Léa Domenach Fille De – Bernadette, réalisé par Léa Domenach et interprété par Catherine Deneuve dans le rôle de Bernadette Chirac, sortira en octobre de l’année prochaine. La réalisatrice, dont le père est un journaliste de renom, choisit un thème politique pour son premier projet.
Le 4 octobre, les salles verront pour la première fois Bernadette. Le casting de Catherine Deneuve pour incarner l’épouse de Jacques Chirac a été annoncé début juillet, mais la première du film ne devrait pas avoir lieu avant l’automne.
L’actrice française incarne dans ce film l’ex-première dame désespérée. Pour redorer son blason et sortir de l’ombre de son mari aux yeux des Français, Bernadette Chirac fait appel à son assistant (incarné par le sociétaire de la Comédie française, Denis Podalydès).
Le premier long métrage de Léa Domenach est Bernadette, avec qui elle a un contrat d’exclusivité. Mais le réalisateur n’est pas un novice en politique, puisqu’il a fait ses études à Columbia. Pour les Domenach, c’est pratiquement une affaire de clan.
La réalisatrice, née à Paris au début des années 1980 et ayant grandi avec un père « autrefois soixante-huitard », comme elle l’a confié à Cheek en juin 2016, est l’héritière d’une famille d’intellectuels dont elle racontera le récit. chronique avec son frère Hugo Domenach dans le livre Les Murs Blancs en 2021.
Un nom de famille établi
Ce dernier s’appelle Nicolas Domenach, et c’est un journaliste politique chevronné ainsi qu’un expert de Jacques Chirac. En 1997, il co-écrit avec Maurice Szafran une biographie de Chirac intitulée Le roman d’un président, et la même année, il co-fonde avec Szafran la revue Marianne. Après avoir été promu directeur adjoint de Reaction en 2007, il a finalement quitté son poste en 2014 en raison de divergences avec la direction de l’entreprise.
En 1984, il cofonde L’Événement du jeudi avec l’autre père de Marianne, Jean-François Kahn. Le Parisien d’origine a débuté comme chroniqueur politique à l’hebdomadaire Challenges, puis a évolué à La Nouvelle Édition de Canal+ et RTL, le tout sans jamais avoir fait d’école de journalisme.
En 2018, il prend la direction du Nouveau Magazine Littéraire et comme rédacteur politique pour BFM TV le dimanche. En 2019, il publie Le Tueur et le poète, et en 2022, il publie Macron : Pourquoi tant de haine ? comme un livre signé.
Au départ, nous avions prévu de faire un film, mais les chaînes n’étaient pas très enthousiastes à l’idée car il était « trop obscur » ou « pas assez connu ». Cependant, notre motivation première était de partager une histoire familiale, une histoire humaine qui a été en grande partie oubliée mais qui a été cruciale pour le développement des idées modernes. Quelques années plus tard, avec Macron au pouvoir, la réglementation a été modifiée.
J’avais l’impression de faire un travail important en transmettant un pan passionné de l’histoire de France tout en écrivant Les Murs Blancs et en explorant ma propre histoire familiale. Notre ami qui a aussi lu le livre nous a dit : “En retournant dans cette maison, vous reviendrez à vous-même et vous vous compléterez.” Cette remarque résume exactement ce que je ressens.
LD – La motivation première d’Emmanuel Mounier pour créer cette organisation était d’agir humblement face au changement global. Même s’il pensait que le capitalisme et le marxisme étaient tous deux responsables de la disparition de la société, ce penseur – écrivant au début des années 1930 – cherchait un compromis entre les deux.
Il envisage un nouveau type de société dans laquelle les gens ne sont pas « égarés par la société bourgeoise », mais sont plutôt socialisés en groupes dès l’enfance. Le Centre Esprit, rebaptisé par la suite Chapelle Blanche, et la revue Esprit, qu’il lance en 1932, lui servent d’outils dans son arsenal.
