Justine Jotham Wikipedia – L’épouse du professeur assassiné retrouvé lundi à Dunkerque, Justine Jotham, a été inculpée de meurtre et placée en détention provisoire. Selon une source proche de l’enquête, elle a été exposée à de multiples éléments douteux pendant sa détention.
Justine Jotham a été mise en examen pour meurtre après avoir reconnu avoir tué son mari, Patrice Charlemagne. En raison de cette décision, elle est actuellement détenue en prison jusqu’à son procès.
Après avoir été placée en garde à vue mercredi, elle “a reconnu avoir poignardé son mari”, a déclaré Patrice Charlemagne, 51 ans.Selon l’accusation, “il n’y a aucune raison de penser que son discernement ait été altéré” car l’accusée “a évidemment donné une explication à son geste”, “elle a participé à l’enquête” livrer à ce moment-là.
Elle ajoute ensuite vaguement : « Concernant le mobile, nous disposons aujourd’hui de premiers éléments » qui « restent à explorer ». Le parquet n’a reçu aucune “plainte ni plainte dans le domaine conjugal”, a-t-elle précisé.Durant sa garde à vue, Mme Jotham s’est montrée “coopérative”, comme l’a déclaré à l’AFP son avocate Charlotte Catrix.
Charlotte Catrix, son avocat, affirme que son client est « dévasté » et désireux de travailler avec les forces de l’ordre enquêtant sur l’incident.Au départ, elle avait prévu de faire passer cela pour un cambriolage.
Son mari, Patrice Charlemagne, a été retrouvé mort de plusieurs coups de couteau, lundi 18 septembre avant l’aube. La procureure Charlotte Huet a annoncé lors d’une conférence de presse que Justine Jotham “avait reconnu avoir poignardé son mari” après avoir initialement affirmé que son mari avait été victime d’un cambriolage bâclé. Le domaine conjugal n’avait jamais eu auparavant quelque chose qui ressemblait à une balustrade.
Le couple a décidé d’élever lui-même son enfant de 20 mois, plutôt que de le confier à un parent ou un ami. Dans un souci de « continuité affective », a souligné le procureur, une évaluation de ses besoins en matière de soins a été menée avec le centre hospitalier et les services sociaux.
Justine Jotham a été accusée de « l’assassinat » de son amie, qui était professeur. La compagne de Patrice Charlemagne est professeur et conseiller municipal à Dunkerque. Le procureur affirme qu’elle “a reconnu avoir poignardé son mari” vendredi et qu’elle a donc été immédiatement placée en prison provisoire.
La police a été appelée après que Justine Jotham, professeur et conseillère municipale de Dunkerque, ait faussement rapporté que son compagnon, Patrice Charlemagne, avait été tué lors d’un cambriolage. La procureure de Dunkerque, Charlotte Huet, a annoncé vendredi qu’elle avait été mise en examen pour “assassinat” et qu’elle était placée en détention provisoire.
La jeune femme, âgée de 30 ans, est professeur et chercheuse en littérature dans la même université où son mentor, âgé de 51 ans, a enseigné et est décédé.
À proximité immédiate du nouveau ministre du Logement
Elle est conseillère municipale chargée de la lecture publique et de l’histoire, et elle a été élue en 2020 sur la liste du maire de Dunkerque, Patrice Vergriete, nommé ministre du Logement en juillet de cette année. Elle écrit des livres pour enfants et dirige un groupe littéraire qui fait passer le message.
« Écrivaine, romancière, elle a fait ses débuts en littérature avec le livre jeunesse, parcourant les salons du livre de la région, donnant des conférences dans les bibliothèques, les écoles, collèges, lycées, centres culturels et organisant des rencontres avec des auteurs locaux », rapporte La Voix du Nord.
En janvier 2022, après la naissance de leur fille, Justine Jotham a mis en ligne une photo de leur joie sur Facebook.De nombreuses personnes ont été émues d’exprimer leur tristesse et de rendre hommage à la vie de Patrice Charlemagne sur les réseaux sociaux après avoir appris son décès.
Patrice Vergriete a réagi lundi sur Facebook : “Je tiens à exprimer ma profonde émotion et mon choc”, présentant ses “plus sincères condoléances” aux proches de la victime.
