Maryse Evan Jeppe Sport – Après avoir pris sa retraite de la compétition de funambule en 1996, Éwanjé-Épée a connu le succès dans les médias en tant qu’animateur de radio et de télévision, intervieweur sportif, administrateur sportif et consultant sportif. L’un de ses trois livres est une biographie de l’athlète olympique Jesse Owens.
A paraître en 2016 aux Editions José Carlin Jacques-Marie Laffont : Jesse, le conte fantastique de Jesse Owens. Charles Éwanjé-Épée est un guitariste, chanteur et compositeur camerounais. Geneviève Pujol, sa mère, était originaire de Catalogne espagnole.
La plus jeune des trois filles de Maryse Éwanjé-Épée, Monique, a concouru pour la France aux 60 et 100 mètres haies. Maryse Éwanjé-Épée est la troisième de quatre sœurs qui ont toutes concouru en athlétisme. Sa mère est camerounaise et son père est français d’origine espagnole.
Elle commence l’athlétisme à l’âge de huit ans à l’École Vercingétorix d’Aubière (Puy-de-Dôme), mais ne pratique la compétition qu’après s’installer à Montpellier trois ans plus tard. Avant que le futur entraîneur de Dominique Biau au Montpellier Université Club ne la repère, elle passe son adolescence à jouer au basket et à la course à pied.
Il est professeur de mathématiques dans une université de la ville et ancien parent scolarisé à la maison qui enseignera à Maryse et à ses sœurs en utilisant un programme basé sur des évaluations simulées du monde réel. Avant de se concentrer sur le saut en hauteur, Maryse deviendra la championne de France du 100 mètres haies et de l’heptathlon.
À l’âge de 16 ans et 10 mois, elle est choisie pour participer aux Championnats d’Europe juniors d’heptathlon 1981 à Utrecht. Elle établit un nouveau record personnel de 15 centimètres aux barres asymétriques, bat les records de France dans les catégories cadets, juniors et espoirs et remporte au total huit épreuves durant la compétition.
Elle établit neuf fois le record de France seniors entre 1982 et 1985 et remporte les titres de France collégiaux et lycéens au saut en hauteur, au 100 mètres haies, au saut en longueur et à l’heptathlon.
Marie-Christine Debourse, meilleure décathlète française de tous les temps et actuellement consultante pour TF1, a commenté en direct le 1,88 mètres qu’elle a sauté lors de sa première tentative de record du monde senior aux Championnats d’Europe 1982 à Milan. Maryse bat à plusieurs reprises le record de France après une nouvelle année d’entraînement et remporte le bronze aux Championnats d’Europe à Budapest.
Après les Jeux olympiques de Los Angeles en septembre 1984, Maryse retourne aux études pour terminer son diplôme en journalisme à l’Université de l’Arizona à Tucson. En mai 1985, elle et ses coéquipières des Wildcats Katrena Jonhson et Camille Harding ont réalisé un triplé historique en se classant respectivement première, troisième et deuxième.
Peu de temps après, elle a atteint 6 pieds 4 pouces (1,96 m), battant le précédent record collégial américain de 3/4 de pouce. Ce record perdurera jusqu’en 1992, date à laquelle il sera battu une première fois par Tanya Hugues puis de nouveau par Brigetta Barrett.
Maryse Éwanjé-Épée revient en France en septembre 1985 pour poursuivre ses études, mais apprend que son entraîneur de longue date, Dominique Biau, a pris sa retraite et envisage de ralentir sur le plan sportif. Elle se rend ensuite à Paris pour étudier auprès de Christian Charbonnel à l’INSP (Institut national du sport, de l’expertise et de la performance).
Madely Beaugendre revient au plus haut niveau et se qualifie pour les Jeux olympiques d’été de 1988 à Séoul lors de la dernière journée de qualification de ce qui reste le championnat de France le plus esthétique, organisé à Tours. Durant ces deux saisons, elle établit un nouveau record de France en salle avec une hauteur de 1,96 mètres. Madely Beaugendre mesure désormais 1 mètre 93 centimètres.
Maryse Éwangé-Épée, journaliste à RMC (Moscato Show), a défendu l’entreprise de vêtements de sport Voile et le groupe islamiste Alliance citoyenne grenobloise, tous deux accusés d’avoir planifié des opérations en burkini dans les piscines. Malgré tout, il est décourageant de voir le front raciste se durcir, se ralliant autour d’un étendard de couleur de peau et de croyances religieuses.
Le faux Darmanin abandonné a répondu : “Je célèbre en cambriolant la mosquée de Pantin, où ressuscite le sentiment meurtrier anti-féminin.” C’est le genre de réflexion économique et efficace qui peut laisser une impression durable dans votre esprit.
Concernant les réalisations les plus récentes de Darmanin. Malgré la sanction déjà sévère pour ce meurtre, l’imam local de la mosquée de Toulon ouvre ses portes au public après la découverte d’une tête coupée quelques semaines après la mort de Samuel Paty.
