Maladie Daniel Cohen – Ses livres suivants, tels que “Trois leçons sur la société postindustrielle” en 2006 et “La Prospérité du vice, Une introduction (inquiète) à l’économie” en 2009, se lisent comme des fresques historiques retraçant l’évolution du capitalisme depuis ses débuts jusqu’à nos jours.
Dans son ouvrage le plus récent, Homo Economicus (2012), il a proposé une introspection du paradoxe d’Easterlin, selon lequel l’augmentation du produit intérieur brut par habitant ne s’accompagne pas toujours d’une augmentation des niveaux de bonheur.
Spécialiste de la dette souveraine
Parallèlement à son parcours académique, Daniel Cohen a travaillé comme consultant pour la banque Lazard. À ce titre, il a aidé plusieurs chefs d’État (dont le premier ministre grec, Georgios Papandreou, et le président équatorien, Rafael Correa) à renégocier les dettes de leurs nations respectives. Ses connaissances l’ont également conduit à s’associer à la Banque mondiale sur l'”Initiative pour les pays extrêmement pauvres” (PPTE).
Daniel Cohen est également bien connu dans l’industrie des médias, ayant travaillé comme reporter à L’Obs et rédacteur en chef du quotidien Le Monde (dont il a été membre du comité de rédaction jusqu’à sa mort).
Économiste actif, il a fait de nombreuses incursions en politique, rejoignant d’abord l’équipe de campagne présidentielle 2012 de Martine Aubry en juillet 2011 et, lors du cycle électoral de 2017, prêtant son soutien au candidat socialiste Benoît Hamon. Daniel Cohen était professeur au collège.
Un homme d’idéaux et de communication. Beaucoup de discussion et de participation. Emmanuel Macron a déclaré sur X : “Nous perdons un grand intellectuel, un économiste qui a contribué à mettre en lumière la recherche française, un véritable humaniste”.
Elisabeth Borne, la première ministre française, a déclaré sur Twitter qu’elle était “troublée” par la disparition de Cohen car sa “vision de l’économie française et des grandes révolutions, notamment numériques, sera absente du débat public”. Le ministre a été visiblement ébranlé par la perte de l’ami du ministre et de sa voix.
Frédéric Worms, le directeur de l’Ecole Normale Supérieure, a déclaré à l’AFP que Daniel Cohen était “l’un des plus grands intellectuels, économistes, animé par toutes les enquêtes et la science du moment, quelqu’un d’irremplaçable”. de l’analyse mathématique à la théorie politique.”
Les milieux universitaires et politiques pleurent la perte d’un “chercheur brillant” et d’un “pédagogue hors pair” avec le décès de l’éminent économiste Daniel Cohen, décédé dimanche à l’âge de 70 ans après avoir rédigé de nombreux essais et agi comme “analyste final ” du capitalisme.
Connu du grand public pour ses apparitions médiatiques, cet expert de la dette souveraine est né en 1953 à Tunis et a été président de la prestigieuse Ecole d’économie de Paris. Albin Michel, la maison d’édition de Daniel Cohen, a confirmé à l’AFP ce qui avait été rapporté dans Le Monde : que Cohen avait disparu après une longue maladie.
Le professeur Daniel Cohen était connu sous le nom de Daniel. Un homme d’idéaux et de communication. Beaucoup de discussion et de participation. Emmanuel Macron a déploré la perte d’un grand esprit sur X (anciennement Twitter), en écrivant : “Nous perdons un grand intellectuel, un économiste qui rayerait notre recherche française, un véritable humaniste”.
Toujours sur X, la première ministre française Elisabeth Borne a exprimé sa “tristesse” face à la disparition de M. Cohen, dont “la vision de l’économie française et des grandes révolutions, notamment numérique, sera absente du débat public”. Bruno Le Maire, ministre français de l’Economie, a été salué sur X comme “un énorme économiste, mais aussi un pédagogue hors pair, un défricheur d’idées nouvelles, un auteur brillant et convaincant”.
