Mélanie Doutey Jeune – Diplômée du conservatoire, Mélanie Doutey fait ses débuts au cinéma dans Les gens qui s’aiment de Jean-Charles Tacchella en 2002. Elle joue le rôle principal dans le film Lela de 2001, réalisé par Gabriel Axel. Elle enchaîne avec une flopée d’autres films, dont Le Frère du guerrier en 2003, pour lequel elle a été nominée pour un César du meilleur espoir féminin, et La Fleur du mal en 2004, la chronique acide de la dépression de Claude Chabrol. Il a reçu le prix Suzanne-Bianchetti pour son interprétation.
Sa prestation aux côtés de Jean Dujardin dans Il ne faut pas jurer de rien en 2004 ! lui a valu une deuxième nomination au César de la meilleure révélation féminine. Elle apparaît également dans Narco, réalisé par sa future co-vedette Gilles Lellouche. Pourtant, la série Clara Sheller est celle qui la fait découvrir au grand public. Malgré le succès retentissant de l’émission (six millions de téléspectateurs sur France 2), l’actrice a choisi de ne pas signer pour une deuxième saison afin de se concentrer sur son travail cinématographique et scénique.
Sa carrière cinématographique décolle à ce moment-là. Fair Play (2006) met en vedette Mélanie Doutey aux côtés de Marion Cotillard et Benoît Magimel, et la comédie romantique Ce soir moi dors chez toi met en vedette Mélanie Doutey, Jean-Paul Rouve et Kad Merad, et a été réalisé par Olivier Baroux. Les films acclamés par la critique dans lesquels elle est apparue, “Le Bal des actrices de Mawenn” (2008) et “Rien de personnel” (2009), la mettent en scène dans des rôles principaux.
On notera également les comédies Jamais le premier soir (2013), dans laquelle elle donne la réplique à Alexandra Lamy et Julie Ferrier, et Une petite zone de turbulence (2010), dans laquelle Michel Blanc joue également. Elle partage la vedette avec Gilles Lellouche et Jean Dujardin dans le film La French en 2014, et elle apparaît dans la deuxième comédie d’Olivier Baroux, Entre amis, l’année suivante.
Parallèlement, la comédienne sera vue à plusieurs reprises au cinéma, notamment dans Confidences Too Close to Home en 2007, Le Songe d’une Nuit d’Été en 2011 et L’Enterrement (Festen… la suite en 2012). Et dix ans après Clara Sheller, elle sera de retour à la télé à l’automne 2016 dans la mini-série en deux volets de Pierre Aknine, La Main du mal. Le casting impressionnant de ce thriller de TF1 comprend des noms comme Grégory Fitoussi, JoeyStarr, Élodie Frégé, François Berléand, et bien d’autres.
L’année suivante, elle tient des rôles dans deux épisodes de la série Paris, etc. En 2018, il fait un retour triomphal sur scène avec la production de Douce amère de Michel Fau au Théâtre des Bouffes-Parisiens. Puis, dans les films Le Grand Bain (une comédie) et Donne-moi des ailes (où elle retrouve Jean-Paul Rouve), ses anciens collègues Gilles Lellouche et Nicolas Vanier lui confient des rôles attachants.
La fille de Mélanie Doutey, Ava, est née en 2009. Depuis 2013, elle est divorcée de son père, l’acteur et réalisateur Gilles Lellouche. Son statut relationnel en 2017 comprend également le chef Cyril Lignac.
L’actrice française Mélanie Doutey est née le 22 novembre 1978 dans le 16e arrondissement de Paris. Elle est la fille d’Arièle Semenoff et d’Alain Doutey. Elle étudie l’anglais pendant un an avant de s’inscrire au cursus Périmony du Conservatoire, et fait ses débuts au cinéma dans Les Gens qui s’aiment de Jean-Charles Tacchella en 1998. Débutant en 2001 avec Lela de Gabriel Axel, elle enchaîne l’année suivante avec Le Frère du guerrier de Pierre Jolivet…
Née des acteurs Alain Doutey et Arielle Sémenoff le 22 novembre 1978 à Paris, Mélanie Doutey a été élevée dans le monde du spectacle et a finalement suivi les traces de ses parents. Elle est majeure en anglais à l’université et envisage de suivre la classe Périmony avant de s’inscrire au Conservatoire des Beaux-Arts de Paris.
Après avoir fait ses débuts à la télévision dans Chère Marianne et Le Bahut, elle décroche son premier rôle au cinéma en tant que personnage secondaire dans Les gens qui s’aiment (1998). Elle joue le rôle principal dans le film Lela de Gabriel Axel en 2001, mais elle ne devient largement connue que dans le film de l’année suivante Le Frère du guerrier. Elle est nominée pour le prix de “Female Leader of Hope” et peut voir les portes s’ouvrir pour elle. Après avoir remporté le Prix Suzanne-Bianchetti pour son interprétation dans La Fleur du mal de Claude Chabrol, elle remporte le Monte-Carlo Comedy Award pour son rôle principal dans la série télévisée Clara Sheller (2005).
