Lou De Laâge Vie Privée – L’actrice française Lou de Laâge est née le 27 avril 1990 à Bordeaux. En 2008, à l’âge de 18 ans, elle fait sa première apparition devant le public dans la série Les Petits meurtres d’Agatha Christie. En 2009, elle apparaît dans une publicité de la marque Bourgeois en tant que mannequin. La même année, elle commence à jouer Pauline dans la série télévisée française 1788 pour un total de six épisodes. Plus demi.
Sa carrière cinématographique démarre en 2011 avec J’aime regarder les filles de Frédéric Louf. Lou de Laâge incarne Gabrielle, une jeune étudiante issue d’une famille parisienne privilégiée. La même année, elle auditionne pour le rôle de Nino dans le film de Thomas Bardinet. Parallèlement, on la voit aux côtés de Bruno Solo et Claire Keim dans la série télévisée de France 2 La Nouvelle Blanche-Neige.
En 2012, Lou de Laâge intensifie ses activités théâtrales en jouant dans la production dirigée par Emmanuel Besnault de Il était une fois…le petit Poucet, de Gérard Gelas. La comédienne enchaîne l’année suivante avec deux pièces, Entrez et fermez la porte, et C’est tout pour cette nuit, ainsi que deux téléfilms :
Alias Caracalla, et Anna Karénine. Mais ce n’est qu’en 2013 que Lou commence à se faire un nom dans le milieu du cinéma, lorsqu’il apparaît aux côtés de Guillaume Canet et Daniel Auteuil dans Jappeloup. Sa performance lui vaut sa première nomination au César de la meilleure révélation féminine.
Le film Des gens qui s’embrassent de Danièle Thompson la met en scène à la fois dans le rôle de Noga. Kad Merad, Monica Bellucci et Max Boublil font également partie du casting. Au programme 2014 de la jeune femme, deux productions théâtrales et le très attendu film Respire, réalisé par Mélanie Laurent avec Joséphine Japy.
Dès qu’elle apparaît à l’écran, elle irradie. L’une des actrices françaises actuelles d’informatique est Lou de Laâge, 23 ans. Après avoir constaté la similitude entre “Jappeloup” et “Des gens qui s’embrassent”, avec Monica Bellucci, Kad Merad et Eric Elmosnino ce printemps, on peut désormais voir l’original. Cinq choses que vous devriez savoir sur elle.
Lou de Laâge fait sa première apparition devant la caméra à l’âge de 18 ans. Dès 2009, sa beauté s’affiche pleinement dans une série de publicités pour la marque « Bourgeois ». C’est dans le film “J’aime regarder les filles” (sorti en 2011) de Frédéric Louf que le grand public a découvert Lou de Laâge. Elle se ridiculise dans le rôle de Gabrielle, une Parisienne un peu hautaine qui courtise un jeune provincial (joué par Pierre Niney) dans la France des années 1980.
L’adaptation scénique de Lou de Laâge, “Entrez et fermez la porte”, a été écrite et mise en scène par Raphale Billetdoux, tandis que l’adaptation télévisée, “Anna Karénine”, a été réalisée par Christian Duguay.
2013 est son année marquante car elle apparaît dans deux films cette année. Elle joue une palefrenier de cheval dans « Jappeloup » avec Guillaume Canet et Marina Hands et est attendue dans le nouveau film de Danièle Thompson, « Des gens qui s’embrassent » où elle incarne une violoncelliste qui se fait voler son grand amour par sa cousine jouée par Clara Ponsot.
Si elle se confirme, la nouvelle pourrait en décevoir plus d’un. Lou de Laâge a quitté le marché des célibataires. Un article paru le 19 novembre (hier) dans le grand journal parisien rapporte que l’actrice la plus connue pour son rôle dans Jappeloup a passé un week-end endiablé à faire la fête en catimini.
Ces derniers temps, la presse people se faisait l’écho de rumeurs toujours plus précis concernant les fiançailles de Lou de Laâge (la fameuse affaire de la bague). Auraient-ils pu sauter l’étape de la bague de fiançailles et passer directement à celle de l’alliance ? A lire Lou de Laâge fait circuler des rumeurs sur ses prétendues petites amies.
La Twittersphère est en effervescence.
Qu’elle soit vraie ou non, l’annonce du mariage secret a fait l’effet d’une bombe sur Twitter : Depuis le week-end, personne dans l’entourage de l’actrice n’a commenté la nouvelle, et le journaliste de People and Life qui a dévoilé l’histoire admet qu’elle n’a pas été en mesure de commenter la nouvelle. pour obtenir une preuve officielle. Lou de Laâge est-elle réellement mariée ?
