Jean Lefebvre Enfants -L’arbre généalogique de Jean LEFEBVRE La personne est née à Valenciennes, France, le 9 octobre 1919.Le nom signifie forgeron et est une variante de Lefèvre. Situé principalement en Picardie et dans le Nord-Pas-de-Calais, c’est l’un des quinze patronymes les plus répandus en France. En raison de l’amalgame visuel des lettres v et u, la variation Lefébure (76, 62) possède ce b étymologique (latin “faber”).
D’innombrables personnages burlesques lui ont permis de jouer au cinéma et sur scène. Des exemples notables incluent la satire de la bataille de France des années 1940 connue sous le titre « Ne nous fâchons pas », la série Gendarme de Saint-Tropez et Les Tontons flingueurs.
La carrière de Jean Lefebvre s’articule autour de cette œuvre que les connaisseurs appellent « la trilogie » et qui reste dans les mémoires comme une pièce significative représentant un humour d’autodérision typiquement français. Ce qu’il voulait vraiment dire, c’est qu’il avait récolté suffisamment de navets pour planter un jardin, annonça-t-il.
Étant un homme sensé, il a vécu sa vie selon une philosophie inspirée de l’épicurisme, qui met l’accent sur l’instant présent et l’ouverture aux autres (et aux bouteilles). “Bravo à ma santé, les jeunes”, dit-il en concluant.
La folle histoire des quatre mariages de Jean Lefebvre… non pas un, mais deux avec la même femme
Le dimanche 26 février 2023, à 21h10, C8 diffusera la populaire émission Le Jour de Gloire. Mettant en vedette Jean Lefebvre, ce classique culte fera à coup sûr un succès. L’acteur compte au total quatre mariages à son actif. Revenons à un conte absurde.
Le Jour de Gloire, classique culte des années 1970, sera diffusé sur C8 le dimanche 26 février 2023. La célèbre star du cinéma Jean Lefebvre, présent depuis longtemps, est au programme. Il possède à la fois l’amour et l’humour.
Au total, quatre mariages ont été consommés par l’acteur qui honore les films français les plus célèbres, dont deux avec Catherine Chassin-Briault ! Cet acteur a eu une carrière remarquable, apparaissant dans près de 120 films. Réflexion sur ses relations amoureuses turbulentes alors qu’il jonglait entre une vie privée trépidante et sa brillante carrière d’acteur.
Une carrière sectaire
La trilogie de la Septième Compagnie, Les tontons flingueurs et l’épopée du Gendarme de Saint-Tropez ne sont que quelques-unes des œuvres marquantes de Jean Lefebvre. Star de cinéma en série, il a joué dans plus d’une centaine de longs métrages, dont des classiques cultes comme Le Jour de Gloire. Le calendrier de l’acteur a été chargé pour des raisons autres que le fait d’apparaître à l’écran. Ayant été marié quatre fois, l’acteur a certainement eu du pain sur la planche.
Le rythme effréné du cœur
Il débute sa vie conjugale le 22 novembre 1950, en épousant Micheline Reine Grasser ; c’était un coureur. Une aventure amoureuse avec Catherine Chassin-Briault, plus connue sous le nom de Yori Bertin, débute douze ans plus tard.
Après avoir dit « oui » en 1967 et divorcé en 1973, ils se sont rebandés les doigts un an plus tard. Yori Bertin a mis fin à leur relation trois ans plus tard, ce n’était donc qu’une seconde chance passagère. Pascal, le premier-né de Jean Lefebvre, est né de leur relation. Il a l’intention de mettre fin à sa vie conjugale après quatre heures.
Bernard, Marie-Christine, Carole et Catherine sont les descendants de son mariage avec Brigitte Lerebours, célébré à Las Vegas en 1994. Un paradis brisé lorsque l’acteur décède à l’âge de 84 ans le 9 juillet 2004. Il est on se souvient d’un homme exceptionnel, complètement amoureux des films d’amour et des films grand public.
Valenciennes est le lieu de naissance de Jean Lefebvre, le 2 octobre 1919. Après avoir joué dans plus d’une centaine de films, il est décédé le 9 juillet 2004 à Marrakech, au Maroc.Dans les années qui suivent son évasion héroïque du camp de Voves (Eure-et-Loir) comme prisonnier de guerre, Jean travaille un temps aux côtés de son père.
