Libération De Laurent Bary – Dans son hameau de Côte-d’Or, le cadavre de Valérie Bary a été découvert le 26 mars 2004. Son mari clame son innocence malgré sa négation des accusations de meurtre. Voeuf, aventurier ou meurtrier ? Une flaque de sang a été découverte en mars 2004 au centre du salon de Laurent Bary, au hameau de Lanneau (Côte-d’Or), où habitaient le couple.
Le mari avait un alibi malgré toutes les preuves le mettant en cause. La semaine prochaine, cette affaire scandaleuse sera revisitée dans l’émission de vendredi “Faire entrer les accusés”.
Le 26 mars 2004, vers 11 heures, Laurent Bary tient des propos désobligeants à l’égard du Samu et des pompiers. Il a raconté à deux individus avoir découvert Valérie allongée sur le plancher de leur maison. Ses chiens sont introuvables et il informe les ambulanciers qu’il y a du sang partout et qu’elle ne respire pas.
La police et les pompiers sont arrivés et ont retrouvé l’homme affalé sur le sol de sa maison, couvert du sang de sa femme. Sa voix tremble lorsqu’il crie que ce n’est pas normal et qu’il n’a aucune idée de ce qui s’est passé. Finalement, il est admis dans un établissement de santé mentale pour y être soigné.
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Le couteau de boucher, qui a servi à assassiner la jeune fille, est bien visible sur le lieu du crime. Le niveau de violence utilisé par l’assassin de Valérie a été encore démontré par les treize coups de couteau constatés par les enquêteurs.
De plus, les agents n’ont trouvé aucun signe d’effraction, ce qui les a amenés à croire que le tueur avait eu un accès non autorisé à la ferme. En parcourant les dépendances de la propriété Bary, les détectives découvrent dans l’une d’elles les chiens malades du couple.
Une enquête sera lancée dans les prochains jours. Les enquêteurs sur les tueries de volailles de Laurent Bary se sont intéressés à la butte où il les a commis. L’homme aurait eu le don de servir des corsets. L’homme est actuellement dans le champ de vision de l’enquêteur puisqu’il a été le dernier témoin de la survie de la victime.
Laurent Bary est cependant protégé. Avant de livrer ses poulets dans un restaurant vers 9 heures du matin le matin de l’incident, il s’est mis au travail sur ses factures. Le propriétaire du restaurant a nié l’avoir vu chez lui jusqu’à ce qu’il soit interrogé, affirmant l’avoir vu vers 10 heures du matin.
Le criminel s’est ensuite arrêté chez un ami pour prendre une tasse de café. Voyant qu’il était sur le point d’accoucher, cette dernière lui a fait comprendre qu’il n’était pas mort. C’est pourquoi il n’est pas inclus.
Les témoignages oculaires entravent l’enquête.
Le témoignage d’un homme à qui Laurent Bary a formé la découpe des volailles va éclairer un aspect crucial. Lors d’un moment d’intimité, le mari de Valérie a dévoilé son passé de parachutiste dans l’armée, expliquant qu’il préférait tuer des humains plutôt que des poulets.
En accusant Laurent Bary du meurtre de sa femme, l’homme prend les choses en main. Son entreprise ayant fait faillite, le fermier se sentait sans valeur et incapable de maintenir « le regard de sa femme ».
Les enquêteurs découvrent que Valérie envisageait de quitter son mari car ils ne pouvaient pas communiquer en raison de leurs problèmes financiers. Elle a notamment commencé sa recherche d’une nouvelle résidence à la fin de 2003, lorsqu’elle a envisagé pour la première fois de déménager.
Mais l’agent immobilier avait signé sur la ligne pointillée juste avant son décès. L’agent contacte les Bary, atterrit sur Laurent et l’informe des intentions de Valérie, même si celle-ci n’en a pas discuté avec son mari.
Son innocence a été effacée.