Il cherche à mettre en œuvre les idées du « personnalisme communautaire » en faisant de l’appartenance à un groupe la base organisatrice centrale de la vie sociale. Il envisageait d’imiter Les Murs Blancs dans ses œuvres futures.
HD – Mounier a rassemblé une communauté de croyants dans le parc de Chatenay-Malabry pour l’aider à réaliser sa vision. Tout cela grâce à ses remarquables capacités intuitives. Il envisageait en effet d’y construire une école pour former les futurs « bons petits soldats » du personnalisme.
La guerre a modifié leurs voyages et les passagers qu’ils accueillaient en cours de route. Pour lui et d’autres résistants qui cherchaient à restaurer la France, l’institution pour enfants abandonnée s’est avérée inestimable. Membres de l’élite intellectuelle qui se sont battus pour la justice sociale en publiant dans le magazine Esprit.
LD – Les Murs Blancs ont été fortement influencés par la religion. Déjà en raison de l’importance qu’elle revêtait dans la pensée de Mounier. Deuxièmement, parce que c’était une merveilleuse opportunité pour les esprits créatifs qui vivaient ensemble de se rapprocher les uns des autres.
Ex À l’exception de Heart et de sa propre petite famille protestante, tous les autres membres de la famille étaient fervents catholiques.
Même s’ils ne suivaient pas tous les mêmes principes religieux, ils avaient tous au moins une chose en commun : ils considéraient leur foi comme quelque chose à étudier et rejetaient tout dogme que l’Église aurait pu chercher à leur imposer. Ils ont approfondi leurs convictions religieuses pour évaluer les égarements de l’Église et proposer des suggestions pour sa renaissance, ce qui est excellent.
Léa Domenach (née en 1983), d’origine parisienne, est titulaire d’une licence de littérature française de l’École Préparatoire Fénelon et d’une maîtrise de philosophie de la Sorbonne.
Alors qu’elle était encore à l’école, elle a commencé à participer à un large éventail de projets audiovisuels et s’est finalement inscrite à un cours à l’Université Columbia à New York pour perfectionner ses compétences en montage, réalisation et écriture de scénarios.
Puis elle apparaît dans de nombreux films français, de fiction et non-fiction (La Science des rêves, Aurore, Les Filles du botaniste, L’Invité). Elle et Arnold Montgault ont trouvé un objectif similaire lors de leur voyage de deux mois en Argentine en 2004.
Même si elle a toujours été intéressée par les changements sociaux et économiques apportés par les pays en développement, ce n’est qu’au cours d’un voyage de trois mois en Asie à l’été 2006, au cours duquel elle s’est rendue en Russie, au Vietnam, en Mongolie et en Chine, qu’elle a je les ai vraiment appréciés.
L’attachement à ces pays l’intrigue, alors elle et Arnaud Montgault décident d’y tourner un documentaire. Elle travaille aujourd’hui sur de nombreux projets de courtes fictions et de documentaires et a lancé un cours de vidéo au centre Zyva de Nanterre destiné aux enfants de 10 à 14 ans. Celui de Léa Domenach (co-créatrice de la série “Jeune et Golri”) Le premier long métrage sera centré sur le mandat de Bernadette Chirac en tant que première dame de France.
Qui de mieux que Catherine Deneuve pour incarner Bernadette Chirac ? Cette décision de casting pourrait être considérée comme à la fois sûre et dangereuse. Jusqu’où l’actrice ira-t-elle au-delà de son rôle ? Quel degré de réalisme, le cas échéant, compte-t-elle donner à son imagination ?
Le teaser de Bernadette suggère que la cinéaste Léa Domenach a adopté une approche résolument comique et pince-sans-rire de cette biographie. Le synopsis du film met en lumière le regard singulier de cette figure majeure de la politique française. Bernadette Chirac, qui a travaillé sans relâche dans l’ombre de son mari pour l’aider à devenir président, a hâte de rejoindre l’Élysée dans l’espoir d’être enfin reconnue pour ses réalisations.
