Mathilde Panot Enceinte – En août, elle a fait une déclaration sur sa personnalité publique et le sexisme au Parlement français, écrivant dans Libération, « Pour l’instant, je ne vois pas de changement radical. Le directeur de cabinet des législateurs de LFI a révélé : « J’ai toujours une image de sauvage, de harpie », avant d’ajouter : « Tant mieux s’ils ont peur de moi. » Mathilde Panot continue d’être fidèle à elle-même, et jusqu’à présent, cela semble fonctionner.
Dans l’émission “Face à Face” de BFMTV le 28 mars 2023, Apolline de Malherbe a interviewé Mathilde Panot, membre de La France Insoumise. Le journaliste l’a également interrogée sur certaines de ses déclarations les plus controversées.
Raison suffisante pour agacer le principal intervenant.Apolline de Malherbe, fraîchement sortie de son entretien avec Olivier Véran la veille au soir, a invité Mathilde Panot de BFMTV-RMC pour un épisode de Face à Face mardi.
Et le représentant de La France Insoumise a été sollicité pour évoquer les violents affrontements qui se sont déroulés samedi lors d’un rassemblement à Sainte-Soline pour protester contre la construction de méga-bassins. Un grand nombre de blessés ont été signalés après des affrontements entre forces de l’ordre et manifestants.
Un manifestant de 30 ans a subi de graves lésions cérébrales et est actuellement au seuil de la vie ou de la mort. Une situation critique qui ne s’est pas améliorée pour le moment. Le lendemain, après ce rassemblement, Mathilde Panot a répandu de fausses informations qui auraient pu conduire à de graves méfaits.
Cependant, alors qu’elle s’adressait aux médias, elle a brusquement arrêté ce qu’elle faisait pour annoncer « J’apprends à l’instant que le manifestant est mort, je l’apprends avec effroi », qui n’a pas été diffusé par respect pour le défunt. famille. Alors Apolline de Malherbe demanda : « Regrettez-vous qu’on vous ait dit ces mots hier ?
A déposé une résolution pour reconnaître officiellement le mot “parange”.
Comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus, elle a expliqué le concept au HuffPost : “L’idée est de demander à l’Assemblée nationale de reconnaître le terme “parange” et d’engager le gouvernement à promouvoir son utilisation.” En raison de la pression parentale, elle s’est associée à eux pour tenter de donner un nom à l’innommable tragédie de la perte d’un enfant.
Cela provient d’un e-mail que j’ai reçu le 24 décembre d’une femme nommée Lili, a déclaré le législateur. Et la femme m’a dit : “Il y a trois ans, j’ai perdu mon fils. Il avait 39 ans. Ma jolie fille est une pute, mes enfants sont des sans-abri et je n’ai aucune idée de qui je suis.
60 000 noms de personnes
Nadia Bergougnoux, qui a perdu un enfant à six mois et demi de grossesse il y a près de 30 ans, est créditée d’avoir popularisé le mot “parange” dans son ensemble. Celui qui a lancé la pétition qui compte maintenant plus de 60 000 partisans mérite d’être félicité.
La souffrance d’un enfant à naître ou à naître est une épreuve injuste et terrible. Nous aimerions être reconnus pour le travail que nous avons accompli sur la route du désespoir”, a-t-elle écrit sur la plateforme Change.
Cet appel s’adresse à l’Académie française avec l’espoir que d’ici 2021, ce mot, qui n’a d’équivalent dans aucune langue, culture ou religion, soit intégré au dictionnaire. Mathile Panot raconte : « Il y a un mot qui est utilisé, mais que beaucoup de parents et de tuteurs nient. Le mot français est « désenfanté ». Nadia, en revanche, m’a dit : « J’ai trois filles ; Je ne suis pas démuni.
Une députée LFI souhaite faire modifier l’article 25 de la Constitution afin que les femmes puissent être temporairement remplacées en cas de congé de maternité ou de responsabilités parentales. Pendant sa période de grossesse, un membre du Congrès est tenu de quitter son siège à la Chambre des représentants afin qu’elle puisse accoucher.
L’article 25 de la Constitution stipule qu’un élu ne peut être remplacé par un successeur qu’en cas de décès, d’accession à un poste gouvernemental ou de nomination à la Cour constitutionnelle. Une situation à laquelle Mathilde Hignet, représentante de LFI pour l’Ile-et-Vilaine, espère remédier car elle attend un enfant.
