la République de Nanterre dans ce dossier et doit conduire à ce qu’un autre tribunal soit saisi de ces faits d’une énorme gravité”.
A l’appui de cette demande, l’avocat précise que « le matin du jour du décès de M. Nahel M., avant 11 heures, c’est-à-dire quelques minutes après la constatation de son décès », le Le procureur de la République de Nanterre avait communiqué à la presse des informations sur les antécédents judiciaires présumés du suspect.
Le parquet de Nanterre a confirmé dans un SMS transmis au média que “le décès d’une personne de 17 ans connue de la justice, notamment pour refus d’obtempérer”,Il poursuit : « Le but du Parquet de Nanterre était évidemment de minimiser la gravité du meurtre de ce jeune de 17 ans aux yeux du public, dont l’opinion serait sans doute influencée par le fait que la victime avait auparavant commis des actes de refuser d’entraver la justice.” Par conséquent, dans l’intérêt d’une administration efficace de la justice, je demande que cette affaire soit entendue par une autre juridiction que celle de la région des Hauts-de-Seine.
Le 29 juin 2023, Mounia M. est interviewée par Mohamed Bouhafsi pour C à Vous (France 5) en réaction au décès de son fils unique, Nahel, tué après avoir refusé d’obstruer un point de contrôle de Nanterre. Et la mère s’est confiée, si elle ne le veut pas à l’ensemble de la police, sachant que tous les flics n’appartiennent pas au même panier, et elle réclame des représailles contre celui qui a déclenché la bagarre. Nahel est tué lors d’une descente de police à Nanterre le 27 juin 2023.