Jean-Christophe Markovic Mort – Jean-Christophe Markovic est un faiseur de miracles sur le terrain de basket. Il a 25 ans et pourrait évoluer avec les meilleures équipes d’Europe, mais il préfère revenir à Angers, où il a été formé. Certains joueurs sont froids avec lui car ils le voient comme un concurrent.
Markovic apprend à s’embrasser, mais un appareil génital brisé anéantit ses espoirs. Ses médecins et sa kinésithérapeute, Laure, ont tous dit que sa carrière était terminée. Le jeune homme est cependant déterminé à continuer à s’entraîner dans l’espoir de faire partie de l’équipe de France. Son utilisation d’antalgiques puissants s’avère finalement nocive pour sa santé.
En lisant cet ouvrage de fiction, vous serez plongé dans l’univers de Jean-Christophe Markovic, un vannier professionnel français devenu, presque contre son gré, l’un des meilleurs de sa génération.
Les ombres des sports d’élite intriguent parce qu’elles cachent tant de transactions louches. La machine imparable à faire et défaire les athlètes n’aura plus de mystère pour vous, que vous soyez dans le domaine médical, les médias ou même à la tête d’une équipe.
L’enjeu est toujours important et les conséquences toujours graves lorsque le jeu est dépassé par l’énigme du destin et que les joueurs sont réduits au rôle de simples spectateurs de leur propre destin. Après son film “La légende”, l’acteur, réalisateur et scénographe Florian Hessique sort son livre “Markovic de Jean-Christophe, dans l’ombre du sport business” aux Editions de l’Harmattan.
En effet, Florian Hessique est un acteur, metteur en scène et scénographe qui adore l’univers du ballon orange dans lequel il baigne depuis de nombreuses années. En 2018, il signe la production du long métrage La Légende (MC4 Distribution), sélectionné en ouverture de la compétition de la section “Cannes écrans juniors” du Festival de Cannes. De l’establishment médical aux médias, à quelques nettes exceptions près, la machine imparable qui crée et détruit les athlètes ne sera plus un mystère pour vous.
Citation : “L’être humain est une créature compliquée. Je n’aurais jamais pensé que je gagnerais ma vie en faisant du sport jusqu’à récemment. J’étais satisfait de la brève opportunité de découvrir un niveau de luxe qui n’avait même jamais été un de mes rêves.
Et maintenant, tout d’un coup, je n’ai plus qu’une obsession : m’améliorer. Je trouve ce concept odieux. Moi qui n’ai jamais travaillé plus que nécessaire, je me suis soudain retrouvé à penser à des paniers , manger de la nourriture dans un panier, respirer de l’air dans un panier et dormir pendant des heures.
Ce sport est devenu un mode de vie, pas seulement un moyen de gagner sa vie. Jean-Christophe Markovic, à vingt-cinq ans, a atteint le sommet de sa carrière de basketteur professionnel. Bien que courtisé par les meilleures équipes européennes, Jean-Christophe a décidé de revenir dans l’équipe qui l’a façonné, malgré le manque d’expérience du club au plus haut niveau. Viser haut, fiston ? L’escadron français.
Dans l’amateurisme avec lequel Florian Hessique a réalisé sa première photo, une tentative de méta-discours de la part du personnage de vannier aurait été appréciée. Cet attaquant de rêve de l’équipe de France incarne peut-être les espoirs d’un jeune réalisateur de mener son long métrage jusqu’aux Césars. Rien ne se passe, cependant.
La méthode de Hessique pour filmer son personnage ne laisse pas de place au second degré, ce qui serait le signe d’une légère régression par rapport à ses standards élevés habituels. Car oui, même si c’est difficile à dire, la photographie et les interprétations qui animent ce long métrage sont très différentes de ce que l’on voit souvent sur grand écran. Le meilleur endroit pour les regarder est à la télévision, de préférence dans des téléfilms de basse qualité et naïfs.
Parmi les jeux épouvantables de ces acteurs figurent ceux de Géraldine Lapalus, l’une des “stars” de la série Camping Paradis, qui incarne l’inévitable amour du protagoniste. intérêt, et le docteur en médecine du sport qui se regarde s’encombrer de dialogues invraisemblables, que son interprète relate avec un surjeu qui ne fait que les rendre plus grotesques.