La carrière d’actrice de Lou de Laâge a débuté en 2008 lorsqu’elle est apparue dans la série télévisée d’Agatha Christie, Les Petits Meurtres. Deux ans plus tard, dans une autre série intitulée 1788, elle incarne Pauline de Saint-Azur. Et Demi d’Olivier Guignard. Gabrielle est le premier rôle au cinéma de Frédéric Louf pour la jeune actrice en 2011. Le film s’intitule J’aime regarder les filles.
La carrière de Lou de Laâge est lancée et la même année, elle interprète Natacha dans Nino, aux côtés de David Prat qui révèle toute la sensibilité & l’énergie de l’actrice. Lou de Laâge déchire littéralement l’écran en deux avec Jappeloup de Christian Duguay, tous deux diffusés en 2013. Sa performance lui vaut sa première nomination aux César l’année suivante.
En 2015, il est de nouveau nominé aux César pour son interprétation du narcissique pervers dans le deuxième long métrage de Mélanie Laurent, Respirer. Lou de Laâge, qui a marqué les esprits dans des films comme “Respire”, “Les Innocents”, “la Boite noire” et “Le Bal des Folles”, brille absolument dans “Tu choisis la vie”, le premier long métrage de Stéphane Freiss.
Elle incarne Esther, la fille d’un rabbin orthodoxe qui, après avoir passé un été dans le village italien des Pouilles, décide de ne plus faire partie des règles strictes de la communauté. Conversation chaleureuse avec un esprit créatif qui nous touche par sa grâce et son inspiration.
Mme Marie Deshayes : Qu’est-ce qui vous a amené à ce projet ?
Ce film intimiste et personnel est un hommage à la mère du cinéaste. L’histoire de mon protagoniste n’est pas la sienne, mais il souhaite quand même partager ses impressions sur le monde qu’il a vu dans les livres. Personnellement, je ne connaissais rien de ce groupe, mais c’est ce que j’aime dans les films : ils nous transportent dans de nouveaux mondes à chaque nouvelle production.
J’ai étudié ce rôle en regardant des films et en lisant des livres, et j’ai aussi beaucoup appris auprès de l’acteur qui incarne mon père, Pierre-Henry Salfati. Ce n’est pas un acteur, mais plutôt un professeur de Talmud, et ma vie s’est enrichie grâce à mes interactions avec lui. Docteur : Les contraintes de votre protagoniste sont similaires à celles vécues par de nombreuses femmes.
L.d.L : C’est l’histoire d’une oppression et d’une émancipation à laquelle beaucoup pourra s’identifier, quels que soient leur religion ou leur milieu. Esther pose enfin une question universelle : comment faire valoir son libre arbitre lorsqu’il va à l’encontre de son éducation. Il y a un long chemin entre ma vraie vie et ce rôle. Je suis né dans une famille où les désaccords et les disputes étaient encouragés.
Il est interdit aux jeunes femmes de cette communauté d’établir un contact visuel avec des hommes avant le mariage. Ou c’est un réflexe naturel pour nous, pour moi. Le personnage interprété par Riccardo Scarmacio s’ancre souvent dans mon esprit, mais uniquement parce qu’il représente la transgression dont je défends le fruit.
Mais pour l’essentiel, il s’agit d’un rôle introspectif ; Esther ne peut pas vraiment rejeter la responsabilité de la responsabilité qu’elle assume sur quelqu’un d’autre. C’est déjà assez difficile qu’elle ait survécu à cet environnement sans le remettre en question ni se rendre compte qu’elle étouffait dans une prison. M.D. : Sa première infraction sanctionnée est d’aller au cinéma. Crozez-vous dans l’acte de résistance que peut représenter l’art ?
L.d.L : L’art est un acte libérateur dans lequel la moralité et les règles peuvent être enfreintes et où l’on peut s’autoriser à penser indépendamment des conventions et des conventions. Dans les films, chacun est libre de dire ce qu’il pense et de se regarder. Il est crucial pour façonner notre vision de la société car il donne un aperçu de mondes auxquels nous n’avons pas toujours accès.
Y a-t-il une différence dans le résultat si un acteur vous dirige, M.D. ?
L.d.L : La seule différence, c’est qu’ils font plus attention ; certains cinéastes ne parviennent pas à reconnaître l’état de vulnérabilité dans lequel le jeu nous plonge, ne comprenant pas que l’on enlève masques et armures pour habiter la peau d’autrui. Un acteur-réalisateur comme Stéphane ou Mélanie Laurent en est toujours conscient. Pour le reste, tout est question de tempérament et de caractère.
Docteur : Quelle est votre position sur la spiritualité ?
L.d.L : J’ai grandi dans une famille aux profils assez différents, allant des seigneurs aux agriculteurs en passant par les catholiques pratiquants et les fervents athées. Cela suggère immédiatement une sorte d’ouverture. Toutes ces grandes œuvres humanistes nous invitent à réfléchir sur notre humanité commune, nos valeurs et notre vision du monde. Trouver un sens à la vie est un défi sans une sorte de perspective spirituelle, mystique ou religieuse.