Julia Simon Justine Braizaz – Un sujet aux implications sportives importantes est Julia Simon A Östersund, en Suède, le 31e dimanche de l’épreuve individuelle de 15 km, première étape de la Coupe du monde, Julia Simon a enfin réalisé à quel point son idylle avec Justine Braisaz-Bouchet l’avait troublée.
Comment les Français justifient leur contre-performance collective lors de l’épreuve individuelle d’Östersund : “Je suis cuit mentalement”, “Je me suis fait piéger” et “J’ai eu peur” Après leur performance dans l’épreuve individuelle à Östersund (Suède), les biathlètes français ont cherché à comprendre pourquoi ils étaient absents.
Un individu participant au biathlon aux Östersund Blues sans partenaire
Les biathlètes français, habitués à couvrir leurs supporters de cérémonies de fleurs et de podiums l’hiver dernier, n’ont pas répondu présent au rendez-vous de dimanche lors de l’individuel à Östersund, en Suède. Les tricolores ont réalisé un lamentable effort collectif lors des relais mixtes de samedi, la vingt et unième place de Justine Braisaz-Bouchet étant leur meilleur résultat.
Les photos caviardées fournissent l’explication la plus évidente du triste résultat : aucune des six filles en lice n’a obtenu une note supérieure à 17 sur 20. “Nous n’étions clairement pas à la hauteur”, a reconnu leur entraîneur Cyril Burdet sur La Chaîne. L’Equipe. La zone mixte a souvent été source de confusion pour les biathlètes.
Présenté par Justine Braisaz-Bouchet, le 21 à 16/20
Il a fallu deux tiers d’efforts pour gagner. Malheureusement, j’ai raté ma réaction sur la photo finale de la course, la dernière debout. Larguer des balles sur une personne à l’extérieur est possible. Je vais être absolument précis et honnête : mon premier tir debout était tardif et mon deuxième était plutôt passif.
Je me suis retrouvé embourbé dans un piège familier : une préoccupation de contrôle et d’assurance, qui m’a amené à m’attarder sur mes pensées plutôt qu’à entreprendre quoi que ce soit. Parce que j’y mettais mes deux pieds, c’était très énervant. Je me suis calme parce que mes émotions étaient vives.
Il y avait une opportunité en or alors qu’il restait les deux tiers de la course, et c’est une énorme déception. Les skis qui imitent le mouvement de vos jambes sont une aubaine pour la récupération post-partum d’une femme.
Luis Jeanmonnot, vingt-quatrième à dix-sept et vingt-cinq ans
Chaque fois que je cours, que ce soit à skis ou avec une carabine, je suis généralement déçu. Je n’ai pas réussi à accélérer les tours et à retrouver mon faux rythme sur la piste dans lequel je m’étais engagé au départ. J’étais toujours en fuite parce que tirer me rendait nerveux. Même si j’étais nerveux au début des courses individuelles, je suis sûr que je ferai mieux lors de l’épreuve suivante.
Désolé, je ne l’ai pas vu. Même si j’ai travaillé dur et concentré, je n’ai pas pu terminer la tâche. C’était intellectuellement éprouvant, il fallait donc continuer jusqu’à la toute fin. Tout allait bien jusqu’au seizième bal, où ça a commencé à se dégrader. C’était à moi entièrement de me libérer de ma rêverie. Il y avait beaucoup à faire, même si je n’étais pas en très bonne forme en ski. La douleur est horrible.
“Mon esprit est en feu. J’aurais aimé avoir cette acuité et cette capacité de viser l’excellence. Dimanche, je pense que j’ai réussi à réussir les trois tirs, mais je n’ai pas réussi à réussir le quatrième. J’ai l’intention de rechercher la paix. et calme et une vision claire de l’avenir.
A 17/20, Chloé Chevalier est 42ème.
J’ai eu des nuits inconfortables à cause d’une maladie de quelques jours. Je voulais bien démarrer cette saison même si je savais que je n’étais pas à 100 %. Tenter une saison légèrement affaiblie n’est pas une mince affaire ! Quoi qu’il en soit, il y a eu une séance de tir où j’aurais pu être plus performant si je n’avais pas laissé ces petites balles me glisser des doigts de temps en temps.
