Mathilde Panot Marion Marechal – Dimanche 17 décembre, pendant un quart d’heure, le député dissident et le leader de la candidature de la Reconquête aux prochaines élections européennes se sont affrontés. Une conversation discutable qui montre à quel point le discours politique français est en déclin ces dernières années.
Parmi les arguments privilégiés de l’essayiste contre-révolutionnaire, on peut citer celui d’accuser son adversaire d’utiliser « les paroles de Maurras » et de conclure par « Vous êtes l’anti-France ». La terrible maladresse de Mathilde Panot donne une idée de l’ampleur du débat qu’elle a affronté face à Marion Maréchal dimanche 17 décembre sur BFMTV : à fleur de peau.
La chaîne a demandé à deux dames, l’une née en 1989 (Mathilde Panot) et l’autre née en 1989 (Marion Maréchal), d’évoquer l’immigration et l’inflation. Ce sont des personnalités respectées dans leurs camps respectifs. Nous admettons librement ressentir un pincement au cœur pour l’avenir de l’élite politique française en raison de la qualité désorganisée et peu impressionnante de leur conversation.
Un chef de la brigade adjointe des Insoumis et un vice-président de la Reconquête se tiennent côte à côte. Ce dimanche 17 décembre, sur BFMTV, Mathilde Panot et Marion Maréchal ont eu une confrontation très houleuse. Au milieu de l’examen en cours par un comité mixte de la loi gouvernementale sur l’immigration, les deux femmes parlementaires, dont les points de vue ne pourraient pas être plus différents, se sont lancées dans un débat houleux sur le racisme et la sécurité.
Lorsque Marion Maréchal interrogeait à plusieurs reprises Mathilde Panot sur l’existence d’un racisme anti-blanc, faisant référence à des articles de presse récents, Panot cherchait à étayer ses affirmations par des statistiques.
Une tentative d’assassinat qui a quelque peu perturbé Mathilde Panot. La leader des Insoumis, cependant, tenait tellement à paraître impartiale qu’elle a abordé avec vivacité le sujet du racisme anti-blanc, ignorant complètement le vitriol que lui a adressé son adversaire. Le député de 34 ans a répondu : “Non, cela ne s’appelle pas du racisme anti-blanc.
Mathilde Panot et Marion Maréchal se rencontrent en personne au Parlement français ? Le ton de Marion Maréchal, qui allie irrévérence et sarcasme, illustre la division partisane croissante dans les cercles politiques français.
Deux personnalités, l’une de droite conservatrice et l’autre de gauche radicale, défendent avec passion leurs visions respectives de la société française tout en profitant de l’occasion pour se lancer injures et agressions personnelles. Si Mathilde Panot et Marion Maréchal se retrouvent face à face à l’Assemblée nationale à partir de 2024, ce n’est sans doute qu’un début.
Dimanche 17 décembre, Marion Maréchal et Mathilde Panot se sont affrontées dans une vive dispute diffusée sur BFMTV. On parle désormais de l’assassinat de Thomas à Crépol, mais le leader de la liste électorale européenne Reconquête ! a émis l’hypothèse que la race du jeune homme était un facteur majeur dans sa disparition prématurée. Dans leur débat, l’ex-députée du Vaucluse a interrogé son adversaire sur la prévalence du racisme anti-blancs en France.
Début décembre, interrogé à ce sujet, l’ancien Premier ministre Édouard Philippe a déclaré au Journal du Dimanche (JDD) qu’il estimait “très possible” qu'”une nouvelle forme de racisme anti-Blancs” existe en France.
Officiellement, “Oui, il y a du racisme”, a déclaré le même jour le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin au média Brut. Bien sûr, il existe du racisme contre les Blancs, les Juifs, les Nord-Africains et les Noirs. D’un autre côté, il y a le racisme contre les Noirs. “Il faut être complètement inconscient pour ne pas le remarquer.”
Juste un rappel amical : neuf victimes ou témoins sur cent ont rapporté avoir entendu des propos hostiles aux « Blancs ». Près d’un mois après l’assassinat de Thomas, vendredi 15 décembre, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Grenoble a confirmé le maintien en détention provisoire de quatre individus qui avaient contesté leur placement. Sur les quatre, trois sont significatifs, tandis que le quatrième est léger.
Hier soir sur BFMTV, Marion Maréchal, leader de la liste “Reconquête” aux élections européennes, et Mathilde Panot, députée LFI, se sont disputées. Mathilde Panot a souligné dans cette querelle très discutée que le racisme anti-blanc et la sauvagerie étaient des idéologies dénuées de sens. Réunion de mise à jour.
Dimanche soir, BFM TV a diffusé un nouveau match de boxe avant de plonger tête première dans le fantasme ludique et ringard des fêtes, juste à temps pour que le cessez-le-feu des confiseurs et les téléfilms de Noël envahissent les écrans. Le procès de Mathilde Panot contre Marion Maréchal risquait de tourner au bain de sang. Rien ne manquait.
Jetez un œil à : Comment une personne peut en cacher une autre
Bien qu’ils soient tous deux nés en 1989, il n’y a pas grand-chose qui unit les deux débatteurs participant à la séance du soir. Un arbitre nommé Benjamin Duhamel a suggéré une ronde d’observation, et les deux équipes ont eu beaucoup de mal à identifier la performance inférieure de l’autre. Je vois.
Ils partagent néanmoins une victoire commune – la défaite du projet de loi immigration de Gérald Darmanin à l’Assemblée nationale – dont ils se réjouissent. Mais ils s’y étaient opposés pour des raisons totalement différentes. “Ce projet de loi ne répond pas au défi de la déferlante migratoire que nous vivons…”, estime Marion Maréchal.