Ces révélations ont conduit à la mise en observation de l’agriculteur 1 an et demi après les faits. Il continue de nier avoir tué Valérie, mais il avoue avoir planifié un cambriolage et empoisonné ses chiens en prévision des accusations de meurtre. Ses actes se sont révélés être un acte lorsqu’il a contacté les autorités.
Des accusations de meurtre sont portées contre lui depuis le 19 janvier 2006. Les enquêteurs ont réévalué son alibi car il ne s’est pas présenté devant les gendarmes à l’heure qu’il avait demandée le jour des faits. De plus, le nouveau calendrier correspond parfaitement au timing du crime. Son excuse est donc invalide.
En octobre 2009, Laurent Bary est déféré au tribunal administratif de Dijon. Le jury a rendu un verdict de culpabilité dans le meurtre de sa femme et a prononcé une peine d’emprisonnement à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle. La cour d’appel de Besançon a confirmé sa condamnation un an après qu’il ait choisi de faire appel.
Le vendredi 26 mars 2004, Valérie Bary est sauvagement assassinée à Arconcey (canton de Pouilly-en-Auxois) de treize coups à la tête. Laurent Bary a clamé son innocence tout au long de son incarcération, malgré deux peines de vingt ans de prison pour ce meurtre. Aujourd’hui, neuf ans plus tard, on assiste à la naissance d’un « cas Laurent Bary » : son mari.
Pour la simple raison que de nombreuses questions sur cet incident restent en suspens, ce qui a donné lieu à des documentaires sur le sujet sur plusieurs chaînes de télévision. En juin 2012, W9 arrive en tête.
Paul Lefèvre animera un épisode de Planète + Justice sur Canal+ ce mois-ci. En juin, le magazine Révélation d’Étienne Mougeotte sera diffusé sur la chaîne 23 de la TNT et l’animateur abordera ce sujet.
Les journalistes du magazine ont couvert le scandale Bary en suivant l’enquêteuse privée Sabrina Hamoudi alors qu’elle lançait une contre-enquête. Heureusement, ils ne sont pas les seuls ; un « comité de soutien à la reconnaissance de l’innocence de Laurent Bary » (laurent-bary.com) a également été créé.
Professionnalisme et Wikipédia
Saint-Etienne abrite Sabrina Hamoudi, une “agente de recherche privée” de 32 ans qui se décrit elle-même et qui est employée par un organisme de recherche sur les droits de la défense. Le responsable du groupe d’entraide a contribué à la formation de l’avocat pénaliste Roger-Marc Moreau dans ce domaine. À Beaune, elle a dressé une liste de choses qui, selon elle, pourraient susciter « un doute suffisant » et, pourquoi pas, donner lieu à un procès en révision.
Une « construction intellectuelle du coupable », c’est ce que Sabrina Hamoudi appelle ce procès. Sa déclaration est la suivante : “Personne n’a jamais tenté de géolocaliser son téléphone au moment du meurtre.” Malgré notre demande de nettoyage à la famille deux jours plus tôt, l’équipe de la police scientifique est revenue sur les lieux du crime douze jours après le meurtre.
Malheureusement, les poils des mains de la victime n’ont pas été analysés. La rencontre avec les vendeurs du magasin de rénovation domiciliaire a été un échec. La veille du meurtre, elle a appelé. Le fait qu’elle ait pu sortir le lendemain pour récupérer la commande – et ainsi avoir des indices sur le moment où le crime a eu lieu – rend cette information d’autant plus importante.
Certaines pistes n’ont pas été suivies, comme celle impliquant l’homme non identifié qui a acheté un journal le lendemain du meurtre pour suivre l’actualité malgré une blessure à la main. Comme rien ne s’était produit jusqu’à présent, le buraliste était interloqué. en instruisant Même si Laurent Bary est de droite, un psychiatre a témoigné que le meurtrier était de gauche ; cependant, son témoignage a été rejeté lors de l’appel.