Ce n’est pas terrible, mais les photos sont vraiment rapides. Lors de ma première course, j’aurais dû être un peu plus audacieux. Même si la performance d’aujourd’hui a été médiocre, nous n’en sommes qu’au début de la saison. Encore beaucoup de travail !
Même si les deux femmes qui dominent actuellement le classement du biathlon ont réalisé des performances admirables dans les relais de samedi, leurs piètres performances individuelles ont fait craindre que les poursuites intentées par Justine Braisaz-Bouchet contre Julia Simon pour fraude à la carte de crédit n’aient de graves conséquences sur leur carrière en biathlon.
Julia Simon, qui a remporté le gros globe l’hiver dernier, a connu un début de défense de championnat terrible. Malgré tous ses efforts, la Française n’a pas réussi à se hisser dans le top 31 et a terminé hors des points. Après la course, le biathlète savoyard a tenu des propos inquiétants.
Elle a révélé dans L’Equipe : “Je suis émoussée mentalement, ce manque de fraîcheur mentale, vous savez très bien à quoi je l’attribue”, à propos de la plainte pour fraude à la carte bancaire que sa coéquipière Justine Braisaz-Bouchet avait déposée contre elle. . Les inquiétudes se sont développées au cours de l’été.
C’est vrai que ça peut paraître bizarre de l’admettre, mais la première course m’a épuisé mentalement. “Il faut l’accepter, mais je ne suis pas sûre de passer l’hiver”, a-t-elle poursuivi, ajoutant : “Je suis touchée, je suis je ne vais pas pleurer, même si, oui, touchée, épuisée mentalement.
Vous n’êtes pas seule dans votre inquiétude. L’entraîneur de tir, Jean Paul Giachino, a mentionné que cette affaire avait eu un impact important sur sa santé mentale. Il a ajouté qu’elle semblait être quelque peu léthargique.
En biathlon, le groupe féminin a dû surmonter l’incident de Julia Simon avant de pouvoir reprendre les courses. SKI Ostersund, dans un climat communal unique, sera le site de la grande défense du globe de cristal du biathlète français. La nouvelle de l’affaire de fraude à la carte bancaire de Justine Braisaz-Bouchet a donné lieu à un été tumultueux.
Quelque part dans le 16e arrondissement de Paris, au printemps dernier. Avec un gros globe de cristal posé sur son coude, Julia Simon s’est assise devant nous et a expliqué à quel point il est important de bien digérer la saison terminée avant de réfléchir à la manière de défendre sa propriété durement gagnée à partir de l’automne 2023.
En termes simples, surpasser Quentin. Fillon-Maillet, sorti indemne de son année surhumaine 2021-2022. La biathlète de renommée mondiale avait méticuleusement orchestré chacun de ses mouvements pour “essayer de soulager la pression” et était satisfaite de son succès à se détendre dans les jours qui ont suivi son couronnement.
Une fin malheureuse : en juillet, le quotidien L’Equipe découvrait que Julia Simon avait fait l’objet de deux plaintes pour escroquerie à la carte bancaire. L’une de ces accusations concernait des événements survenus au Blink Festival à Sandnes, en Norvège, à l’été 2022, notamment la championne olympique Justine Braisaz-Bouchet.
L’accusation affirme que Simon a dépensé près de 2 300 euros en plusieurs achats en ligne effectués depuis son ordinateur en utilisant son adresse e-mail plutôt que sa carte de crédit. Le biathlète en a fait envoyer la plupart, de la marque Go Pro, directement chez lui. Ce samedi à Ostersund (Suède), un groupe lancera la nouvelle saison. Si l’histoire attend toujours son épilogue judiciaire, elle les aura bouleversés.
