Léonie Simaga Compagnon

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Léonie Simaga Compagnon
Léonie Simaga Compagnon

Léonie Simaga Compagnon – L. S. : Je l’ai découvert en lisant le scénario. C’est une histoire que je ne connaissais absolument pas. C’est une histoire terrifiante qui a éveillé l’intérêt de la cinéaste Delphine Lemoine. Il s’agit d’un problème jusqu’alors non résolu qui doit absolument être résolu.

Quand avez-vous pris conscience de l’histoire ? Vos expériences ont-elles été sauvegardées.

L. S. : Pas autant que ça. Je ne me suis pas trop énervé car le problème m’affectait juste assez. Je crois que je suis trop sensible aux questions de cette nature. La question du remappage a été remise sur le devant de la scène.

Il s’agit de savoir combien de temps a duré la domination coloniale de la France, combien de temps a duré la décolonisation et depuis combien de temps la France, en tant qu’institution et nation, entretient des relations compliquées avec ses anciennes colonies. La question me tient vraiment à cœur. Même si je ne connaissais pas vraiment cette histoire, la problématique me touche beaucoup et me touche profondément.

De quel pays êtes-vous originaire ?

L. S. : Mon père est un méchant. Mon frère aîné est né à Rennes. Mon deuxième frère est né à Bamako, au Mali, en Afrique après leur départ. Ma mère a pris la décision de ne pas m’avoir comme foyer en Afrique, je suis donc née à Marseille.Cependant, j’ai grandi au Burkina Faso. J’ai eu la chance de vivre dans un creuset culturel, où j’ai été exposé à un large éventail de personnes et d’idées sans avoir à craindre d’être en danger.

Je n’ai pas connu les difficultés qui frappent la grande majorité des gens sur cette planète. La pauvreté, la fragilité par rapport aux virus. Aujourd’hui, l’Occident en prend connaissance pour la première fois. En Afrique, des personnes meurent depuis longtemps de causes évitables.

Après, mon père a changé de métier et je suis revenu en France, dans les Côtes-d’Armor, vers l’âge de 10 ans. Après cela, j’ai eu une autre opportunité de voyager à l’étranger. Dans ce cas, cela s’est produit à Tanger, au Maroc. Ensuite, je me rendrai à Paris pour poursuivre mes études. Depuis, je suis resté sur place.

Avez-vous eu du mal à obtenir des rôles à cause de ce mélange ?

L. S. : La réponse est compliquée. Cela se déroule à deux époques différentes. La majeure partie de ma vie professionnelle s’est déroulée sur scène, principalement à la Comédie-Française. Là, non. Je fais partie des actrices chanceuses qui ont joué de nombreux rôles marquants depuis le début. C’est un merveilleux exemple de beauté théâtrale.

Ce n’est pas sa couleur de peau qui compte, mais plutôt les idées qu’elle exprime. Concernant ma carrière au cinéma et à la télévision, la réponse est un oui catégorique. Les rôles disponibles pour les personnes qui ne constituent pas le groupe démographique le plus répandu – les hommes blancs hétérosexuels âgés de 20 à 50 ans – sont plus restreints et moins diversifiés.

La créativité française est un processus lent. Cela avance lentement. Ils m’appellent et me proposent personnellement un rôle ou un casting. Oui, je fais partie de la liste des actrices non blanches en plus des moins connues, mais la grande majorité de celles qui me contactent pour de potentielles collaborations connaissent mes précédents travaux soit pour m’avoir vue en français, soit dans un autre moyen.

Le 23 janvier 2021, les téléspectateurs des “Meurtres à Albi” de France 3 ont eu droit à une prestation de Léonie Simaga. On est curieux de connaître la vie de famille de l’actrice de 42 ans. Léonie Simaga incarne dans le roman une jeune policière prise dans une intrigue compliquée.

Il existe de nombreux parallèles entre son personnage et sa propre vie. L’actrice a révélé son héritage mixte dans une interview avec Femme Actuelle, où elle a évoqué son père malais et sa mère française. Elle est née à Marseille, mais ses parents et ses deux frères sont nés respectivement à Rennes et Bamako.

Léonie Simaga Compagnon

Elle est née dans une famille aux liens culturels extraordinaires et a eu la chance de voyager beaucoup lorsqu’elle était enfant. Elle a fait ses débuts sur scène avant de se lancer dans le cinéma.

QUI EST LE PÈRE DE MARI ?

