Jean-Louis Georgelin Epouse – Décès du général Jean-Louis Georgelin : “Il n’avait ni filtre, ni langage de bûcheron.” Tué accidentellement vendredi dans les Pyrénées, le général Jean-Louis Georgelin était un grand tendre dans l’âme qui a mené la restauration de Notre-Dame comme une bataille. Un portrait d’homme intrigant et admiré.
D’abord, c’est une voix grave, tonitruante qui roula les « rrrr » de son héritage ariégeoien. Jean-Louis Georgelin, le général décédé le 18 août à l’âge de 74 ans, le faisait sonner chaque fois qu’il voulait encourager ses “troupes” ou leur crier des ordres. L’homme avait une force de caractère et un sens du bien et du mal, mais il le jouait plus comme Pierre Mondy de “La 7ème Compagnie” et moins comme Rambo.
PORTRAIT. Que sait-on de l’enfant haut-garonnais qui a dirigé la construction de Notre-Dame de Paris après la mort du général Jean-Louis Georgelin ? Vendredi 18 août dernier, le général Jean-Louis Georgelin est décédé lors d’une randonnée dans les Pyrénées.
L’ancien chef d’état-major de l’armée française et architecte de la restauration de Notre-Dame de Paris, originaire de Haute-Garonne, a été tué en Ariège. Il est né à Aspet, située dans le sud de la Haute-Garonne. Portrait.
L’ancien chef d’état-major de l’armée française et soi-disant “monsieur de la reconstruction” de Notre-Dame de Paris, Jean-Louis Georgelin, est décédé le 18 août lors d’une randonnée dans les Pyrénées aragonaises. La police de montagne a retrouvé son corps sur les pentes du Mont Valier, l’un des sommets les plus reconnaissables de l’Ariège.
C’est à Aspet, qu’il tient à appeler « ville d’Aspet » plutôt que « village », qu’il fait son entrée dans le monde en 1948. Le général, proche de ses racines, y rend régulièrement visite en secret à sa mère. “c’était quelqu’un de très réservé qui s’intéressait aux gens, il s’attachait toujours à être le plus discret possible”, a déclaré Jean-Sébastien Billaud, maire de la commune de Haute-Garonne. Un personnage pudique « à la réserve militaire » est décrit comme un randonneur qui « aime parler de ses montagnes ».
En 1967, les amoureux pyrénéens se séparent pour fréquenter la prestigieuse académie militaire de Saint-Cyr. Il obtient un certificat d’études militaires avancées en général et une formation de parachutiste et s’inscrit à l’École des élèves-officiers d’infanterie de Montpellier. Le jeune militaire débute alors sa carrière militaire et gravit les échelons.
Il a été capitaine, général de brigade et général de division, et est actuellement auditeur dans plusieurs centres de formation militaire. En 2002, il revient cependant à l’Elysée et assume le rôle de chef de cabinet du président de la République Jacques Chirac.
En 2006, il accèdera au poste de chef d’État général-major des armées françaises. Il a occupé ce poste jusqu’en 2010, période durant laquelle il a supervisé les opérations dans des pays comme la Côte d’Ivoire, l’Afghanistan, les Balkans et le Liban.
Cependant, l’imposant général cinq étoiles à la voix retentissante ne parlait pas toujours couramment l’anglais. En 2019, il avait notamment demandé à l’architecte en chef des monuments historiques, Philippe Villeneuve, de « fermer sa gueule » lorsque Villeneuve donnait son avis sur la reconstruction de la flèche de Notre-Dame.
Sa stratégie est d’avancer sans remettre les choses à plus tard. Le pieux catholique Jean-Louis Georgelin a été nommé par Emmanuel Macron pour superviser les efforts de reconstruction de la cathédrale Notre-Dame après l’incendie de 2019. Une nomination qu’il approuve car “il n’est pas anormal de choisir un catholique pour la même mission”, a-t-il déclaré.
Jean-Louis Georgelin avait particulièrement souligné l’état d’avancement du projet. C’était un mois complet avant sa mort. Selon lui, il était le chef d’un « groupe de travail » pour la cathédrale. L’ouverture de la cathédrale est prévue pour fin 2024, Jean-Louis Georgelin ne vivra donc malheureusement pas assez longtemps pour la voir achevée.
Il était chargé de superviser l’ensemble du processus de reconstruction, depuis l’évaluation des dégâts jusqu’aux débats concernant la recréation de la structure d’origine. Après l’incendie, il avait également déclaré :
Nous ne pouvons pas nous permettre de perdre Notre-Dame ; c’est le cœur même de la France ». Jean-Louis Georgelin, grand chancelier de la Légion d’honneur et général des armées françaises, est né le 30 août 1948 à Aspet (Haute-Garonne).