L’actrice s’est également essayée au théâtre et a joué dans de nombreux films dans des genres très variés, dont On va s’aimer (2005), RTT (2009) et Jamais le premier soir (2013). Elle a fait ses débuts au cinéma dans Entre amis en 2015 et est apparue plus récemment dans Le Grand Bain en 2018.À la télévision, elle reprend son rôle de vedette aux côtés de JoeyStarr et François Berléand dans le film de TF1 La main du mal de 2016.
Dans sa vie personnelle, elle rencontre l’humoriste Gilles Lellouche en 2002 alors qu’ils travaillent tous les deux sur le tournage du téléfilm L’adieu. C’est le coup final, décisif. Le 5 septembre 2009, ils ont une fille qu’ils nomment Ava. Ils se séparent en 2013. La jeune Mélanie Doutey étudie le théâtre à Perimony tout en poursuivant ses études en anglais pour honorer les passions d’acteurs et de cinéastes de ses parents, Arielle Séménoff et Alain Doutey.
Elle obtient un prix au Conservatoire National d’Art Dramatique de Paris avant de décrocher un rôle dans le film « Les gens qui s’aiment » en 1998. Depuis, elle enchaîne les apparitions à la télévision. Elle incarne Guillemette dans ‘Le Frère du guerrier’ de Pierre Jolivet et Lela dans le même film avant de se voir offrir un rôle dans ‘La Fleur du mal’ de Claude Chabrol en 2003.
Pourtant, elle n’est pas très connue jusqu’à ce qu’elle incarne la réplique du protagoniste dans la série phare de France 2 Clara Sheller, dans laquelle elle était alors trentenaire et célibataire. Elle partage la vedette avec Gérard Jugnot et Jean Dujardin dans la version 2006 de la pièce d’Alfred de Musset “Il ne faut jurer de rien”, une comédie.
Son talent a été démontré, et sa performance est digne d’une seconde nomination au César de la meilleure apparition féminine. Elle s’oriente vers des comédies romantiques comme “Ce soir je dors chez toi” et “RTT”, son effort le plus audacieux à ce jour. La ravissante Mélanie Doutey séduit petit à petit le cinéma français, se frayant un chemin parmi les acteurs les plus en vue du moment.
En 2005, Mélanie Doutey fait ses débuts publics en tant que personnage principal de la série télévisée Clara Sheller. Même si l’émission rencontre un énorme succès auprès des téléspectateurs (six millions sur France 2), Mélanie décide de ne pas revenir pour une deuxième saison afin de se concentrer sur ses autres projets d’actrice.
Doutey, Mélanie. Contrairement à mon personnage dans ce thriller, je n’ai pas un lourd héritage ; plutôt, mes parents sont responsables de mon amour profond et constant pour la profession que j’ai choisie. Au départ, j’envisageais de m’inscrire en école d’art et de me spécialiser en scénographie. Je pensais aussi à l’archéologie. Cependant, de telles enquêtes n’ont encore abouti à rien. Enfin, c’est un lien étroit avec notre métier car il y a toujours une fouille humaine à travers les rôles que nous jouons.
Dans cette optique, j’ai le plus grand respect pour des actrices telles qu’Audrey Hepburn, Romy Schneider, Meryl Streep et Juliette Binoche. Les souvenirs d’une rencontre avec Chabrol, d’une pièce de théâtre avec Michel Fau et du premier film de Gilles Lellouche, “Narco”, me retiennent. Mes premières rencontres avec Benoît Poelvoorde et Jean-Claude Van Damme ont eu lieu sur ce plateau. J’ai enfin pu rencontrer la Belgique et c’était fantastique !
J’ai visité votre maison assez fréquemment. En effet, j’ai tourné le film de Delphine Noels “Post partum” en Belgique. J’ai également rendu plusieurs visites à Benoît Poelvoorde. Je suis complètement amoureux de la ville de Bruxelles. Dans l’air de Paris, il y a une certaine électricité. Ici, elle disparaît complètement. Et puis, les Français n’ont pas la même réputation de spontanéité. Pas le même degré de devoir civique. Après avoir participé à des tours à vélo à Bruxelles et à Paris, je peux témoigner du fait que le retour à la maison n’est jamais le même. Ici, il pleut moins et la ville est verte.
Et sentez-vous un climat d’anxiété dans l’industrie cinématographique ?
Le fait que les salles se vident en ce moment est indéniable. La scène souffre aussi terriblement. Certains régisseurs m’ont dit que le public ne partageait plus son enthousiasme pour le théâtre. Ils improvisent. Avant, ils attendaient la sortie d’un film. Il était de coutume pour eux de conserver ces rassemblements, que ce soit en famille ou entre amis. C’est différent maintenant.
Il est important de rappeler aux jeunes que les films sont un endroit amusant où passer du temps. C’est le genre d’endroit où l’on peut avoir ses premiers rires. Le cinéma est vraiment un médium magique. C’est l’essence même des premiers frissons. C’est un centre culturel avec une profondeur spirituelle. Cela me donne un nouveau souffle de vie.
Vous espérez insuffler le même enthousiasme à votre progéniture, n’est-ce pas ?
Ma fille est un petit miracle. Néanmoins, je n’essaierai pas de le forcer à partager mon enthousiasme pour ce domaine. Les décisions qu’il prendra auront des conséquences. Mon objectif personnel a toujours été de trouver un équilibre entre le travail et la vie de famille.