Même Patrick Préjean, qui a une belle carrière derrière lui, n’est capable de produire que le strict minimum faute d’un leadership inspirant. Le cas le plus intrigant est bien sûr celui de Florian Hessique, car on ne peut pas croire qu’il habite le corps de cet athlète antagoniste. Chaque coup qu’il lui prend ne fait que renforcer son statut de caricature ridicule qu’il est.
L’intention des cinéastes de montrer le côté sombre du basket-ball – à l’opposé de la sanctification traditionnelle de l’éthique sportive – peut conférer au film une certaine crédibilité, mais l’exécution lourde du film le rend finalement inaccessible.
Hessique semble avoir puisé son inspiration uniquement dans les publicités les plus ridicules, avec la boucle sans fin d’effets de ralenti qui jouent à chaque scène sportive et la musique d’accompagnement qui gâche constamment l’ambiance.
Rien n’y fait, et La Légende ne réussit pas à faire de ses défauts une force qui illustre l’ambition autodestructrice de son protagoniste. Au contraire, ils témoignent davantage de la naïveté de son réalisateur, au point qu’on se sent mal pour lui. A tout le moins, on peut espérer que les fans de basket impatients de voir leur sport favori dépeint dans le cinéma français accorderont à ce réalisateur le bénéfice du doute et lui pardonneront son image décourageante.
En lisant cet ouvrage de fiction, vous serez plongé dans l’univers de Jean-Christophe Markovic, un vannier professionnel français devenu, presque contre son gré, l’un des meilleurs de sa génération. Les ombres des sports d’élite intriguent parce qu’elles cachent tant de transactions louches.
La machine imparable à faire et défaire les athlètes n’aura plus de mystère pour vous, que vous soyez dans le domaine médical, les médias ou même à la tête d’une équipe. L’enjeu est toujours important et les conséquences toujours graves lorsque le jeu est dépassé par l’énigme du destin et que les joueurs sont réduits au rôle de simples spectateurs de leur propre destin. Suivez la vie d’un homme ordinaire au destin légendaire, de ses premières années à son dernier match professionnel.
Selon le réalisateur du film, panierier lui-même, “c’est une leçon de vie”. C’est vrai, mais au départ, je voulais braquer les projecteurs sur le panier. Très peu de films ont été tournés à ce sujet. Le personnage principal est courtisé par les boîtes de nuit européennes d’élite. Pour se calmer, il retourne dans la salle de sport de son entraîneur personnel. Même s’il est conscient de certains problèmes physiques, il sait que son statut sera incontestable.
Sa chance tourne alors qu’il se heurte à l’hostilité de ses coéquipiers. Celui qui envoie des piques a confiance en lui. Le fait que tous les yeux seront rivés sur lui, cependant, a ses coéquipiers moins qu’extatiques. Il y a une sorte de guerre des ego en cours. Patrick Préjean, qui campe le président du club, crée des situations stressantes. Le grand monsieur de la comédie française. Nous travaillons ensemble depuis un certain temps déjà, notamment dans ma série télévisée à votre service.
Est-il facile de forcer les producteurs d’un film à choisir une intrigue ? Ce n’est pas simple. Pourtant, le basket-ball n’arrive qu’en France après le football en termes de licenciés (près de 600 000). J’ai eu la chance d’avoir une équipe derrière moi qui m’a soutenu à tous les niveaux. Et avant tout, mon film est une histoire humaine. Cela pourrait se produire dans un autre sport ou domaine entièrement.
Quel lien feriez-vous entre le sport et le cinéma ? Il y a à la fois le travail d’équipe et la capacité de voir grand. Si vous voulez vous affirmer à un certain moment, vous ne pouvez pas lâcher prise. Et surtout, avoir confiance en ses propres désirs, aussi hostile que soit l’environnement. N’abandonnez jamais rien. Cela est vrai dans l’industrie du cinéma, le monde du sport et au-delà. Et j’attends de grandes choses de La légende au box-office.
Jean-Christophe Markovic, à 25 ans, est au sommet de sa carrière de basketteur professionnel. Malgré l’intérêt des plus grands clubs d’Europe, Jean-Christophe retrouve son ancienne équipe après sa promotion en première division. Une place en équipe de France est son objectif ultime.