Les préparatifs d’été de Julia Simon toute seule
Après une longue pause maternité, Justine Braisaz-Bouchet est revenue dans le groupe professionnel et a cherché une solution qui satisferait tout le monde en consultant sa coéquipière et la fédération. Le champion olympique a fini par se plaindre du manque d’action généralisé.
Cela n’a pas fonctionné, j’ai tenté de me réconcilier avec elle et avec la fédération”, a déclaré Braisaz sur la chaîne norvégienne TV2. C’est un triste scénario, mais j’ai rempli mes fonctions. Je serais resté inactif si je n’avais pas possédé les compétences nécessaires.
Ce choix n’a évidemment pas été de tout repos. De son côté, Julia Simon nie les allégations et se présente comme la victime innocente de cette affaire hors du commun. Dans une interview au Dauphiné, elle affirme : “Mon nom a été utilisé à mon insu”. Je crois que quelqu’un a usurpé mon identité, ce qui l’a amenée à poursuivre X en justice.
Dire que l’intersaison de Julia Simon a été difficile serait un euphémisme. La championne a débuté son entraînement d’été en se retirant du groupe, ce qui a servi à la fois ses besoins personnels et le bien-être général du groupe compte tenu de l’ambiance surchauffée. Pendant ce temps, elle s’est également déconnectée de tous ses comptes de réseaux sociaux.
Cyril Burdet, entraîneur de l’équipe de France féminine de biathlon, nous rassure qu’elle a su extrêmement bien gérer la période. Pour toutes les questions relatives à la supervision de la préparation, de la planification, etc., nous avons maintenu une communication cohérente.
Je faisais en sorte de la voir dès que je le pouvais, même si nous ne nous voyions pas beaucoup pendant cette période. Elle a pu exercer sa nouvelle indépendance et prendre ainsi en charge sa propre éducation. Même les problèmes mineurs que nous n’avions pas abordés l’année précédente ont retenu son attention. Plutôt que d’essayer de la forcer, je me suis concentré sur la réduction de sa vitesse.
Lentement mais sûrement, il a rejoint le gang en octobre. L’attention médiatique portée à l’affaire a révélé des ressentiments et des frustrations, il a donc fallu agir avec prudence et les contrôler. Lou Jeanmonnot avait ainsi fait part de sa frustration face à une querelle “qui aurait pu se régler en deux mois”, comme elle l’a révélé à la télévision norvégienne.
L’année dernière, nous avons fait de notre mieux pour arbitrer la situation entre Justine et Julia, mais c’était assez difficile. Je suis désormais du côté de Justine. Au lieu d’accepter l’aide que nous lui avons proposée, Julia a fait plusieurs mauvais choix. Cela m’énerve peu.
Bien qu’avoir des amis soit utile, ce n’est pas obligatoire
Alors que la phase d’ouverture de la saison approche à grands pas à Östersund, le discours daté du mois d’août a pris une forme plus raffinée. “Le contexte peut ne pas paraître simple dans le groupe”, lui confie le Dauphiné, 11e choix au classement général de la Coupe du monde 2023.
Cela pourrait être pire, cela pourrait être mieux ; mais il n’y a pas de haine. Entre les deux annonces, Stéphane Bouthiaux, directeur des équipes de France, a sifflé la récréation (« c’est pas du sport, on n’a plus envie d’en parler »), et les plus aisés d’habitude Le cercle familial et amical des athlètes est devenu plutôt isolé.
Chloé Chevalier a déclaré aux journalistes qu’elle préférerait « rester concentrée sur performances et ne pas commenter le reste » lorsqu’on l’interroge sur la dynamique de sa famille.Même si l’entraîneur du groupe masculin Simon Fourcade tente de rassurer ses joueurs, difficile de dire à quel point le feuilleton Julia Simon les a démoralisés avant les premiers relais mixtes dans ces conditions.
Les discussions ont été nombreuses et nous avons rencontré les hauts gradés de la FFS. Grâce aux lignes de communication ouvertes qui existaient – à la fois entre Julia et les filles et entre les filles elles-mêmes – un environnement de travail calme et agréable, voire amical, a pu s’établir.