Bernadette, marginalisée parce qu’elle est trop rigide, décide de se venger en devenant un incontournable des médias. Variété a récupéré une interview de Claude, la fille de Bernadette Chirac, qui n’a pas caché son mécontentement lors d’un entretien avec Paris Match.
Elle mentionne qu’elle n’a jamais été contactée par l’équipe du film pour participer et exprime son incertitude quant à savoir si Bernadette est encore en vie ou non. Mais c’est une bonne nouvelle car cela signifie que Léa Domenach ne réalisera pas de « biopic officiel », ce qui lui laissera plus de liberté de création sous forme de comédie et de critique.
Catherine Deneuve reviendra sur grand écran pour la première fois depuis De son vivant d’Emmanuelle Bercot en 2021 avec le film de Léa Domenach. L’actrice a dû s’absenter du tournage pour se remettre d’un accident vasculaire cérébral. On peut donc anticiper son retour sur les écrans de télévision le 4 octobre prochain.
Le prochain film Bernadette, avec Catherine Deneuve dans le rôle de l’ancienne Première dame française Bernadette Chirac, sortira en octobre 2018 sous la direction de Léa Domenach. Le premier long métrage du réalisateur est un drame politique, un genre que le célèbre père journaliste du réalisateur connaît bien.
La première de Bernadette en salles est prévue le 4 octobre. Les premières images de Catherine Deneuve dans le rôle de l’épouse de Jacques Chirac sont sorties début juillet en attendant l’automne. L’actrice française endosse le rôle de l’ancienne première dame tombée depuis dans l’oubli.
Après avoir été qualifiée de ringarde, froide, austère, capricieuse et grincheuse par les Français, Bernadette Chirac demande du soutien à son aide (interprétée par l’icône de la comédie française Denis Podalydès).
Bernadette est le premier contrat de long métrage de Léa Domenach. Cependant, ce réaliste pragmatique diplômé de l’Université de Columbia n’est pas un novice en politique. Les Domenach la traitent comme une entreprise familiale.
La réalisatrice d’origine parisienne, citée en juin 2016 par Cheek, a rappelé son éducation avec un père “ancien de soixante-huit ans”. Dans le prochain livre Les Murs Blancs, elle et son frère Hugo Domenach détailleront l’histoire de la famille.
Honoré en tant que divinité protectrice
Nicolas Domenach est un journaliste politique chevronné et une autorité sur l’ancien président français Jacques Chirac, à qui il a consacré une biographie en trois volumes intitulée Le roman d’un Domenach a également soutenu le lancement du magazine Marianne la même année.
Un Après avoir été promu directeur adjoint de la réaction en 2007, il a finalement quitté l’entreprise en 2014 en raison de divergences avec la nouvelle direction.
Cofonde L’Événement du Jeudi en 1984 aux côtés de l’autre père de Marianne, Jean-François Kahn. Ce Parisien d’origine a travaillé comme reporter politique pour l’hebdomadaire Challenges, l’édition numérique de La Nouvelle Édition sur Canal+ et RTL, sans toutefois avoir d’expérience formelle en journalisme.
En 2018, il assumera le rôle de directeur de la revue littéraire Nouveau journal, et il est également éditorialiste pour l’édition dominicale de BFM TV. Écrivain, pseudonyme « Le tueur et le poète » ; “pourquoi tant de haine envers Macron (2022).
Léa et Hugo Domenach, dans GRAND INTERVIEW/FIGAROVOX, découvrent que l’aventure des Murs Blancs est en grande partie oubliée lorsqu’ils enquêtent sur les liens entre leur histoire familiale et la vie intellectuelle de la France du XXe siècle.
Léa Domenach – Cette année 2009, l’envie a frappé. Notre grand-mère Nicole Domenach, le dernier témoin oculaire survivant des premiers occupants des Murs Blancs, a ensuite été atteinte de la maladie d’Alzheimer.