Mélenchon Origine Parents – Né à Tanger, au Maroc, le 19 août 1951, l’homme politique français Jean-Luc Mélenchon y a vécu les onze premières années de sa vie. Il a été élevé par sa mère, enseignante, et son père, fondateur de la radio Tanger.
Jean-Luc Mélenchon s’installe en Normandie puis dans le Jura suite au divorce de ses parents et il y rejoint sa mère pour son travail. Là, il a également excellé sur le plan académique, obtenant une maîtrise en philosophie avant d’entrer sur le marché du travail.
Le jeune homme a commencé à enseigner le français dans un lycée technique en 1976. Son amour pour l’écriture l’a amené à se lancer dans le journalisme ; il collabore désormais à de nombreuses publications régionales et publie son propre micro-journal, gauche.
L’homme affiche déjà ses fortes convictions et ses opinions franches. Jean-Luc Mélenchon, leader de nombreuses manifestations étudiantes, a refusé de renoncer à son militantisme au nom de sa réussite professionnelle. Le contraire est vrai. En 1977, il choisit d’adhérer au Parti Socialiste et gravit rapidement les échelons, impressionnant les hauts gradés de l’entreprise par son enthousiasme et son dévouement.
C’est dans le département de l’Essonne qu’il établit son assise politique après y avoir été nommé premier secrétaire du cabinet socialiste de François Mitterrand en 1981. Il est élu à de multiples postes au sein des conseils municipaux, des conseils d’État et même du Sénat. En 2000, il assume de nouvelles fonctions en tant que ministre délégué à l’enseignement professionnel et en 2009, il est accueilli en Europe en tant que membre du Parlement européen.
Jean-Luc Mélenchon, frustré par l’incapacité du PS à résoudre ses désaccords, a démissionné en 2008 et a ainsi fondé le Parti de gauche. Pour l’élection présidentielle de 2012, il a présenté la coalition du Front de gauche, dont fait partie le Parti de gauche, en 2011.
En 2015, il a déclaré son intention de se présenter aux élections présidentielles de 2017 sans le soutien du Front de gauche. GAUCHE. Il a fondé La France Insoumise en février 2016. Le 23 avril 2017, il n’a obtenu que 19,6 % des voix et a donc été éliminé de la course à la présidentielle.
En 2022, il se présentera à nouveau à la présidentielle, cette fois sous la bannière de son nouveau parti politique, l’Union populaire. À l’issue du premier tour de scrutin présidentiel, le 10 avril 2022, il termine à la troisième place, derrière Emmanuel Macron et Marine Le Pen, avec 22 % des voix.
Trois ans après sa rencontre, Jean-Luc Mélenchon s’est marié avec Bernadette Abriel. Maryline, leur fille, est née en 1974 de l’heureux couple. Cependant, le couple se sépare en 1994.
Il garde secrète sa vie privée, comme celle de sa famille. Le samedi 19 août, Jean-Luc Mélenchon aura 72 ans. Maryline est sa fille d’un précédent mariage avec Bernadette Abriel. Elle est entrée dans le monde en 1974 et est aujourd’hui l’un de ses soutiens politiques.
Mais il n’est pas une figure paternelle pour elle. Maryline, enfant, a grandi dans une famille où la politique était un intérêt majeur. Elle s’en est imprégnée du jour au soir et, par conséquent, elle a choisi de soutenir son père.
Et comme le dit si éloquemment et fièrement Jean-Luc Mélenchon : « Les chats ne font pas les chiens. » En septembre 2016, le patron de La France Insoumise acceptait de s’exprimer sur sa copine dans une interview au magazine Gala.
Maryline et sa fille, sa petite-fille, ont été saluées comme des « féministes intransigeantes » dans une déclaration qu’il a faite aux médias. Les chats ne sont pas un ingrédient nécessaire à la production de chiens. De belles expressions. Depuis 2016, Gabriel Amard est l’amour de la vie de la fille de celui qui s’est présenté à la présidentielle en 2022. Comme son beau-père, il était un ancien membre du Parti socialiste.
Même si Jean-Luc Mélenchon a la réputation d’être un homme qui “ne peut pas se taire” en public, le côté privé du candidat réticent à l’élection présidentielle française est beaucoup plus réservé, comme en témoignent ses parents distants. Cependant, il lui arrivait parfois d’évoquer ses parents, Georges et Jeanine, et chaque fois qu’elle le faisait, elle le faisait avec une certaine émotion.
Jean-Luc Mélenchon a dû relever de nombreux défis pour devenir leader d’une France indépendante et candidat à l’élection présidentielle de 2022, mais il a maintenu le cap en gardant toujours ses parents dans ses pensées.
Le personnage politique a grandi à Tanger, ville portuaire marocaine, jusqu’à l’âge de quatorze ans. Sa mère, Jeanine Bayona, était institutrice, tandis que son père, Georges Mélenchon, fut l’un des premiers à adopter la technologie radio dans leur ville natale.
Le futur leader de l’extrême gauche française s’est installé à Yvetot avec sa mère (normande) après le divorce de ses parents en 1962. Ce que beaucoup appellent « l’échec fondateur » et qui marque un tournant dans sa vie.