Dans Libération, elle dénonce un scénario “hallucinant” et explique que vendredi, elle déposera un projet de loi pour régler le problème. comme le précise l’élu. Tous les représentants de LFI ont signé jusqu’à présent, et les autres factions parlementaires sont invitées à faire de même.
Un contexte “culpabilisant” pour les femmes
Au moins quatre législatrices, dont Aurore Bergé, membre du personnel du groupe Renaissance à l’Assemblée nationale française, devraient se rendre dans les prochaines semaines, selon Libération.
En réponse aux questions du Figaro, elle a dénoncé ce qu’elle a qualifié de “situation culpabilisante pour les femmes qui ne devraient pas s’inquiéter ni se sentir mises sous pression”. Cependant, le vétéran juppista estime qu’un amendement constitutionnel n’est pas la solution “la plus pertinente”. sa grossesse à ses collègues législateurs.
Mathieu Croissandeau fait allusion à de telles règles, disant qu’elles ont été écrites « par des hommes pour des hommes ». Pour être plus précis, dit-il, « l’Assemblée se féminise de plus en plus ». Il y avait 12 femmes membres de l’Hémicycle en 2002. L’estimation actuelle est de 36 %. sous Marine Le Pen). Dans quelle mesure êtes-vous prêt à faire un changement ?
C’est une proposition symbolique, certes, mais qui parle au nom de tous les parents qui ont subi le drame de perdre un enfant à n’importe quel âge, avant ou après la naissance. Mathilde Panot, la déléguée LFI qui a proposé cette résolution à l’Assemblée, a déclaré au HuffPost : “L’idée, c’est l’idée de demander à l’Assemblée nationale de reconnaître ce mot ‘parange’ et d’engager le gouvernement à le vulgariser.”
Tout découle d’une pétition que Nadia Bergougnoux a mise en ligne et envoyée à l’Académie française. Elle se dit “mamange” et explique : “Quand une femme perd son mari, elle est veuve ; quand un enfant perd son père, il est orphelin… Qui sommes-nous quand nous oublions nos propres enfants ? Nous sommes les PARANGES Parents d’Angel Mathilde Panot a apporté son soutien à la pétition qui a recueilli plus de 60 000 signatures.
En normalisant l’usage de ce mot, elle espère « lever un tabou » sur la dépression périnatale et la mort, notamment chez les enfants. Elle souligne qu’il s’agit de l’une des rares résolutions qu’elle a adoptées dans lesquelles des membres de tous les partis du Congrès ont signé en tant que parrains. Je pense qu’il serait approuvé à l’unanimité s’il était inscrit à l’ordre du jour quotidien. En effet, trente parlementaires de l’opposition comme de la majorité se sont regroupés pour soutenir la proposition de Mathilde Panot.
L’adoption de la résolution exige maintenant qu’elle soit inscrite à l’ordre du jour. Sinon, le législateur attendra mai pour rejoindre le créneau parlementaire France Insoumise. Mathilde Panot perd quelques voix mais est élue présidente de la faction La France insoumise à l’Assemblée nationale. En particulier, Yal Braun-Pivet a déclaré qu’elle était « dure » dans le numéro d’aujourd’hui de L’Opinion, un journal français.
Après la réélection d’Emmanuel Macron à la présidence de la France en 2022, l’émergence des femmes à l’Hémicycle s’imposera comme l’événement politique le plus marquant de l’année. Outre Yal Braun-Pivet, première femme à diriger l’Assemblée nationale, trois autres femmes occupent le poste de chef de groupe : Aurore Bergé du parti Renaissance, Marine Le Pen du parti Rassemblement national, et Mathilde Panot de la France insoumise. partie, comme le rappelait la publication L’Opinion du 27 décembre.
La plus connue des élues françaises inconnues en 2022 sera peut-être Mathilde Panot. Un initié a déclaré à la presse, “Marine Le Pen est beaucoup moins agressive que Mathilde Panot.” Même Yael Braun-Pivet, qui a avoué que “même en tête-à-tête avec moi, elle reste très dure”, semble masquée.
Une femme qui n’a pas peur de faire connaître ses sentiments.
Mathilde Panot n’a jamais eu peur de dire ce qu’elle pensait, même si cela a donné beaucoup de munitions à ses adversaires. Elle s’était notamment exprimée sur Twitter en novembre pour critiquer la position du RN sur des questions liées au projet de loi qui aurait inscrit le droit à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution.La honte, demandez-vous, “est pour quoi?” qu’elle ait tweeté ou non. Enfin, la proposition législative a été approuvée en première lecture.