Julien Bouchet Entraîneur Du Comité De Savoie – Alors que je regarde mes enfants s’engager les uns avec les autres et avec les autres enfants du club de ski aujourd’hui, je ne peux m’empêcher de remarquer l’ambiance particulière : une combinaison de compétition amicale, d’activités agréables et de rires ; tout le monde est le bienvenu et tout le monde a la même attitude.
Je laisse mon fusil filer en direction d’Agathe qui s’initie au biathlon, un sport qui lui est à la fois étrange et intriguant. Avoir Lyssandre comme follower serait fantastique ! Ma famille m’a emmené skier sur une piste d’initiation quand j’étais petite pour pouvoir rejoindre mes frères et sœurs aînés sur les pistes. D’aussi loin que je me souvienne, c’est au ski club d’Agy que j’ai perfectionné mes compétences en ski nordique.
Avoir Serge Thurel comme moniteur a été, selon moi, un tournant dans ma carrière de skieur. L’importance de la compétitivité m’a été inculquée par Serge, grâce à son engagement et son expérience. Il m’a encouragé à améliorer mes performances en biathlon et plus tard en ski de fond et m’a assuré qu’il serait toujours là pour moi.
Le véritable dévouement m’a servi de boussole dans tous les aspects de ma vie, professionnelle et autre. C’était un mélange d’émotions mais j’ai pu rencontrer la France (Pignot) et l’entraîner cette saison dans le programme jeunes de la Fédération Française de Ski.
Depuis ma première incursion palpitante au ski club d’Agy, le ski est devenu un élément essentiel de mon quotidien. Puisse-t-il connaître le succès dans les jours à venir. Sur le côté droit de la photo, on distingue Julian Bouchet, entraîneur de biathlon pour le Comité de Savoie, aux côtés de France Pignot. Rencontrant la championne olympique du départ groupé et future épouse Justine Braisaz à Pékin, ils étaient tous deux concurrents. Désormais, il seconde Samuel Régé et s’occupe du personnel technique.
Selon moi, le club de ski Agy est un élément essentiel d’Agy Nordique. Cette antenne de transmission radio réputée trône au sommet de la vallée de l’Arve et, depuis Thyez, elle apparaît comme un phare au milieu d’une mer de nuages qui obscurcit la vallée. J’ai appris à skier hors-piste pour la première fois ici ; Michel a une histoire plus intéressante à raconter.
Les Grands Prix étaient comme la Coupe du Monde pour nous, joueurs à l’époque.
Même si La Bresse était au plus bas en 2002, obsédée par le nombre de spectateurs mais motivée par la ferveur de son noyau dur, remporter le titre de D2 française reste l’un de mes plus beaux souvenirs de cette année-là. Quand je suis devenu de facto champion de France Cadet cette saison-là, je pense que l’élite s’est montrée à moi.
C’est avant tout au ski club d’Agy que j’ai noué des liens avec des personnes qui façonneront pour le mieux ma vie professionnelle et personnelle. Alors que je me préparais à quitter Cluses pour mon nouveau travail, j’ai tenté de reprendre mon ski nordique. Lors de mes séances de préparation physique, j’ai besoin de l’aide d’un guide car je suis malvoyant.
J’ai ainsi pu rencontrer les stagiaires du Diplôme d’Etat de ski nordique.
J’arrive à Agy au moment où la dernière équipe démonte son matériel en fin de journée.Contrairement au calme relatif, les couloirs résonnaient des cris des jeunes. Nous nous sommes levés tôt le matin pour être prêts à l’arrivée de la dame, qui était seule sur les pistes.
Juste ce qu’il faut de tumbling, bien au-dessus du fond de la vallée, m’a permis de démontrer ma volonté de surmonter mon handicap et de devenir un meilleur skieur sur ce parcours pittoresque. Je n’étais pas sûr de vouloir participer à mon retour au club jusqu’à ce que j’aperçoive Val, Léa et Issé, trois femmes, près du devant.
Dès le début de nos cours de ski, Adri et moi étions intrépides. Nous avons essayé plusieurs pentes, joué à cache-cache dans les bois et survolé des ravins. Mon expérience au Agy Ski Club m’a appris l’importance de la discipline, de la responsabilité, du travail d’équipe et du plaisir.
