Julie Graziani Et Son Mari – Stanislas Graziani affirme en outre que son épouse n’a pas assuré la surveillance de la mère de famille. Cela étant dit, je trouve très ironique que cette critique à son égard repose sur une haine profonde, qu’elle oserait attaquer devant nos enfants, qu’on lui souhaite bonne chance, qu’on la compare à une fourmi”, il écrit, avant de poursuivre : « Julie, contrairement à ce que l’on dit, on ne lui a offert rien sur un plateau d’argent ». Elle a travaillé très dur pour obtenir sa place actuelle.
Le 24 juin 1978, naît Julie Graziani, dont le nom de naissance est Julie Lavoir. Elle a grandi à Saint-Cloud avec ses trois sœurs. Elle est titulaire d’une licence de lettres françaises, d’une agrégée de lettres modernes et d’un diplôme d’HEC. Elle est connue pour être une catholique conservatrice et militante dans plusieurs associations et mouvements ; elle est également administratrice judiciaire du cabinet Ascagne AJ qu’elle a fondé et qu’elle dirige. Pour elle, c’est une lanceuse alerte.
En 2013, elle intercède au nom de l’Ensemble pour le Bien Commun, qui porte les longues réprimandes de La Manif pour tous, pour dénoncer la « catophobie » du gouvernement français dirigé par François Hollande. Plus de 100 000 personnes ont signé pour soutenir son texte.
Dans la saison 2014 de Des paroles et des actes, elle affronte Alain Juppé et obtient l’aval de l’homme politique pour une modification de la loi Taubira qui interdit le mariage homosexuel. En 2015, elle devient porte-parole de la Marche pour la vie, un mouvement anti-IVG et anti-euthanasie. Elle est également cofondatrice et porte-parole de l’Avant-Garde, un mouvement politique chrétien qui s’oppose au Rassemblement national et au rassemblement des conservateurs conservateurs. Par ailleurs, elle devient journaliste à l’émission Arte, 28 minutes en 2015.
Déjà au centre de plusieurs scandales, elle fait son grand retour en novembre 2019 dans l’émission 24h Pujadas de LCI. Après avoir interrogé Emmanuel Macron sur son mode de vie, elle livre ses réflexions sur la situation d’une mère célibataire de deux enfants. Tout cela considéré, requalifié et condamné comme une erreur sociétale, suscite beaucoup d’indignation et de nombreuses réactions. Ils marquent également la fin de son mandat de collaboratrice éditoriale au magazine L’Incorrect, où elle travaillait depuis un an.
Dans sa vie personnelle, elle est mariée au réalisateur Stanislas Graziani. Deux enfants et un couple sont nés. “Si on est au Smic, faut peut-être pas divorcer” : LCI se fait tabasser par la journaliste Julie Graziani. En réponse au discours du journaliste sur la précarité des mères divorcées, la secrétaire d’Etat Marlène Schiappa a pris la parole.
Le ministre, qui est également créateur du blog “Maman travaille” sur la recherche d’un équilibre entre vie professionnelle et vie privée, a commenté : “Quel est le message quand on réprimande publiquement une femme pour avoir divorcé après lui avoir reproché de n’avoir obtenu que le Smic ? “
La veille, l’éditorialiste Julie Graziani du très conservateur magazine “L’Incorrect” avait commenté sur le site “24h Pujadas” des photographies d’une femme interpellant Emmanuel Macron lors de sa récente visite à Rouen (Seine-Maritime). Pour revenir au Smic, qu’a-t-elle fait ? A-t-elle fait du bon travail à l’école ? Le journaliste a sauté à la conclusion : « Est-ce qu’elle a suivi des études ? », ce qui a stupéfié un autre animateur de l’émission et est rapidement devenu viral sur Twitter.
“Je me suis sortie après avoir été harcelée par la moitié du pays”, a déclaré Julie Graziani. Son surprenant manifeste libéral intervient un an après qu’elle ait suscité l’indignation avec ses propositions en faveur d’une mère célibataire. Elle travaille désormais pour des entreprises en difficulté.
Plus de 20 millions de personnes ont regardé cette vidéo. Dans un commentaire scandaleux tenu par la journaliste Julie Graziani sur LCI le 4 novembre, elle demandait : “Qu’est-ce qu’elle a fait pour se retrouver au smic ?” Elle est allée à l’école, n’est-ce pas ? Il ne faut peut-être pas divorcer dans ces cas-là if on est au smic.
