Marthe Villalonga Et Son Fils – Cela fait 60 ans que Marthe Villalonga nous divertit avec ses personnages vibrants. Dans les films d’Yves Robert, elle incarne la mère autoritaire de Guy Bedos ; dans les films d’Alexandre Arcady, elle incarne la femme de Roger Hanin ; dans la série télévisée Maguy, elle incarne Rose Le Plouhannec ; et plus récemment, elle a incarné Suzanne Hazan dans le film We York de Géraldine Nakache et Hervé Mimran.
L’actrice, qui aura 91 ans le 20 mars, est connue pour ses performances éclatantes sur grand écran mais reste discrète dans la vraie vie. Mais en février 2021, l’actrice qui incarnait Rose Le Plouhannec dans Maguy acceptait de déclarer son grand amour dans l’émission Sept à Huit (TF1), même s’il était alors marié.
Après avoir déclaré : « Il n’y en avait qu’un jusqu’à il y a trois ans, jusqu’à ce qu’il disparaisse », elle précise qu’« il n’y en avait qu’un jusqu’à ce qu’il disparaisse ». L’actrice et son partenaire, qui est également père, n’ont jamais eu de maison ensemble.
J’essayais d’éviter cela. Je ne vois pas l’intérêt. Cela ne sert à rien, dit-elle, si cela ne fait que causer de la douleur aux autres. Marthe Villalonga a décidé de le laisser passer du temps avec son compagnon si cela signifiait le garder à proximité. Sans cela, nous ne serions pas restés aussi longtemps.
Nous ne pourrions pas prendre un mois de congé ensemble même si nous le voulions. Les seules options sont l’acceptation ou le rejet. Je ne vais pas mentir et prétendre que nous nous sommes toujours acceptés”, dit-elle franchement.
Je n’ai aucun remords.
Marthe Villalonga se savait « un peu spéciale », mais elle refusait toujours de quitter cet homme. N’y a-t-il aucune culpabilité? Un couple sans enfant déclare : “Nous n’en avions pas parce que nous n’avons rien montré”, révélant ainsi l’infertilité de l’actrice.
Quelque chose qu’elle déplore dans son explication fataliste. Ils avaient tord. Je n’aurais rien pu faire pour empêcher d’en avoir un, et il était pareil, dit-elle. Je n’ai pas d’enfants, mais si j’en avais eu, je l’aurais gardé.
Le 20 mars marquera les 90 ans de Marthe Villalonga. Sa vie de pianiste, les mystères de ses parents, le (petit) écart d’âge entre elle et Guy Bedos, la maternité, son amour pour un homme marié, etc.
Même si l’actrice n’a jamais joué une mère dans la vraie vie, des millions de personnes sont curieuses de connaître ses mystérieux débuts dans le théâtre algérien, son rôle face à Guy Bedos (qu’elle a omis de révéler) ), sa grossesse non révélée et sa vie amoureuse cachée. Marthe Villalonga, d’origine algérienne, a découvert très tôt qu’elle avait le don de faire rire.
Mara Villalonga, pianiste
Ses proches pensaient qu’elle s’installerait pour élever une famille et rester à la maison, mais elle avait d’autres projets. Puis, sans le dire à ses parents, elle découvre sa passion pour le théâtre. Marthe Villalonga a joué le rôle du personnage féminin principal lors d’une répétition.
Après s’être faufilée dans les ateliers de comédie du conservatoire d’Alger, elle fait ses débuts d’actrice dans la pièce La Famille Hernandez de Geneviève Balac la même année 1958. Son père lit certaines de ses notes de journal et découvre ce que fait sa fille dans la vie.
Elle décide de faire de Paris sa résidence permanente après y avoir connu un grand succès. Elle a déclaré au journal parisien Le Français que la méthode téléphonique était considérablement plus simple. Puis, dans le film Déclic et des gifles de Philippe Clair, elle fait ses débuts sur grand écran.
Les tentatives de Marthe Villalonga pour incarner la maman de Guy Bedos n’ont pas abouti.
Pourtant, Marthe Villalonga a totalement bâclé l’un des plus gros pans de sa carrière. L’équipe de casting est venue me chercher lorsqu’elle m’a déposé dans le hall. Quand j’ai d’abord entendu : « Oh non, ça ne marchera pas », j’ai pensé que c’était une blague. Quand j’ai interrogé la responsable, une des employées m’a murmuré : “Écoutez l’accent qu’elle a, c’est le même personnage.” Quelqu’un peut-il me dire si elle en a parlé au Parisien ?
Marthe Villalonga avait à peu près le même âge que Guy Bedos.
Dans ces films classiques, elle incarne la mère de Guy Bedos, à la fois gourmande et curieuse. Saviez-vous que la mère était interprétée par une actrice qui n’avait que deux ans de plus que le fils qu’elle incarnait ? Seuls la fumée et le feu restent visibles pour la population en général. Le genre de jeu qui élèvera à jamais sa stature. Elle aurait déclaré : « Je ne suis ni une mère ni une juive ». C’est ce qu’a rapporté France Inter.
La performance Maguy de Marthe Villalonga l’a propulsée au rang de célébrité et a consolidé sa place dans la dynastie des acteurs français. Près de 300 émissions l’ont présentée. Il était déjà pris quand Marthe Villalonga est arrivée.