Rien dans ce texte ne restreint la possibilité de demander la nationalité. Dans ce contexte, la liberté de posséder des terres n’est pas restreinte…. Malgré son ton, le passage ne condamne pas toutes les formes d’immigration aux États-Unis. Le rejet de la mesure “évitera les pires propos racistes et xénophobes du pays depuis deux semaines”, selon Mathilde Panot, favorable à cette décision.
L’humain et sa relation aux nombres
Les faits et les articles de presse entrent en jeu. Plus tard, Marion Maréchal revient sur les derniers « phénomènes de société » documentés ces deux dernières semaines. Dans les Yvelines, en revanche, un Ivoirien a enlevé et violé une femme de 65 ans qui avait récemment vaincu un cancer du poumon, selon l’OQTF.
Où un sans-papiers a agressé sexuellement une jeune fille de quatorze ans à Avignon. En revanche, Mathilde Panot reste silencieuse face à ces faits divers et nie tout lien entre immigration et sécurité. La France Insoumise rapporte que les tueries ont diminué de moitié depuis le début des années 1990, ce qui montre que le pays est loin d’être barbare et dissipe toutes ces fausses données.
un domaine sensible que les conservateurs nationaux tentent d’aplanir. Marion Maréchal pense que Mathilde Panot vient apparemment d’une autre planète car elle n’a aucune idée de ce que vivent ses concitoyens.
Lecture complémentaire : Le président et la veste pâle du Palais Bourbon
Après avoir affirmé que le terme « français de papier » venait « de Maurras, Pétain et Drumont », Mathilde Panot reproche à Marion Maréchal de prôner une vision ethnique de la France et de différencier les membres de la population.
Un terme que Jean-Pierre Chevènement utilisait également en 2016 sur RTL… Suite à cela, Marion Maréchal a brillé en évoquant quelques noms de son sombre passé : Mohammed Merah, Youssouf Fofana ou encore Redouane Lakdim, l’assassin d’Arnaud. Beltrame, entre autres, comme exemples potentiels de Français du papier.
Oleg Sokolov, ancien professeur à l’Institut des sciences sociales, économiques et politiques (Issep) emprisonné en Russie pour avoir découpé sa compagne, est cité par Mathilde Panot comme un exemple de la manière dont menace islamiste et menace d’extrême droite sont à la fois sérieux.
Suite à cela, en 2022, un voyou affilié au GUD a assassiné Federico Martín Aramburú. Elle est suivie par l’assaut du Petit-Clamart. Encore deux minutes, et le député LFI ajoute le meurtre d’Henri IV à la liste macabre de l’ultra droite…
Loi sur l’immigration : le piège des vacances
Il n’y a pas de racisme anti-blanc pur et simple. Finalement, le coup de Mathilde Panot a été le meilleur de la soirée. “Oui, il peut y avoir des actes xénophobes contre les Blancs, qui sont tout à fait répréhensibles”, a-t-elle déclaré, évoquant à nouveau l’horrible crime de Crépol et faisant allusion au racisme anti-blancs.
Un système de discrimination qui touche des individus en fonction de leur religion ou de leur couleur de peau constitue un racisme structurel. Il existe un sectarisme méprisable et une incitation à la violence, mais ce n’est pas la même chose que le racisme anti-blanc qui, comme je l’ai déjà mentionné, est un produit de l’extrême droite.
Pas terrible, mais son adversaire du jour évoque le fait que neuf témoins de Crépol ont entendu : “Nous sommes là pour planter des Blancs, nous sommes là pour tuer des Blancs.” Selon Mathilde Panot, l’homme poignardé en Moselle dans la nuit du 8 au 9 décembre criait “sale blanc, sale gwer”, terme qui n’inclut pas le racisme anti-blanc mais plutôt l’incitation à la haine, la commission d’enquête actes de haine et xénophobie.
Inquiets de la loi sur l’immigration de Gérald Darmanin, le président des députés La France insoumise et le candidat Reconquête aux élections européennes ont vu leurs projets contrecarrés. Lorsqu’il s’agissait du pouvoir d’achat et des dangers liés à l’extrême droite, le discours était tout aussi houleux. C’était un environnement chargé. Marion Maréchal et Mathilde Panot ont eu une longue conversation sur BFMTV dimanche 17 décembre dernier. Immigration, consommation, extrême droite… Tout ce qu’il faut retenir de leurs conversations est ici.
Dimanche 17 décembre, Marion Maréchal et Mathilde Panot se sont affrontées dans une vive dispute diffusée sur BF.
MTV. On parle désormais de l’assassinat de Thomas à Crépol, mais le leader de la liste électorale européenne Reconquête ! a émis l’hypothèse que la race du jeune homme était un facteur majeur dans sa disparition prématurée. Dans leur débat, l’ex-députée du Vaucluse a interrogé son adversaire sur la prévalence du racisme anti-blancs en France.
Début décembre, interrogé à ce sujet, l’ancien Premier ministre Édouard Philippe a déclaré au Journal du Dimanche (JDD) qu’il estimait “très possible” qu'”une nouvelle forme de racisme anti-Blancs” existe en France. Officiellement, “Oui, il y a du racisme”, a déclaré le même jour le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin au média Brut. Bien sûr, il existe du racisme contre les Blancs, les Juifs, les Nord-Africains et les Noirs. D’un autre côté, il y a le racisme contre les Noirs.
Juste un rappel amical : neuf victimes ou témoins sur cent ont rapporté avoir entendu des propos hostiles aux « Blancs ». Près d’un mois après l’assassinat de Thomas, vendredi 15 décembre, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Grenoble a confirmé le maintien en détention provisoire de quatre individus qui avaient contesté leur placement. Sur les quatre, trois sont significatifs, tandis que le quatrième est léger.