Le couple de professeurs était connu à Dunkerque pour sa participation active à la vie politique, sociale et culturelle de la ville. Justine Jotham est membre du conseil municipal. Elle est médecin et maître de conférences en littérature, et elle a également fondé le festival local de lecture pour enfants à l’âge de 37 ans. Patrice Charlemagne, 51 ans, était directeur du département et professeur agrégé d’allemand et de néerlandais dans la même école.
Le 18 septembre à 4 h 10 (le lendemain du 17 au matin), Justine Jotham a signalé à la police qu’elle avait été cambriolée la nuit précédente. Elle affirme s’être enfuie avec sa petite fille, aujourd’hui âgée de 20 mois. Deux couteaux ensanglantés, des gants, une lampe de poche et un ordinateur ont été découverts juste à l’extérieur de la maison par les enquêteurs. La maison est complètement terminée.
Presque immédiatement, la police a remarqué des divergences entre la scène du crime et le récit de la veuve. Les soupçons sont soulevés lorsqu’ils découvrent un wouet sur la main gauche du professeur qui correspond à l’un des gants. La jeune femme a avoué deux jours après le drame avoir poignardé à trois reprises son mari endormi. Tant qu’elle sera détenue à la résidence Sequedin, son innocence sera présumée.
Cet extrait est issu d’une précédente diffusion de Sept à Huit sur TF1, une émission d’information et de reportage animée par Harry Roselmack diffusée tous les dimanches soir. 7 à 8 propose 3 à 4 bulletins d’information sur les derniers événements de la politique, de l’actualité, de la société et même de l’international.
Soumettre l’article sur Facebook Merci de RT cet article s’il vous a plu !
Mise en examen pour le meurtre de son mari, le professeur des universités Patrice Charlemagne, la littéraire Justine Jotham énumère ses professions de romancière, professeur d’université, féministe et conseillère municipale à Dunkerque. Elle est accusée d’avoir organisé un vol qui a mal tourné pour dissimuler le meurtre.
Cela fait trois vies perdues là-bas. Ceux d’une équipe d’universitaires parents-enfants. Justine Jotham, professeure « d’expression » et de « culture générale » de l’Université Littoral Côte d’Opale, devrait être très prochainement enchaînée à une cellule de prison.
Le 22 septembre, elle a été inculpée pour la mort par arme blanche de son conjoint, diplômé allemand. Il y a dix mille étudiants dans cette université de Dunkerque, et Patrice Charlemagne y dirigeait l’un des départements. Leur fille nouveau-née est orpheline au début de son existence.
Ils ont cependant eu beaucoup de mal à concevoir C, 20 mois. Après avoir donné naissance à son petit tant attendu le 31 décembre 2021, Justine Jotham a détaillé sa dure expérience de procréation médicalement assistée (PMA) sur sa page Facebook.
Le décès de Patrice Charlemagne, professeur d’université activement impliqué dans la communauté, a suscité une vague d’éloges et de condoléances de la part de son épouse depuis 51 ans. Lors de son interpellation, qui a débuté mercredi, la conseillère municipale de Dunkerque, Justine Jotham, a reconnu avoir tué son compagnon. Des accusations d’« assassinat » ont été déposées contre elle vendredi.
La jeune femme, née en 1986, a appelé les autorités, affirmant que son mari avait été assassiné lors d’un cambriolage. Le trentenaire est docteur et maître de conférences en littérature à l’Université du Littoral Côte d’Opale, où enseignait autrefois Patrice Charlemagne, cinquante et un ans.
Romancière jeunesse et ancienne animatrice d’un groupe culturel de défense de la lecture, elle a été élue en 2020 sur la liste de Patrice Vergriete, maire de Dunkerque et actuel ministre du Logement. Elle a appelé la police lundi à 4 heures du matin, affirmant qu’elle et sa fille de 20 mois avaient fui le quartier après avoir été dérangées par des cambrioleurs et que son mari était resté à la maison.
Couteaux, gants, etc. ensanglantés.
À Rosendal (Nord), quartier de la périphérie de Dunkerque, le quinquagénaire a été découvert dans une chambre du premier étage du domicile conjugal avec plusieurs coups de couteau. Une source policière affirme qu’à proximité de la résidence, les agents ont trouvé deux couteaux ensanglantés, des gants, une lampe de poche et un ordinateur portable.
Selon Charlotte Huet, procureure de la République de Dunkerque, une enquête pour homicide volontaire a été ouverte lundi et transférée à la police judiciaire, et la piste du cambriolage était alors “en cours d’exploration”.