Des rassemblements sur les réseaux sociaux où s’accumulent les messages, parfois assez violents avec des menaces de mort. Grâce à son travail au magazine l’Incorrect et à ses positions très conservatrices en matière de morale, la polémiste est associée à l’extrême droite. On n’entend à ce stade que David Pujadas, qui constate que Marine Le Pen n’est pas exactement sa “tasse de thé” de journaliste et explique que “c’est plutôt son
“Tout le monde peut s’en sortir” (Editions de l’Observatoire), essai de Julie Graziani qu’elle revient dans la vie publique dix mois plus tard, ressemble fortement à une invocation. Parvenue à un chemin plus compliqué que ne le pensent ses détracteurs, l’agrégée de lettres et diplômée d’HEC revient sur son travail de consultante auprès d’entreprises en difficulté et en tire des enseignements – très libéraux et macro-compatibles – qui permettraient à chacun de prendre en main son propre destin.
“Si on est au Smic, il ne faut peut-être pas divorcer no plus dans ces cas-là”, avez-vous déclaré le 4 novembre 2019, sur la tribune de LCI, déclenchant une polémique nationale. Vous étiez l’un des sujets les plus discutés l’année dernière…
Julie Graziani a perdu son poste de journaliste à “l’Incorrect”, magazine proche de Marion Maréchal, en raison de ses propositions controversées. Une perte de revenus qui n’influence pas son mari, qui préférerait que sa femme demande le divorce.
Le vrai nom de Julie Graziani est Julie Lavoir, et elle a fait sensation en affirmant sur LCI qu’une mère célibataire payée par le Smic aurait dû rester à l’école et ne pas divorcer. Le « journaliste » semble faire un retour triomphal avec ces propos grossiers. Après avoir été licenciée de son poste au journal d’extrême droite L’Incorrect, Julie Grazziani se retrouve au chômage et de retour au SMIC.
“Si vous vouliez bien m’aider,”
La riche épouse du politicien s’inquiète de sa situation financière ; “J’aurais tant aimé que Julie demande le divorce et quitte ma vie”, dit-il. “Mais avec son retour au SMIC, c’est devenu impossible”, dit le malheureux, réalisant qu’il ne supporte plus le “dérapage ambulant” auquel il a été confronté.
Mais les internautes hésitent à donner un coup de main : “Julia Graziani aurait dû étudier au lieu de passer son temps à manifester avec La Manif Pour Tous”, estime Lolobogos77, un utilisateur de Snapchat.
Les mariés se défendent en disant : “On n’a rien offert sur un plateau” à Julie Graziani.
Ce n’est peut-être pas le meilleur moment pour se séparer si on est au Smic. Après que son épouse Julie Graziani ait été la cible d’insultes et de menaces, la déclaration de l’éditeur a déclenché un scandale, que son mari a tenté d’apaiser en postant un long message de soutien sur Twitter.
De nombreux internautes se sont offusqués, lundi 3 novembre, de la militante et rédactrice conservatrice Julie Graziani. Sur la plateforme 24h Pujadas sur LCI, elle a abordé le sujet de la date à laquelle le divorce serait finalisé, même s’il semble que Smic et son mari fuient aujourd’hui à son secours.
Emmanuel Macron, président de la république, a rencontré mercredi une mère de deux enfants touchés par le Sras, avant son déplacement à Rouen. “Cette femme dit j’ai deux enfants, je suis seule, je suis au Smic”, avait déclaré Julie Graziani après que ces photos soient devenues virales. Elle ne les dérange pas du tout et je comprends tout à fait. Cependant, je ne connais pas la vie de cette femme.
Comment est-ce qu’elle est allée retrouver le Smic ? A-t-elle bien réussi à l’école et a-t-elle continué ses études ? Et si nous sommes au Smic, ce n’est peut-être pas le meilleur moment pour se séparer. Depuis, Julie Graziani est la cible constante de menaces et d’insultes en ligne, tant dans la rue que sur les réseaux sociaux.
“Nous voulons qu’il développe son cœur ouvert.”
Mercredi 6 novembre, en soutien à son épouse, Stanislas Graziani a publié sur Twitter un long message dans lequel il dément toute “réponse individuelle” aux requêtes. «Je trouve qu’elle a raison quand elle dit qu’il ne faut pas attendre du président de la République qu’il vienne remédier à nos échecs personnels», dit le metteur en scène et régisseur, indiquant qu’il n’est pas toujours d’accord avec sa femme.
J’ai moi-même traversé une grosse période de sécheresse dans ma carrière, et je m’en suis relevé en remettant tout en question, en faisant le point sur mes compétences, et en affrontant mes doutes de front. Je ne vois pas quelle réponse un gouvernement pourrait apporter à cette femme, en dehors d’un régime communiste.