Même si je n’avais que trois minutes pour préparer les skis de course, la leçon sur la ponctualité est restée en moi. Je crois que des compétences pratiques telles que faire bouillir des spaghettis, préparer de la vinaigrette et nettoyer les sols sont essentielles dans le monde réel.
Grâce à la belle préparation que j’ai eue à Agy, notamment avec cette stratégie que nous n’avons jamais abandonnée, je me suis qualifié cette année pour le comité et l’équipe de France. Les aventures, les gens fascinants et le développement intellectuel sont tous à ma portée lorsque je fais du ski de fond.
Je me considère chanceux d’avoir eu l’occasion de laisser mon empreinte dans la neige dans cet endroit exaltant et serein au cœur d’un paysage distinctif. Le dimanche, chaque concurrent avait le plaisir de se lever tôt pour s’entraîner, souvent interrompu par des intempéries.
Ensuite, ils braveraient les collines du département, où ils se produiraient dans des performances maladroites, souvent sous des températures inférieures à zéro. Même si la plupart d’entre eux sont tombés au fond, une poignée s’est enflammée. Quelle que soit la situation, ils ont tous apporté de la joie aux adultes qui les ont accueillis.
Le considérer du point de vue des vainqueurs
Lorsque la pente est plate, les patineurs avancent en glissant un ski sur l’autre, tout comme les rollers ou les patineurs sur glace. Son public cible se compose de trois Tous les chercheurs qui recherchent une aventure pleine d’action avec beaucoup de glisse et de vitesse.
Le patinage repose en grande partie sur le mouvement de glisse, donc si vous avez du mal à le maîtriser par vous-même, n’hésitez pas à vous inscrire à une leçon pour apprendre les ficelles du métier auprès d’un pro.
Quelques paragraphes ne feraient pas honneur aux cinquante années de travaux consacrés au domaine d’Agy et à son entrée. Lors de l’inauguration de la maison en 1972, alors que j’avais neuf ans, je me souviens très bien de mon père, conseiller municipal dévoué et proche collaborateur du maire Maurice Bozonnat, plongeant essentiellement tous ses enfants sur les skis.
Skier (pas toujours avec les pieds à cause des montées ; ce n’est pas facile au début) depuis l’ancienne demeure nous amènera au premier plateau, où se trouve aujourd’hui le Repaire. Ensuite, nous entrons dans une salle contemporaine vaste et accueillante.
J’ai dû m’entraîner presque quotidiennement pendant cinq ans en tant que membre de l’équipe de France. Du coup, je gravirais Agy et serais ravie d’être entourée de ce spectacle à couper le souffle, quel que soit le profil de la pente. Cette vue est absolument magnifique !
Mordre dedans à l’époque aurait été si doux ! De nombreuses personnes, notamment mon père Georges Petit et Maurice Bozonnat, ont rendu possible cette incroyable discipline et cette vie sportive.
Ma première fois en ski hors-piste a été une expérience inoubliable. Thierry, mon frère et moi étions présents. Je n’ai pas réussi à percevoir sa laideur à cause de la fréquence avec laquelle je suis tombé dessus. J’ai ensuite suivi l’exemple de tous les autres joueurs locaux et je suis retourné au club.
Notre premier cours de ski a été programmé après avoir suivi quelques cours auprès de Gérard Béchus. Après avoir quitté les Bas-Choseaux, nous descendions le Petit jusqu’à atteindre la route d’Agy. En chemin, nous nous sommes arrêtés chez mon grand-père Léon Boisier :
“Vous vous retrouverez forcément à skier en hors-piste avec un groupe challengeant !”
Il y avait des moments où un étranger nous y conduisait, et d’autres fois où nous devions parcourirtoute la distance pour arriver à l’auberge. Avant de rentrer chez vous, skiez vingt à trente kilomètres sur le plateau. Plus tard, je suis allé grimper avec mon frère qui était en charge des recherches.
La mission de dessiner une arme à feu devait être accomplie à l’extérieur. J’étais fier du cliché que j’avais obtenu et il est allé directement dans la galerie. Patrick Ancey et Serge Thurel, deux messieurs du Comité Mont Blanc, m’ont aidé à poursuivre ma formation en biathlon.
La décision de nous inclure dans l’équipe de France Juniors a finalement été prise.