L’actrice n’a jamais eu l’intention d’intégrer son partenaire dans l’attention qu’elle porte sur sa vie personnelle. Même si ses envies la conduisaient à mener deux vies, elle pensait qu’il valait mieux rester cachée. Pour quel effet ? Si vous le faites uniquement pour voir les autres souffrir, arrêtez. Était-elle malhonnête ? Pourquoi Marthe Villalonga n’a-t-elle pas fondé sa propre famille ?
Marthe Villalonga n’a jamais pris la décision de ne pas avoir d’enfants. Moi non plus, je n’ai rien fait pour l’arrêter (comme lui). Si j’avais eu un enfant, je les aurais gardés car j’adore les enfants, mais je ne vis pas dans le regret.
Elle a expliqué dans les chapitres sept et huit : « Je n’ai absolument aucun regret. » Le 20 mars dernier, c’était la fête des 91 ans de Marthe Villalonga. L’occasion d’en apprendre davantage sur la liaison passée de l’actrice avec un homme marié, qu’elle a cachée une grande partie de sa vie.
Depuis 60 ans, les amateurs de l’œuvre de Marthe Villalonga se laissent divertir par ses personnages saisissants. Suzanne Hazan dans Géraldine Nakache et We York d’Hervé Mimran ; la mère autoritaire de Guy Bedos dans les films d’Yves Robert ; l’épouse de Roger Hanin dans l’œuvre d’Alexandre Arcady ; Rose Le Plouhannec dans la série télévisée Maguy ; et plus récemment, le personnage de Suzanne Hazan.
Elle a provoqué tant d’hilarité. Elle a d’abord incarné la mère autoritaire de Guy Bedos dans les films d’Yves Robert ; dans la vraie vie, elle n’avait que deux ans de plus que son fils à l’écran. Elle incarne ensuite la femme de Roger Hanin dans des films réalisés par Alexandre Arcady.
Et pendant plus d’une décennie, elle a été une femme de ménage colorée nommée Rose dans la série télévisée Maguy. Même si elle est vive, explosive et séduisante devant les caméras depuis plus de 50 ans, elle est considérablement plus privée et modeste dans sa vie personnelle. Une existence secrète dans laquelle la bien-aimée était partagée par tous. Un passé jusque-là inédit dont elle souhaite désormais discuter.
Pour l’occasion, Marthe accueillera les caméras chez elle à Cannes de 19h à 20h. “L’océan est tout mon monde. Là, et il est en mouvement. C’est fantastique. Mais elle a aussi un faible pour le continent de l’autre côté de l’océan, en particulier l’Afrique du Nord. et son pays natal, l’Algérie. . C’est tout ce qui me ramène à mes années de formation.
A 25 ans, elle quitte définitivement son pays natal. “Jamais”, déclare-t-elle catégoriquement. C’est une décision délibérée qu’elle a prise « parce que je ne retrouverai pas mon pays », comme elle le dit. Sa première éducation a eu lieu dans l’entreprise familiale « Le Café de France », située à l’extérieur d’Alger.
Il y avait constamment des gens qui venaient boire un verre, comme les amis de mon père, et ils me disaient toujours : “Allez, viens nous chanter quelque chose”. En plus, je trouvais ça assez excitant. Même à 6 ans, j’avais envie pour jouer le rôle d’une marionnettiste. Elle explique : “Je me sentais espiègle, alors j’ai sauté sur une table et j’ai chanté ‘C’est le combat final'” (L’Internationale, ndlr).
Marthe a été élevée par deux parents aimants comme enfant unique. Pour éviter leur déception, elle étudie en secret la comédie au Conservatoire d’Alger. La seule différence est qu’elle a terminé l’année en tête, ce qui était une nouveauté pour son père.
Elle y est allée en 1958 parce qu’elle avait écrit une pièce à succès sur une famille pied-noir intitulée La Famille Hernandez. En disant : « C’était un rêve », elle a expliqué ce qui s’était passé. Marthe Villalonga a dit : “Je ne suis ni mère ni juive Elle plaisante en disant que sa mère était italienne et son père espagnol. Elle trouve sa place dans le théâtre de boulevard. Elle revient sur ses 50 années de scène avec un pincement au cœur et dit : “mais c’était bien”.
Juste le seul amour
Sans mari ni enfants, elle est libre de vivre le style de vie bohème et libre qu’elle préfère. Elle a toujours caché sa vie privée derrière ses personnages, mais elle est enfin prête à admettre qu’elle a un amour immense. “Il n’y en avait qu’un”, dit-elle franchement.
Bien avant de se marier et d’avoir des enfants, elle avait un compagnon avec qui elle ne vivait pas. “Jusqu’à il y a trois ans, jusqu’à ce qu’il ne soit plus là”, raconte-t-elle. J’essayais d’éviter cela. Je ne vois pas l’intérêt. Cela ne sert à rien si cela ne fait que causer de la douleur aux autres, dit-elle.
Parce que “sinon nous ne serions pas restés aussi longtemps”, propose-t-elle pour répandre cette affection. Ou bien nous partirons sans le faire. Alors qu’elle la reconnaît “un peu spéciale”, elle se demande : “On était bien, pourquoi rompre ?”