Contexte et expérience
Mais elle ne remarque rien d’anormal chez Laurent Bary, qu’il a fait semblant de braquer. Il a expliqué plus tard que le message avait eu un impact significatif sur lui, mais qu’il était terrifié par les accusations.
Au fond, Sabrina Hamoudi insiste sur le fait que Laurent Bary pourrait être innocent ; elle veut juste continuer à creuser pour pouvoir soumettre une nouvelle demande à son avocat à l’avenir.
Le corps de l’épouse de Laurent Bary vient d’être découvert le 26 mars 2004. Le lieu de l’acte de cruauté le plus odieux a été retrouvé par la police. Avec le meurtre de Valérie Bary s’est posée la question inévitable : quelle est l’implication de Laurent Bary ? Incarne-t-il le méchant idéal ou est-il le tueur le plus manipulateur imaginable ? “Faites entrer les accusés” est le nouveau reportage d’enquête de Frédérique Lantieri qui sera diffusé sur France 2 dimanche 29 avril à 22h45.
Un appel inopiné aux pompiers de Dijon a été lancé par un individu nommé Laurent Bary le 26 mars 2004. “Il y a du sang partout !” s’exclame-t-il. tandis que Valérie, sa femme depuis 38 ans, est affalée sur le sol. Après avoir reçu plusieurs coups de couteau, le crâne de la victime a été cogné contre le carrelage. Il n’y a pas beaucoup de témoins oculaires dans ce petit village de douze personnes.
Lorsque les gendarmes arrivent sur les lieux, ils découvrent une centaine d’euros, une montre cassée et d’autres objets qui contredisent la thèse du cambriolage. Avec deux chiens de garde à disposition, la maison ne respire pas vraiment le charme de l’extérieur.
Tout le monde pointe du doigt le mari, ancien parachutiste et dresseur de canards. Lorsque les détectives découvrent que Valérie voulait le quitter, ils ont le suspect idéal. Problème : Le suspect du meurtre, Laurent Bary, avait une excuse plausible.
Connu sous le nom d’« affaire Bary » en droit pénal français, l’événement s’est produit le 26 mars 2004. Son complice, le suspect du meurtre Laurent Bary, a clamé son innocence tout au long de la procédure.
Contexte de l’événement Bary
C’est dans une période de bouleversements mentaux et financiers que Valérie Bary a été assassinée. Les problèmes financiers ont provoqué des frictions dans le mariage des Bary. La recherche d’un appartement a été précédée par l’envie de Valérie de quitter son mari.
Quelle a été l’ampleur de la controverse Bary ?
De nombreux médias français ont couvert la controverse Bary. Les documentaires télévisés présentant des points de vue opposés ont recueilli la part du lion de la couverture médiatique. Laurent Bary est devenu la cible de soupçons alors que la véracité des témoignages et les objectifs probables des assassins étaient remises en question.
L’affaire Bary a mis en lumière tant la nécessité de découvrir la vérité dans les enquêtes criminelles que les failles du système judiciaire français.
Parce qu’elle suscite des inquiétudes quant à l’équité du système de justice pénale, l’affaire Bary a conservé sa capacité à susciter l’intérêt du public. Cette situation a déclenché des débats continus sur la crédibilité des témoins, la valeur probante des preuves et la responsabilité pénale, et sa résolution est toujours en attente.
Quand est-ce arrivé ?
Le décès de Valérie Bary a été confirmé par une autopsie. Les accusations de meurtre portées contre son mari, Laurent, sont sans fondement. Lorsque les policiers sont arrivés à leur domicile, ils ont trouvé le corps sans vie de Valérie gisant dans une mare de sang.
Premiers pas dans le sauvetage et l’enquête
Les secouristes et la police n’ont pas pu exclure un cambriolage car ils n’ont constaté aucun signe d’effraction à leur arrivée.