Il a eu une fille, Maryline Mélenchon, avec Bernadette Abriel en 1974, mais le couple a ensuite divorcé. L’enfant serait élevé en leur présence. Il ne fait aucun doute que l’appréciation ouverte de Georges pour les médias et la passion de Jeanine pour l’enseignement ont été des facteurs majeurs dans son décision de poursuivre une carrière dans le journalisme.
Sous le pseudonyme de « Jean-Louis Mula », il gravit les échelons de la rédaction de La Dépêche du Jura dans les années 1970. Il a été dessinateur de presse pour le quotidien catholique local La Voix jurassienne et collaborateur de La Tribune du Jura.
Lorsqu’il s’est prononcé contre les techniques de reportage contraires à l’éthique de certains des journalistes qui l’ont interviewé au cours de sa carrière politique, sa réputation vertueuse au sein de la communauté l’a mis à l’abri des critiques.
Malgré la franchise notoire de Jean-Luc Mélenchon, il devient extrêmement émotif en parlant de sa mère absente. En avril 2017, l’homme politique avait exprimé son choc et son désarroi face à cet épisode dans les matinales de BFMTV et RMC en déclarant : “C’est la vie”.
Je veux aussi ajouter que je ne me souviens pas du jour exact où Jeanine a disparu, alors j’ai dit : “C’est comme ça ! Cela me rend triste. Melenchón, pour lui donner son propre nom. Oui, c’est un nom espagnol, et particulièrement populaire dans les régions de Catalogne, d’Alicante et de Murcie. En de rares occasions, il traverse l’Afrique du Nord jusqu’en France, où il entre dans le pays sous le pseudonyme de Mélanchon.
L’enquête menée par Jean-Louis Beaucarnot (“Le Tout politique”) sur le nom de famille “Jean-Luc Mélenchon” a révélé que la famille du candidat était originaire de la ville de Belinchón, province de Cuenca. Dans la province de Murcie, la ville de Belenchón est aujourd’hui connue sous le nom de Melenchón.
Jean-Luc MÉLENCHON étant le premier membre de sa famille à être né et élevé en France, nous ne pouvons pas reconstituer son arbre généalogique à partir de documents provenant d’autres pays.
Georges et Jeanine Mélenchon, les parents de Jean-Luc Mélenchon, étaient tous deux membres des populations noire et amérindienne d’Algérie ; Georges était bénéficiaire des PTT et Jeanine était enseignante. Quand Jean-Luc avait 11 ans, lui et sa mère ont déménagé en France parce qu’elle avait récemment divorcé et souhaitait vivre en métropole.
Depuis la conquête française de l’Algérie au milieu du XIXe siècle, de nombreuses personnes d’origine espagnole ont élu domicile permanent en Algérie, notamment celles des villes de Benissa et Novelda à Alicante.
Ses ancêtres MELENCHN (ou BILENCHN, VELENCHN…) sont originaires de La Roda, une ville d’environ 15 000 habitants (maintenant !) située à mi-chemin entre Madrid et Murcie. Francisco BILENCHN était le premier de sa famille et est né vers 1720.
Les familles HURTADO, MARTINEZ, CANICIO, SEPULCRE, CARDONA, SERRANO et AVARGUES, ainsi que les autres que nous avons rencontrées jusqu’à présent, résident toutes dans ces régions géographiques similaires.
Nouveauté dans l’arbre généalogique de Jean-Luc Mélenchon, l’identité de son épouse. Les racines de cet individu étaient en Italie. Nos ancêtres maternels, Jean CASERTA et Catherine ALAIMO, sont originaires du petit village insulaire d’Ustica. Ustica est une petite île au large de la Sicile qui ne mesure que 8,65 kilomètres carrés.
Depuis sa colonisation forcée en 1759 par Ferdinand Ier de Sicile, qui a attiré des colons de Palerme, Trapani et d’autres îles adjacentes, la population de l’île est tombée à environ 1 300 habitants.
Il est impossible de retracer l’ascendance de Francisco Bayona plus loin que celle de son grand-père maternel ; tout ce que nous savons de lui, c’est qu’il est né à Villanueva del Grao, une ville portuaire autrefois prospère qui fait aujourd’hui partie de Valence.
Les pirates sarrasins ont exploité l’île comme refuge pendant des siècles avant que les Européens ne s’y installent. Les familles n’ont probablement commencé à s’y installer qu’après que cela se soit produit.
À moins bien sûr que Jean-Luc Mélenchon ait aussi des pirates fanfarons dans son arbre généalogique, ce qui correspondrait politiquement à son image d’un point de vue romantique, mais que le généalogiste prudent n’envisagerait qu’une possibilité parmi tant d’autres.
Vers le milieu du XVIIIe siècle, un certain nombre de familles de Torre-del-Greco, une banlieue de Naples (y compris les agriculteurs, les marchands de fleurs et les pêcheurs des familles PERNICE, BORRIELLO et ROMANO) s’installèrent à Ustica.