Marie Renoir Accouchée – Cet article, présenté dans “Affaire conclue” le 25 avril, n’est pas particulièrement nouveau. Et c’est surtout son utilisation qui impressionne à la fois Sophie Davant et le commissaire-priseur, Marie Renoir.
Le vendeur Sean s’est présenté sur la scène de l’émission dans l’épisode non diffusé du 25 avril avec quelque chose “d’un peu curieux”, comme l’avait prévenu la voix off. En fin de compte, il s’est avéré être un canapé. Il n’y a rien eu de bon ou d’original jusqu’à présent. Sauf que ce canapé servait un but caché.Elle avait « remarqué que de l’autre côté, quand on l’ouvrait, des étriers sortaient ».
Je doute que je me mette dans cette position.
Cette fois-ci, Sophie Davant a hésité à tenter le coup, même au moment de l’ouvrir complètement. canapé a même “une petite malle” intégrée pour ranger tous les outils d’accouchement…
Pour compléter ma formation juridique, j’ai obtenu un Master 2 Droit & Fiscalité du Marché de l’Art ainsi qu’un Diplôme Universitaire Professionnel du Marché de l’Art, et je suis également titulaire d’une Licence en Histoire de l’Art à dominante Période Moderne. Ayant développé une profonde appréciation de l’objet et de son histoire, j’ai l’intention de poursuivre une carrière de curé-commissaire sacrificiel.
En 2013, j’ai été admis au concours d’admission au grade de commissaire-priseur, et j’ai passé mes deux années de stage à Versailles Enchères dans le département d’Art contemporain auprès de Maître Olivier PERRIN et Gilles FRASSI, de ses associés Mes Philippe ROYRE et Antoine LAJEUNESSE, qui m’ont également fait confiance pour gérer des dossiers judiciaires et faire des expertises.
Depuis juin 2018, je fais partie de l’équipe finale d’Affaire chez Warner Bros. Mes objectifs professionnels sont centrés sur le développement de l’expertise, la communication et l’appréciation des œuvres d’art.Spécialités : Art abstrait et contemporain, Vente aux enchères, Droit du marché de l’art, Fiscalité du marché de l’art, Gestion des stocks d’art, etc.
Sophie Davant est l’une des principales raisons pour lesquelles le public français et belge de “L’Affaire conclue” aime tant le spectacle. L’animatrice de France 2 est du genre à dire exactement ce qu’elle pense, et sa candeur fait d’elle une animatrice appréciée, même si certains de ses propos tombent à plat à cause du ton qu’elle utilise.
Sophie Davant voulait jouer au jeu, mais peu de téléspectateurs pouvaient expliquer son but.puis elle a enchaîné avec « J’imagine que nos téléspectateurs veulent comprendre. dehors aussi” (ce qui a légèrement gâché l’ambiance).
Le 6 novembre, un nouvel épisode d’A Current Affair a été mis à la disposition des téléspectateurs. Cette fois, Sophie Davant n’a pas pu retenir l’envie de réprimander cinglante une soi-disant experte qui pensait pouvoir sortir d’une impasse cruciale.
Avez-vous découvert un artefact étrange en triant les affaires de vos grands-parents ou par hasard en explorant un grenier poussiéreux ? Depuis trois ans, France 2 affiche un succès constant.
Affaire Conclue vous propose de travailler dans les coulisses de leurs ventes aux enchères avec Sophie Davant aux manettes. Le regard avisé des acheteurs fait partie intégrante du spectacle de ce jeu. Mais avant de s’attendre à jouer aux marchandages avec Julien Cohen et son équipe, il faut faire expertiser son objet par des professionnels.
Sophie Davant, animatrice d’une émission quotidienne sur France 2, adore écouter les anecdotes historiques des commissaires de police qui apparaissent dans l’émission. Par conséquent, l’animateur ne doit pas précipiter les choses.
Sophie Davant ne laisse rien lui échapper.
Une paire de vases signés Legras. Marie Renoir, commissaire-priseur d’Affaire Conclue, a commencé sa présentation par “La Maison Legras qu’on ne présente plus”, avant de passer rapidement à l’inspection des deux vases renommés.