Mais cette puissante personnalité ne peut se reposer sur ses lauriers, il s’inscrit donc au Conservatoire de Paris pour poursuivre sa carrière musicale en 1948. Rejoignant le groupe de cabaret Les Branquignols dans les années 1950, il obtient la deuxième place au concours d’opéra-comique. Parallèlement, il mène une carrière cinématographique bien remplie à partir des années 1960, lorsqu’il devient largement connu et très attendu dans le monde des comédies.
Des moments célèbres impliquant l’homme « au regard triste de cocker » – comme le dit Lino Ventura – peuvent être vus dans Quand passent les faisans, Un idiot à Paris et Les Tontons flingueurs. Il incarne les meilleurs, de Bernard Blier à Jean Gabin, de Lino Ventura à Darry Cowl, tout en étant souvent relégué à des rôles mineurs.
Après cela, Lefebvre incarne Fougasse dans la série Gendarmes à Saint-Tropez. Cependant, fatigué de son second rôle, il déclare qu’il ne sera pas présent pour toute la série de films et refuse même de servir la soupe Louis de Funès.
Mais sa vie personnelle effrénée finit par rattraper sa vie professionnelle : c’est un joueur chronique qui admet accepter des missions juste pour rembourser ses dettes de jeu croissantes. Après cela, sa carrière a plongé et il a commencé à apparaître dans les médiasdes films cre ou terribles.
L’interprète est tout aussi sévère lorsqu’il s’agit de ses émotions. Il a eu au moins cinq enfants issus de ses trois mariages, dont un deuxième mariage avec l’une de ses épouses.Le dernier Tontons Flingueur, Jean Lefebvre, est décédé à Marrakech le 9 juillet 2004, des suites d’une crise cardiaque. En guise de petit témoignage de notre appréciation, cette biographie a été rédigée dans les jours qui ont suivi.
Ce fils d’agriculteur du Nord-Pas-de-Calais fut l’une des dernières grandes icônes du cinéma classique, français, populaire et humoristique. Une explication simpliste serait injuste, même s’il est vrai que la comédie cinématographique est l’un des genres qui vieillit le moins (car trop ancré dans son époque) et que les choses qui faisaient rire grand-père ne font généralement pas rire fils. plus. pierre d’aspect marbré.
Ce serait également ignorer la réalité selon laquelle Jean Lefebvre était une véritable star hollywoodienne dans les années 60 et 70. Il a débuté comme un acteur de soutien permanent aux côtés de stars comme Ventura, Gabin, Delon, De Funès, etc.
plus tard il est devenu la star de ses propres émissions, mais ses efforts ont été pour la plupart infructueux car, malgré ses seconds rôles convaincants , il lui manquait clairement le pouvoir de star pour porter un film entier.
D’autant plus que sa principale motivation pour fournir ces services était de payer ses obligations de jeu, plutôt que le potentiel ou la qualité du scénario.En effet, Jean Lefebvre et plusieurs de ses compagnons étaient de grands utilisateurs des casinos de Deauville et de Trouville, fréquentaient souvent des soirées, dépensaient de l’argent de manière frivole et semblaient insatisfaits du jeu.
Francis Blanche, Darry Cowl, Micheline Dax, Robert Dhéry et Jean Richard (qui rejoignit plus tard le cirque) étaient tous membres de la troupe de comédiens de Robert Dhéry, les Branquignols. Les Branquignols ont été parmi les premiers groupes comiques français à faire une tournée aux Etats-Unis et en Angleterre, où ils ont connu du succès (et où s’est inspiré un jeune acteur britannique nommé John Cleese, qui mesure 1,90 mètre).
Le 3 octobre 1919, près de Valenciennes, Jean Lefebvre venait au monde. Son objectif professionnel était de devenir médecin, et il a commencé à étudier avant que la guerre n’arrête ses études, mais il s’est essayé au chant et au théâtre en amateur. Jean Lefebvre commence à jouer dans les cabarets parisiens après la Libération, salué notamment pour ses rôles de.
“l’Amiral” et “Les Vignes du seigneur”. Robert Dhéry, révolutionnaire de l’époque où la mode française était centrée sur le troupe comique et la parodie du méchant Boche, était un artiste de cabaret qui invita Lefebvre à rejoindre sa troupe des Branquignols. C’est dans ce groupe que Lefebvre retrouve l’humour fou et les bêtises fort anglaises de Dhéry.