Les courses internationales sur des lieux connus avec des milliers de fans, comme Ruhpolding ou Anteselva, ont été pour moi une totale révélation ! Cela s’est également produit en partie sur le glacier près de Tignes. L’entrée n’était qu’une des nombreuses choses merveilleuses qu’elle apportait. Le ski alpin est une belle leçon de vie.
Je ferai en sorte que Georges sache qui il est pour toujours. En fait, le tableau d’affichage de la salle à manger présente son effigie. Je m’arrête toujours au cimetière pour lui rendre hommage chaque fois que je pars en balade à moto avec Thonon.
Jeunes gens, je vous implore de vous plonger pleinement dans cette aventure. Certaines personnes semblent avoir de plus grands talents innés que d’autres ; Je n’ai certainement jamais été à la hauteur de mes propres attentes élevées.
L’un des avantages de ce cadre est l’opportunité qu’il présente pour une croissance future dans des domaines tels que la santé, la conscience de soi, l’établissement d’objectifs, l’ouverture mentale et l’amitié. En 1980, lorsque j’ai commencé à skier au ski club d’Agy, j’ai d’abord ressenti des maux de dos et des jambes lourdes à cause du ski.
Très jeune, j’ai rejoint ma famille à l’école de ski de Thyez La Crête. A l’âge de onze ans, j’ai intégré le ski club d’Agy. C’est pour cette raison que j’ai passé mes années de formation au club, perfectionnant mes compétences en patinage à une époque où le sport en était encore à ses balbutiements.
C’est alors que j’ai découvert le biathlon, qui m’a permis d’enchaîner les occasions de compétitions de haut niveau (comité, groupe interrégional, équipe juniors et podium aux championnats de France Espoirs avec Vincent Defrasne). L’histoire s’est terminée sans montrer qu’une activité supplémentaire était nécessaire pour atteindre le résultat escompté ; les chercheurs ont négligé les athlètes ; et, plus important encore, les recherches se sont arrêtées.
J’ai continué à skier même après avoir quitté le club ; maintenant, c’était avec moins d’intensité et moins de compétitivité, mais j’avais toujours le même courage qui m’a permis de surmonter les petits obstacles de la vie.
Au printemps 2017, après avoir accouché, Justine Braisaz-Bouchet a concentré sa préparation au ski post-partum sur Ski Chrono. La Savoyarde, baptisée il y a moins d’un an, a remporté le championnat du monde de départ groupé. Retour sur la préparation de Justine Braisaz-Bouchet, la pièce intitulée “Maman est de retour” est apparue en juin 2018 dans Ski Chrono N°88.
Le temps d’une seule journée, notre photographe et journaliste Sophie Rodriguez a interviewé Aimé et Peisey-Nancroix sur l’entraînement de la championne olympique, sa nouvelle organisation familiale dans la région de Côme et son bébé, né en février et sorti de la crèche. ce matin.
JuilletIen Bouchet, très polyvalent, était là pour encadrer son partenaire d’entraînement.
Selon Sophie Rodriguez, mère et ancienne médaillée mondiale de snowboard, “elle a l’air bien dans sa vie et heureuse” après avoir lu ce reportage. Elle compte bien savourer sa fille tout au long de ces premiers mois. Elle a hâte de retrouver le gang et d’assister aux premières escarmouches.
Parallèlement à une nouvelle opération, elle m’a raconté une année de découverte en tant que mère. Nous avons également parlé de Clarisse Agbegnenou, la championne du monde de judo qui a eu un enfant et a remporté la médaille d’or olympique.
Accompagner un sportif ou un athlète n’est pas toujours une chose sur laquelle on peut compter. À moins que, comme le tennis, il ne nécessite une série de mouvements répartis sur de grandes distances. Une solution que certaines personnes ont trouvée aux problèmes des relations à distance est de se connecter avec leur coach, qui les surveille toute la journée.
De nombreux joueurs de tennis ont rendu public leurs relations avec leurs entraîneurs. Alizé Cornet en est un parfait exemple ; elle a récemment ouvert un nouveau chapitre de sa vie avec son entraîneur et ancien athlète cannois, Pierre Arfi. Arfi est sorti avec Michael Kuzaj pendant huit ans et a suivi une formation à l’Académie Mouratoglou.