C’était avant que Sophie Davant n’intervienne, indifférente à la précipitation de l’expert : “Bah si, on va la present again L’occasion rêvée pour Marie Renoir de se faire plaisir et d’approfondir ses recherches sur François-Théodore Legras. Il y avait beaucoup de choses qui étaient inconnues. C’est un super beau parcours », rétorque Sophie Davant. Une leçon bien présentée .
Depuis l’été 2018, Marie Renoir prodigue aux téléspectateurs de l’émission populaire de France 2 Affaire conclue, animée par Sophie Davant, ses conseils d’expert. L’enquêteur se confie sur son passage à l’Institut Versailles Enchères sur le plateau de l’émission télévisée Affaire finale .
Depuis toute petite, Marie Renoir entretient un lien particulier avec les objets. Enfant, elle aime discuter avec ses jouets, emmener ses animaux en peluche lors de visites privées de la maison pour admirer les meubles et les œuvres d’art, et vanter leur beauté et leurs qualités uniques.
En vieillissant, la jeune femme n’a qu’un objectif en tête : trouver un métier où elle pourra se consacrer pleinement à sa passion. Marie Renoir, aujourd’hui commissaire-priseur à l’Hôtel Versailles des Enchères, revient sur sa vie, sa passion pour l’art moderne et contemporain, et son apparition dans le dernier épisode de la série.
Comment avez-vous obtenu la scolarité que vous avez faite?
J’ai commencé par des études de droit et j’ai terminé mes études par une école d’art. J’envisage de devenir inspecteur en chef afin de combiner mon amour des affaires avec mon penchant pour le shopping. J’ai plongé tête la première dans ces études détaillées, parfois décourageantes.
Pour devenir une référence en matière d’art moderne, j’ai d’abord obtenu une maîtrise en droit du marché de l’art, puis une résidence à l’École des beaux-arts du Louvre, puis une licence en histoire de l’art. Après plusieurs années de travail acharné, j’ai enfin atteint mon objectif.
Vous avez effectué plusieurs stages et externats dans le cadre de votre formation avant de devenir membre à part entière de l’équipe commerciale de Versailles Enchères. Au cours de ma première année de droit, j’ai commencé à faire des stages. J’ai également expérimenté un certain nombre de variantes du concept de magasin de détail, des chaînes internationales les plus connues aux petits magasins locaux de banlieue.
Par conséquent, j’ai appris l’étendue des responsabilités d’un agent d’achat. Je pense qu’il est important d’en apprendre le plus possible sur un domaine avant de plonger la tête la première. En cours de route, j’ai croisé la route de deux personnes vraiment remarquables :
Olivier Perrin, commissaire d’art contemporain à Versailles Enchères, et Gilles Frassi, expert en la matière, seront également présents. Ils m’ont pris sous leurs ailes et m’ont appris tout ce qu’il y avait à savoir sur l’industrie. J’ai pu percer dans le monde de l’art moderne et contemporain grâce à leurs connaissances et à leur perspicacité. Une véritable amitié s’est épanouie au-delà des limites de la simple coopération.
La vente d’un tableau de Nicolas de Stal à Versailles Enchères reste le temps fort professionnel de ma carrière. Une étude de paysage de La Ciotat peinte en 1952 et vendue plus d’un million d’euros en décembre de cette année. Suivre l’élaboration de cette magnifique peinture à l’huile sur carton de 38 sur 55 centimètres, issue d’une famille distinguée, fut un incroyable privilège.
A Versailles Enchères, une pièce de Ladislas Kijno vient d’établir un nouveau record du monde. C’était une période merveilleuse de l’histoire. L’acheteur possédait le tableau depuis près de deux décennies, mais en raison de sa taille énorme (environ deux mètres sur un mètre et quarante-six pouces de hauteur), il n’avait jamais pu l’accrocher chez lui.
L’œuvre a été oubliée après avoir été placée dans un vide-poches. Nous avons collaboré avec le propriétaire pour l’enlever, le nettoyer et le mettre en vente. Le public a été initié à ce chef-d’œuvre grâce à la vente du tableau encaustique à plus de 91 000 €.