Massimo Troncanetti, scénographe italien, est le mari de Léonie Simaga. Cette dernière se concentre spécifiquement sur la conception de décors pour le théâtre et l’opéra. Il se définit comme quelqu’un possédant un solide bagage artistique et de solides bases techniques.

Dans l’histoire, elle joue le rôle d’une policière et mère d’une jeune fille d’environ 12 ans. Sachant que Léonie est maman dans la vraie vie, c’est un rôle qui lui est venu naturellement. Elle élève une fille de 10 ans et un fils de 5 ans.

Elle a confiance en sa capacité à s’amuser sur les courts. En fait, ses débuts étaient prévus pour fin janvier 2021. Malheureusement, ils ont dû être annulés car les salles étaient fermées. Les fans de la série pourront la voir illustrer des scènes dans le prochain drame de TF1, “Je te promets”. “

Trois brefs commentaires sur François Vincentelli

L’acteur François Vincentelli jouit d’une grande renommée. L’humoriste belge a eu 47 ans le 4 janvier 2021. Il a fait ses débuts au cinéma dans une procédure policière très regardée. Nous vous invitons à connaître quelques détails clés sur son histoire personnelle et professionnelle. Léonie Simaga joue un rôle majeur dans Meurtres à Albi, diffusé sur France 3 le 23 janvier 2021 à 21h05 (UTC). L’actrice de 42 ans a été totalement honnête avec Femme Actuelle sur tout, de sa famille à sa carrière.

Le 23 janvier 2021, à 21h05 UTC, les téléspectateurs de France 3 auront droit à un nouvel opus de la série “Meurtres à”, se déroulant cette fois à Albi. Une jeune commissaire de police, interprétée par Léonie Simaga, se retrouve au centre d’une intrigue alambiquée. L’humoriste de 42 ans a accordé une interview à Femme Actuelle, où elle a évoqué la tournée, sa refonte, sa famille et sa carrière d’actrice.

Femmes dans la loi : Pouvez-vous nous raconter en quelques mots l’histoire des meurtres à Albi ?

Léonie Simaga : C’est l’histoire d’Annabelle Dalmasio, une femme qui vient d’être nommée commissaire d’Albi. Dès son premier jour de travail, elle est confrontée à une situation criminelle. Rien de choquant, même si ce crime est un peu inhabituel.

L’enquête va commencer et le film va se développer de manière inattendue. Il y aura une intrigue policière, et elle sera mêlée à un mystère personnel impliquant mon protagoniste et ayant des liens avec le passé de la France. Ces trois lignes forment un triangle. à la fois personnel, historique, sociétal et policier.

L. S. : C’est précisément l’entrelacement complexe de ces trois fils d’histoire qui est attribué à la protagoniste tant elle est richement développée. Elle doit être brillante, rapide, bonne aviatrice et généreuse. Elle doit faire ses preuves.

D’un autre côté, c’est dans le placard personnel qui s’ouvrira bientôt pour elle que réside la véritable intrigue. Tous les liens affectifs, y compris ceux avec sa petite amie et ses parents, sont à gagner. C’est ce que j’ai le plus apprécié : l’abondance de matière.

Forte et capable, Annabelle travaille comme commissaire.

L. S. : Je pense que la plupart des gens m’ont placée dans la catégorie des femmes fortes, pour le meilleur et pour le pire. Avoir une forte personnalité a ses avantages et ses inconvénients (blagues). Une autre caractéristique commune est qu’à un moment donné,

Annabelle affirmera que son travail acharné, son dévouement à ses études et sa réussite aux concours lui ont valu le poste qu’elle occupe actuellement. Comme vous, j’ai passé beaucoup de temps à m’entraîner, à étudier et à concourir dans ce domaine. J’ai passé ma vie à lutter pour une adulation et une estime impartiales.

Il a une femme et des enfants.

Annabelle est maman d’une fille de 12 ans. Avez-vous des petits ?

L. S. : Oui. En plus, c’était aussi très amusant. Mes enfants ne sont pas encore assez vieux pour être considérés comme des adolescents. De grands changements se profilent à l’horizon.

Je suis père de deux enfants, un jeune garçon de cinq ans et demi et une préadolescente de dix ans. Le peu de temps que j’ai passé à l’écran avec Angie (l’actrice qui incarne ma fille) était hilarant. Le lien avec elle était assez fort. Votre mari est-il dans le même domaine que vous ?

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