L’un des spectacles de Dhéry, “La Plume de ma tante”, qui connut un certain succès, notamment en Angleterre, mettait en vedette Jean Lefebvre et il créa les magazines de sketchs. De nombreuses futures stars du cinéma français, dont Jean Carmet, Darry Cowl, Louis De Funès, Micheline Dax, Francis Blanche, Colette Brosset, Jacques Legras, Pauline Carton et bien d’autres, ont été présentées à Jean Lefebvre par les Branquignol.
Les intérêts de Jean Lefebvre se sont déplacés du théâtre vers le cinéma, et surtout vers le cinéma populaire, après son époque « Branquignols ». Il a joué un rôle de soutien important dans le film “Bouquet de joie” de Charles Trenet en 1952, et il a continué à jouer dans d’autres films bien connus, notamment “Les Diaboliques”, “Et Dieu créa la femme” et “En autodéfense” tout au long du film.
les années 1950. En 1961, il travaille à nouveau avec Dhéry dans “La belle Amériqueine”. En 1962, il partage la vedette avec Robert Hossein dans “Les Grands Chemins”. En 1963, il incarne Gabin dans “Le Gentleman d’Epsom”. Ses performances les plus marquantes furent avec Francis Blanche, Ventura, Blier et le classique culte “Les Tontons flingueurs”, avec Blier.
À cette époque, Jean Lefebvre tournait trois ou quatre films par an, devenait célèbre et possédait beaucoup d’argent, argent qu’il ne tardait pas à dilapider dans les casinos et les cercles de jeux dont il était un habitué.
Vice assez courant parmi les interprètes aguerris de la troupe des Branquignols : Jean Lefebvre était un habitué des « parties de croquet à 100 francs le point » de Francis Blanche, très prisées dans l’industrie théâtrale et cinématographique de l’époque. Là, on s’imprègne abondamment et on flambe encore plus.
Par la suite, les décisions professionnelles de Jean Lefebvre ont été mises à nu par les dépenses importantes qu’il a été contraint d’engager en raison d’une injustice fiscale.Avec un flux constant de films qui sortent, Jean Lefebvre devient une figure incontournable dans le monde du cinéma comique.
Il a été élevé au rang de sainteté et de renommée grâce à son travail dans la série “Gendarmes”, “La Septième Compagnie” et des centaines d’autres films. Célèbre pour son apparence de « cocker triste » (comme le disait Lino Ventura), il s’est fait connaître pour ses rôles de petit Français innocent et naïf.
Des acteurs comme Lefebvre et Ventura ont été décrits en termes très précis, tels que respectivement « la brute au grand cœur » et « le petit coquin qui bouge ».Sa filmographie des années 1970 est si vaste qu’elle.Essayer de le décrire serait une tâche fastidieuse.
Mais voilà que le style « comédie française » commence à étouffer (ou du moins rapporter moins, car le marché est saturé) : la Nouvelle Vague critique le genre, Mai 68 est passé, démodant les symboles populaires, et surtout américains. le cinéma commence à envahir la France.
Alors que les attentes sociétales relativement dures ont supplanté le côté agréable des années 1960, ce style de cinéma a perdu de sa popularité vers la fin de la décennie. Après avoir été épuisés par l’intellectualisme prétentieux de la Nouvelle Vague et la médiocrité des comédies faciles, les films avec Patrick Dewaere, Gérard Depardieu, Bernard-Pierre Donnadieu ou Alain Delon (période “Delon superflic”) récoltent souvent les fruits du cinéma populaire et du long métrage. acteurs dans des rôles plus « durs ».
“Impossible… pas français” de Robert Lamoureux en 1974, “Le Chasseur de chez Maxim’s” de Jean Halin en 1976, “Comme un pot de fraises” de Gérard Sire, et “C’est pas parce qu’on n’a rien à dire tu as “tais ta gueule” de Jacques Besnard et Christian Clavier (!) en 1974 sont autant d’exemples des absurdités financières dans lesquelles Jean Lefebvre commence à s’empêtrer.
Lefebvre, communément surnommé “Michalon” et était aussi franchouillard à l’époque, il se comportait comme un Français typique : un peu servile, un peu stupide, mais plein de bon sens populaire.Même s’il pouvait réaliser quelques performances sympathiques à cette époque,
Jean Lefebvre connaîtrait des années 80 bien pires, incarnant des personnages de plus en plus idiots dans des films inoubliables à la comédie pachydermique et devenant de plus en plus égocentrique. (« Ces sorciers sont fous » en 1978, « Les poches pleines pour rien » en 1977, etc.).