La décapitation de Samuel Paty n’a donc servi qu’à appeler à l’éclatement de la génération identitaire et à l’introduction de religions pacifiées à côté de l’Islam, religions redéployées aux côtés des faux nez de Californie que personne n’ose stigmatiser (belle démonstration de Zemmour en fin de journée d’hier).
Le résultat est qu’un traité de paix royal provoque des perturbations dans les couronnements et remet en question une loi de 1905 selon laquelle l’État intervenait dans les affaires de l’Église. Pour le plus grand plaisir de M. Darmanin, il peut désormais rentrer à Alger et demander une augmentation.
Et on nous répondra que tout cela n’a rien à voir avec autre chose… C’est bien pour les meurtres, mais qu’en est-il des vols, des agressions, des menaces de mort, etc. sur le web ? Une simple réaction instinctive, Yéti. Le taux de meurtres a augmenté de 91 % en seulement 20 ans, passant de 2 338 à 4 472. L’augmentation est de 113% par rapport aux données de 1972.
Les crises sociales et sanitaires, ainsi que les appels au meurtre sur les réseaux sociaux, sont en cause, selon l’ancien Grand Maître de l’Orient de France. Oh, bien sûr, ils ont besoin d’avoir une conversation, et pas seulement une courte. Ils suivent comme la surdité et l’aveuglement du désastre culinaire français.
Il a fallu des mois de collaboration entre la Direction des recherches de la police judiciaire de Saint-Ouen, la Task Force interrégionale 93 (GIR 93) et la Cellule d’analyse des enquêtes criminelles (AnaCrim) pour rendre ces opérations possibles.
Au total, 58 406 euros en espèces, 6,3 grammes de résine de cannabis et 1,4 gramme de feuilles de cannabis ont été saisis à la suite des perquisitions. Un compte bancaire contenant 6 980 € a été gelé, ainsi que l’appartement associé. Anthony Lamoureux, avec un A. Au 12 janvier, il y avait 28 297 actes de décès électroniques mentionnant le Covid-19, même si seulement 15 280 de ces actes étaient des décès avec maladie confirmés par le SRAS-COV-2.
France-Soir a reçu une étonnante interview de Claude Janvier, co-auteur de “Le virus et le Président” avec Jean-Loup Izambert. L’auteur évoque l’idée de « terrorisme viral » et dénonce la « dictature » du ministère français de la Santé (692 salariés sous son contrôle) et de l’Académie française des sciences médicales (10 000 salariés). Ils sont rémunérés pour diffuser des informations fausses et alarmantes.
Le costume est actuellement au dernier rang. Quels sont les mots suédois pour « traître » et « idiot » ? Par ailleurs, le directeur de l’école, “qui a pris la tête de la désobéissance civile au niveau local”, a accueilli plusieurs enseignantes non musulmanes suspendues la semaine précédente pour avoir porté le signe religieux du honni en solidarité avec le Communauté musulmane.
Maryse Éwanjé-Épée détient le record personnel de son record personnel en saut en longueur en extérieur depuis le 21 juillet 1985, lorsqu’elle a sauté 1,96 mètres aux Champs nationaux d’athlétisme à Colombes, en France. Aucun athlète français ne pourra battre ce record de l’extérieur avant 22 ans. Le 11 août 2007, Mélanie Melfort sautait 1,96 mètres, égalant ainsi le record du monde. La plus haute performance en salle à Éwanjé-Épée en 1984 était de 1,95 mètre.
Une médaille d’argent et deux de bronze aux Championnats d’Europe en salle, une médaille de bronze aux Universiades d’été, une médaille d’or aux Jeux de la Francophonie et une médaille d’or aux Jeux Méditerranéens appartiennent toutes à Éwanjé-Épée à la barre fixe.
Elle a concouru pour la France à l’épreuve de la barre fixe aux Jeux olympiques d’été de 1984 et 1988. Lors des finales olympiques de saut en hauteur de 1984 et 1988, elle s’est classée respectivement quatrième et dixième.
Elle était trop petite pour participer aux Jeux olympiques d’été de 1992 et 1996, car sa taille était inférieure d’un centimètre au minimum requis. Elle a remporté huit titres dans la division senior des Championnats de France d’athlétisme de saut en hauteur, quatre en salle et quatre en extérieur, entre 1982 et 1996.
Au moment d’écrire ces lignes, Éwanjé-Épée détenait toujours le record de l’heptathlon qu’elle avait établi alors qu’elle était étudiante à l’Université de l’Arizona à Tucson, en Arizona (États-Unis). Elle détenait le record de la NCAA du saut à la barre le plus haut de 1985 à 1996, franchissant 1,96 mètres.
L’Arizona a remporté le championnat NCAA 1985 grâce aux performances de Katrena Johnson (première place), Maryse Éwanjé-Épée (deuxième place) et Camille Harding (troisième place).
