Jean-Louis Georgelin Salaire – L’institution gouvernementale en charge de la rénovation de Notre-Dame de Paris a démenti mardi les affirmations du Canard enchaîné selon lesquelles le général Jean-Louis Georgelin aurait réclamé un salaire de 14 000 euros pour superviser le chantier.
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Le total est plus que ridicule. Selon un article du Canard enchaîné d’aujourd’hui (du 24 décembre), le choix du président pour superviser le chantier de Notre-Dame de Paris, le général Jean-Louis Georgelin, réclame 14 000 euros par mois en rémunération de ses services. Interrogé par le journal français La Croix, il a carrément menti. Et il a insisté pour garder secret son futur salaire.
C’est le genre de gars qui a déjà fait la une des journaux.
C’est le moment de rappeler à nos confrères que le salaire du président de l’institution est fixé par le ministère de l’Action et des Comptes publics, et non par le président lui-même. Et non pas en fonction des caprices de l’individu concerné, mais plutôt sur proposition du ministère de la Culture. En fait, le major de l’armée à la retraite n’a probablement aucune idée de combien d’argent il gagnera à l’avenir.
Emmanuel Macron l’a nommé pour un mandat de cinq ans, et celui qui sera chargé de distribuer 920 millions d’euros de dons est déjà devenu un sujet de conversation. Car même si ce haut fonctionnaire apparaît à l’Elysée comme un homme résolu à avancer sur ce chantier extrêmement difficile comme un commandant en temps de guerre, sa détermination a déjà fragilisé la chronique.
Ainsi, le 13 novembre, Jean-Louis Georgelin avait demandé que l’architecte en chef des monuments historiques, Philippe Villeneuve, « ferme sa gueule » devant la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale. Un coup de poing émotionnel qui a suscité l’indignation à l’époque.
Depuis que ce temps est passé, l’ambiance semble avoir changé. Le général Georgelin a appelé à un effort “collectif” pour restaurer la cathédrale lors de la première réunion du conseil d’administration du nouvel établissement public, qu’il a présidé le 2 décembre.
Et de s’engager immédiatement à une gestion « exemplaire et transparente » des fonds, y compris ceux collectés grâce à des dons ou des promesses de dons. Il sera donc « sobre », comme il l’avait promis, « sans résidence officielle ni véhicule de service » mis à sa disposition et aux autres hauts responsables de l’institution publique. Nul doute que le montant de son futur salaire sera scruté de près.
Selon l’hebdomadaire, l’ancien chef de l’Etat chargé de superviser la reconstruction a demandé au gouvernement un financement des soins d’un montant de 14 000 euros. Combien devrait être payé le responsable d’une institution publique, surtout après avoir sauvé un monument comme la cathédrale Notre-Dame des flammes le 15 avril ?
Le général Georgelin, qui a été envoyé par Emmanuel Macron pour superviser les efforts de consolidation et de restauration, “a exigé un traitement de 14 000 euros brut par mois”, comme le rapporte l’édition de mardi du Canard enchaîné. L’hebdomadaire souligne que ce versement viendrait s’ajouter à sa retraite estimée à plus de cinq mille euros à la tête de l’Etat.
L’entourage de Jean-Louis Georgelin a activement discrédité le cycle de l’actualité hebdomadaire. Selon des proches du général, il n’a jamais “demandé” des soins similaires. Rappelant que Jean-Louis Georgelin s’est engagé à une gestion « exemplaire et transparente » de l’établissement public « lors du premier conseil d’administration », notons que la redevance est fixée « conformément au cadre réglementaire » par le gouvernement.
Jean-Louis Georgelin Salaire : 14.000 euros
L’ancien chef de l’Etat, entré en fonction en décembre, est le président de l’institution, tandis que Philippe Jost, le directeur général adjoint, est son adjoint. Ils sont les plus importants d’un groupe de quarante.
Outre le directeur général, le conseil est composé de douze personnes : six représentants de l’État (dont le maire de Paris et l’archevêque de Paris), un représentant des salariés, et trois « personnalités qualifiées » (Christine Albanel, ancienne ministre de culture ; Bruno Racine, ancien président de la Bibliothèque nationale de France et du Centre Pompidou ; et Jean-Pierre Weiss, ancien directeur général de l’établissement public qui abrite le Palais de Justice).
Le chef de l’institution étatique chargée de restaurer Notre-Dame a été invité au “Grand-Rendez-Vous” sur “Les Echos” d’Europe 1-CNews le 5 janvier. L’expertise du toit de la cathédrale n’est pas encore terminée, ni l’échafaudage retiré, mais il reste “assez confiant” dans sa sécurité.