Pendant la crise du COVID, ses conseils auraient été précieux. Le ministre a sangloté : « Nous avons tous perdu une voix et un ami. L’écologiste et député européen Yannick Jadot a déploré la perte d’un homme “remarquablement intelligent, connecté aux défis de notre temps”. Daniel Cohen, politique de gauche, était bien connu pour son analyse des effets de la montée et de la chute du capitalisme.
L’économiste était politiquement à gauche, avec son livre le plus récent, “Homo numericus : La +civilisation+”. Daniel Cohen était rédacteur en chef au Monde et membre du comité consultatif de la revue en plus d’être diplômé de la prestigieuse École normale supérieure, où il obtient une licence en mathématiques en 1976 et un doctorat en économie en 1986.
Deux de ses livres, “Nos temps modernes” (Flammarion, 2008) et “Homo Economicus, prophète (égaré) des temps nouveaux” (Albin Michel, 2012), ont reçu le prestigieux Prix du livre d’économie, comme on l’a souligné par Le Monde. Frédéric Worms, directeur de l’Ecole Normale Supérieure, où M.
Générations étudiantes
Avec l’aide de lauréats du prix Nobel comme Esther Duflo et Gabriel Zucman, un tel soif de débat ». L’industrie des médias a également rendu hommage à Daniel Cohen, avec des exemples tels que la directrice de France Inter, Adèle Van Reeth, qui a embauché Cohen comme un “pédagogue incomparable”.
DÉCÈS – En matière de dette souveraine, c’était un véritable expert. Comme le rapporte Le Monde, l’économiste de renom Daniel Cohen est décédé le 20 août à l’âge de 70 ans, comme l’a confirmé le rédacteur en chef de Cohen, Albin Michel, dans une interview à l’AFP.
Daniel Cohen, né en 1953 à Tunis, est connu pour ses apparitions dans les médias et comme ancien président de l’École d’économie de Paris, prestigieux centre de recherche économique de niveau universitaire. Albin Michel s’est confié à l’AFP sur son “incroyable tristesse”. En réponse, Emmanuel Macron, désormais connu sous le nom de X sur Twitter, a déclaré :
“Nous perdons un grand intellectuel, un économiste qui a contribué à faire la lumière sur la recherche française, un véritable humaniste”. D’abord attiré par la proposition de revenu de base universel de François Hollande en 2012, il a ensuite basculé son soutien à Benoît Hamon en 2017.
L’économiste Daniel Cohen est décédé dimanche dernier à l’âge de 70 ans. Honneur lui est rendu dans les milieux académiques et politiques. Dimanche dernier, à l’âge de soixante-dix ans, il est décédé. Selon un reportage du Monde, malade depuis des mois, l’économiste Daniel Cohen nous a finalement quittés. Cet expert de la dette souveraine, né à Tunis en 1953, a occupé plusieurs postes importants dans la communauté économique, notamment celui de président de la prestigieuse Ecole d’économie de Paris.
De nombreuses personnalités politiques et économiques ont commenté l’impact de sa mort. Emmanuel Macron lui a rendu hommage sur Twitter en écrivant : « Daniel Cohen était professeur. Un homme d’idéaux et de communication. Les arguments et la participation ne manquent pas. économique en France.
Elisabeth Borne, première ministre française, a démissionné de sa “tristesse” suite à la disparition de Daniel Cohen, dont “la vision de l’économie française et des grandes révolutions, notamment numériques, sera absente du débat public s’il n’est pas là”. Nous oublions tous une voix, un ami. Bruno Le Maire, ministre français de l’Economie, a été salué sur X comme “un énorme économiste, mais aussi un pédagogue hors pair, un défricheur d’idées nouvelles, un auteur brillant et convaincant”.
Pendant la crise du COVID, ses conseils auraient été précieux. L’écologiste et député européen Yannick Jadot a déploré la perte d’un homme “remarquablement intelligent, connecté aux défis de notre temps”. Frédéric Worms, le directeur de L’Ecole Normale Supérieure, où Daniel Cohen était professeur émérite, a témoigné que Cohen était “l’un des plus grands intellectuels, économistes, animé par toutes les inquiétudes et la science du moment, quelqu’un d’irremplaçable”.