Après avoir été admis à l’École de spécialité militaire de Saint-Cyrien en septembre 1967 (promotion lieutenant-colonel Brunet de Sairigné), il décide de servir dans l’infanterie et s’inscrit à l’École d’application de l’infanterie de Montpellier.
À l’été 1970, le lieutenant Georgelin est nommé chef de section du 9e régiment de chasse aux parachutistes. En 1973, il revient à Montpellier pour enseigner à l’Ecole d’Application de l’Infanterie. Trois ans plus tard, il est promu capitaine et transféré au 153e régiment d’infanterie à Mutzig.
Après avoir terminé son service, il passe un an dans un centre d’opérations de renseignement militaire avant de rejoindre l’Armée de la Terre et d’accéder au rang d’assistant de camp du chef de l’État. Il est promu au grade de commandant et envoyé aux États-Unis pour compléter sa formation au Command and General Staff College avant de revenir en France pour poursuivre ses études à l’École supérieure de guerre de Paris.
Le lieutenant-colonel Georgelin est muté au Centre d’instruction militaire spécialisé de Saint-Cyr en 1985 et y commande un bataillon pendant trois ans avant de retrouver son poste de directeur de la branche des études et de la planification stratégiques de l’armée.
De 1991 à 1993, il est commandant du régiment du 153e bataillon d’infanterie à Mutzig. L’année suivante, il est auditeur au Centre des hautes études militaires (CHEM) et à l’Institut des hautes études de la défense nationale (IHEDN), et de 1994 à 1997, il est assistant militaire du Premier ministre.
Après avoir été promu général de brigade en 1997, il prend la direction d’état-major de la division « Plans et politique » de la 11e Division d’infanterie parachutiste et retourne dans la Force de stabilisation (SFOR) en ex-Yougoslavie. Il est ensuite promu au poste de chef de la division « Plans et programmes » au minisère de la Défense, puis à celui de chef d’état-major adjoint « Plans » au ministère de la Défense.
Il a été promu général de division en août 2000, puis général de corps en octobre 2002. En 2002, il a été nommé chef d’état-major du personnel du président ; le 3 octobre 2003, il est promu général ; et le 4 octobre 2006, il est nommé chef d’état-major des forces armées. Le 28 février 2010, il est promu à la deuxième division des officiers généraux.
Il a reçu la Grand-Croix de la Légion d’honneur et la Grand-Croix de l’Ordre du Mérite français. Jean-Louis Georgelin, général des forces armées françaises, a été nommé Grand chancelier de la Légion d’honneur et chancelier de l’Ordre du Mérite national le 9 juin 2010.
C’est l’homme qui, malgré tous les obstacles, a réussi à reconstruire Notre-Dame en seulement cinq ans. Le vendredi 18 août, lors d’une randonnée, le général Jean-Louis Georgelin est tué. Photo d’un général cinq étoiles à la carrière peu conventionnelle et à la personnalité fragile.
C’était l’œuvre de sa vie, le point culminant de 50 ans de service gouvernemental. La reconstruction de la cathédrale Notre-Dame était une entreprise massive dans laquelle le général Jean-Louis Georgelin avait placé sa confiance. Il faisait fréquemment des rapports d’avancement au chef de l’État.
Jean-Louis Georgelin était avant tout un militaire. Sa carrière a débuté en Alsace, où il a acquis une réputation de commandant avec autorité et une compréhension approfondie de l’importance de sa mission.
En son honneur, Emmanuel Macron déclare :
Petit à petit, il est promu et envoyé en mission en Bosnie et en Afghanistan. Il est ensuite retourné à l’Élysée. A été le commandant en chef de l’armée sous Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy. Il a pris sa retraite à 68 ans en 2016, mais a été rappelé l’année suivante après l’incendie de Notre-Dame.
Emmanuel Macron l’a choisi pour s’assurer que le projet de reconstruction respecte le calendrier et respecte les décisions d’arbitrage. Le président lui a rendu hommage dans la matinée du 19 août.
L’ancien chef d’état-major de l’armée française et architecte de la reconstruction de Notre-Dame, le général Jean-Louis Georgelin, est décédé. Vendredi, la gendarmerie a localisé le corps de Jean-Louis Georgelin, 74 ans, sur les pentes du Mont Valier dans les Pyrénées. La loi donne plus de poids au sentier de randonnée où s’est produit un accident.
Le général Jean-Louis Georgelin, ancien chef des forces armées françaises chargé par le président Emmanuel Macron de superviser la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame après l’incendie de 2019, est décédé le 18 août à l’âge de 74 ans. des soldats ont été perdus. Le général a été tué lors d’une randonnée dans les Pyrénées. C’était l’itinéraire privilégié pour voyager en raison du risque élevé d’accident.