Respectez les limites de temps, mais évitez de sauter aux conclusions. Le général Jean-Louis Georgelin, président de l’institution étatique chargée de restaurer Notre-Dame, a déclaré dimanche que la cathédrale n’était “pas épargnée” lors d’une interview au “Grand Rendez-vous” Europe-1- CNews – “Les Echos”. Il a conclu que si « aujourd’hui, vous ne pourrez pas me dire que la voûte est sauvée et qu’elle ne sombrera pas dans la mer », les signes sont encourageants.
Une fois l’examen terminé, l’architecte Philippe Villeneuve entamera le démontage de l’échafaudage et la réalisation des études de restauration. En 2021, la construction reprendra. “Charpente et Flèche” de Viollet-le-Duc fera l’objet d’une prochaine campagne d’avis public.
Avant que la flèche puisse être reconstruite, la charpente doit être achevée, comme l’a rappelé Jean-Louis Georgelin, rejetant une recréation en bois de la charpente comme son option préférée. Il a promis que “nous ferons tout pour que la cathédrale ouvre à temps” et qu’un Te Deum serait chanté le 16 avril 2024, exactement cinq ans jour pour jour après l’incendie.
Plus de 922 millions d’euros de contributions
L’ancien chef d’Etat des armées a été chargé d’organiser les forces combattantes et de gérer les 922 millions d’euros de dons et promesses de dons effectués depuis l’incendie. Selon Jean-Louis Georgelin, qui “ne s’inquiète pas de notre capacité à les récolter”, entre 400 et 500 millions d’euros sont déjà en banque. Il a mentionné que la phase de consolidation et de sécurisation a coûté 85 millions d’euros, la qualifiant de somme “considérable”.
Comme point de repère, il a rappelé qu'”un chantier de monument historique conduit par l’architecte en chef des monuments historiques, c’est quelques millions d’euros”. Le général a nié avoir demandé 14 000 euros par mois de salaire pour diriger une “task force”, malgré ses affirmations contraires. Sans préciser les modalités exactes de paiement.
Le général Jean-Louis Georgelin, qui a été nommé par Emmanuel Macron pour superviser la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame de Paris, aurait réclamé la somme exorbitante de 14 000 euros par mois pour mener à bien cette mission, comme le rapporte Le Canard enchaîné jeudi. Selon La Croix, le chiffre a été rapidement démenti par l’agence gouvernementale dirigée par les militaires.
Pas au courant de sa rémunération
En effet, l’organisation “dément formellement cette information”, jugeant qu’elle “ne retrace ni le niveau envisagé pour la rémunération de son président, ni la manière dont cette rémunération sera fixée”. Elle rappelle également que Gérald Darmanin, le ministre de l’action et des comptes publics, est chargé de fixer les salaires.
Et ce n’était pas basé sur ce qu’il voulait, mais sur ce que le ministère de la Culture suggérait. L’ancien chef du département de la Défense ne savait même pas combien d’argent il gagnerait à l’avenir. Emmanuel Macron a nommé Jean-Louis Georgelin pour un mandat de cinq ans durant lequel il sera chargé de superviser la distribution de 920 millions d’euros de dons. Le directeur de cabinet appelle à une gestion financière « exemplaire et transparente ».
Le général s’est présenté devant la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale le 13 novembre, lorsqu’il a exigé que l’architecte en chef des bâtiments historiques, Philippe Villeneuve, “ferme sa gueule”. Depuis, le responsable militaire a mis de l’eau dans le vin, appelant tout le monde à se serrer les coudes pour surmonter le défi actuel et exigeant une transparence financière exemplaire.
Le 2 décembre, il a clairement fait savoir qu’il était soucieux de sa sobriété en refusant de mettre sa résidence de fonction ou son véhicule à la disposition de la direction de l’institution publique. Le général Jean-Louis Georgelin, chargé de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris, aurait réclamé 14 000 euros chaque mois, comme le rapporte le Canard Enchaîné. Après que l’indignation qu’elle a provoquée se soit calmée, l’histoire a été oubliée.
Après l’incendie de Notre-Dame de Paris, Emmanuel Macron a nommé Jean-Louis Georgelin, fervent catholique et général de l’armée française à la retraite, pour superviser les efforts de restauration. Selon le Canard Enchaîné, “Monsieur reconstruction” avait demandé à l’époque un salaire mensuel de 14.000 euros.
Une somme confortable qui viendrait compléter sa retraite militaire estimée “largement” à plus de 5 000 euros. Suite à l’indignation généralisée, l’organisme public en charge de la restauration de la cathédrale Notre-Dame a rapidement contré la somme demandée par l’ancien chef de l’Etat.
“Cadre réglementaire”
Elle a déclaré à La Croix : “Cette information ne révèle pas le salaire potentiel du président ni comment ce salaire sera déterminé”.
