Jean-Baptiste Hennequin Est Mort – Philippe Bertrand, le chasseur, est installé au sous-sol de l’hôtel. Il affirme que le veilleur de nuit, Jean-Baptiste Hennequin, l’a empoisonnée sous le même prétexte (fuite d’eau souterraine présumée) qu’il avait donné à la réceptionniste. Dans sa déclaration à la police, le jeune mari raconte comment Henrique a nié avoir tué les deux parents et la jeune fille, et comment il l’a également menacé avec une arme à feu. Suivant son exemple, les détectives ont retrouvé le corps de Michèle Fabris dans la cave à vin de l’hôtel. Elle avait 25 ans.
Cette nouvelle récente a choqué la France tout entière. Jean-Baptiste Hennequin, 62 ans, veilleur de nuit au Grand Hôtel de Saint-Quentin dans les Hauts-de-France, s’est introduit par effraction dans l’appartement des propriétaires de l’hôtel entre les 19 et 20 janvier 1997. Puis il a assassiné un commerçant de 72 ans. Léo Roupioz et son amie proche et directrice de restaurant Gisèle Kuntzler, 69 ans, utilisant une hachette et une arme à feu.
Vers sept heures du matin, l’agresseur enlève le marié et assassine la réceptionniste qui se rend à l’hôtel pour l’aider. Puis, avec une lance à la main, il a explosé. Neuf jours plus tard, la police récupère la Polo de la troisième victime près d’Amiens après son vol.
Suite à cet acte, Baptiste Hennequin a disparu. Après quatre mois de fraude sous une fausse identité, le triple meurtrier est finalement arrêté dans un hôtel parisien. Le veilleur de nuit a été condamné à la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle avec une peine irrévocable de 22 ans le 18 juin 1999, à l’issue de son procès.
Le Parisien du 6 septembre 2019 rapportait que le Grand Hôtel de Saint-Quentin avait définitivement fermé ses portes. L’institution était en faillite en raison de son faible taux d’occupation, alors qu’elle était là depuis 1955. Il y avait « moins de la moitié des 24 chambres, qui sont encore belles, occupées », comme le précise l’article.
La réputation du quartier a été sérieusement affectée par le triple meurtre de Jean-Baptiste Hennequin, documenté dans les archives historiques. Le jeudi 2 décembre 2021, à 21h05, Dominique Rizet et Rachid M’Barki ramèneront les téléspectateurs sur RMC Story pour un épisode de Bring the Accused In, qui examinera ce meurtre.
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Acquérir l’effectif définitif des joueurs.Les pompiers de Saint-Quentin ont répondu à un appel d’urgence au Grand Hôtel, un hôtel emblématique du centre-ville reconnu pour son service impeccable et ses normes élevées, dans la matinée du 20 janvier 1997.
Cependant, les pompiers ont été dépêchés sur les lieux d’un incendie dans un atelier de la rue de l’Est. Ils découvrent les lieux en plein désarroi et en proie aux flammes, qui semblent toutes avoir des origines suspectes. Il s’avère que l’atelier appartient à Jean-Baptiste Hennequin, le veilleur de nuit du Grand Hôtel. La police a commencé à rechercher Hennequin en réponse à cette étrange coïncidence, tandis que d’autres agents fouillent méticuleusement l’hôtel à la recherche de signes d’actes répréhensibles.
Vingt ans après la tuerie du Grand Hôtel de Saint-Quentin, la douleur C’est la toute première fois qu’il s’exprime publiquement. Saint-Étienne Fabris nous confie sa douleur immense et sans fin, vingt et un ans après le meurtre de sa femme, la plus jeune des trois victimes.
En pleine nuit des 19 et 20 janvier 1997, Jean-Baptiste Hennequin, alors âgé de 62 ans, pénètre dans l’appartement privé du couple mécène au Grand-Hôtel. Léo Roupioz, 72 ans, le propriétaire, et Gisèle Kuntzler, 69 ans, sa compagne et directrice générale, sont tous deux tués.
Vers 7 heures du matin, Hennequin s’empare du marié puis attend la réceptionniste, qu’il exécute ensuite au cou. Armé, il s’enfuit à bord de la Polo ayant appartenu à sa troisième victime, retrouvée à Amiens neuf jours plus tard. Hennequin est appréhendé dans un hôtel parisien sous un faux nom après quatre mois de cavale.
L’assassin a été condamné à 22 ans de sécurité incompressible et de prison perpétuelle le 18 juin 1999. Sa fragilité est toujours apparente et son visage se couvre rapidement de larmes. Sans l’approbation de sa mère, il n’aurait jamais parlé. Michèle, sa femme et la plus jeune des trois victimes tuées par Jean-Baptiste Hennequin au Grand-Hôtel il y a vingt ans, est toujours très présente dans sa vie ; chaque samedi, il se rend au cimetière pour poser sa tête sur sa tombe.
Stéphane Fabris, qui fête aujourd’hui ses 50 ans, ne trouve pas ses mots pour révéler quoi que ce soit sur le meurtrier toujours en prison. Lors de son procès en juin 1999, le Saint-Quentinois a seulement souhaité évoquer le souvenir de son épouse, assassinée par le veilleur de nuit, qui avait fait preuve d’un cynisme et d’une indignité absolus dans ses déclarations à la famille.
Chez lui, il dépose toutes les belles photos de Michèle sur la table basse du salon. Michèle s’exprime avec le charme insouciant d’une jeune et jolie femme dans l’une de ses images préférées. A la réception du Grand Hôtel, la photo a été prise.
C’est Mme Roupioz qui l’avait photographié. Avant un passage à Monaco, Michèle a suivi sa formation à l’Ecole Hôtelière de Tunon. Nous nous sommes rencontrés tous les deux au Grand-Hôtel en 1989. Stéphane Fabris, d’une voix grave, raconte que “c’est l’étincelle qui a tout déclenché” et qu’ils se sont mariés en 1990. Qui révèle un détail horrible et choquant : il était veilleur de nuit dans l’établissement où son successeur assassina sa femme quelques années plus tard.
Le souvenir de sa femme lui revient sans cesse. C’était une très belle personne, gentille, bonne, pas méchante en tout cas; je ne l’ai jamais oublié. Tout était pour moi ; Je lui dois tout. “On n’avait pas besoin de se parler pour se comprendre”, confie Stéphane Fabris. Avant que tout ne s’effondre le 20 janvier 1997 à midi, le couple avait sans doute plein de projets et une famille à fonder.
Lors des obsèques à l’église Saint-Éloi, c’était comme si quelqu’un m’avait coupé en deux. “Je n’ai jamais pleuré de ma vie autant”, rappelle Stéphane Fabris. Ce matin, j’étais à l’hôtel de la ville. Le maire de l’époque, Pierre André, rappelle que “j’étais assommé” en apprenant la nouvelle. J’avais vu Léo Roupioz, un ami de longue date, quelques jours plus tôt lors de ma cérémonie de mariage. “Un tel fait différent ruinait aussi nos efforts” lorsque nous remontions l’image de la ville.
Personnellement, je n’ai jamais vécu, connu ou vu cette tragédie. Valéry Fouquet, propriétaire du Grand-Hôtel et gérant de l’entreprise, explique de son côté que cette histoire appartient au passé, même si cela a été un véritable choc pour le personnel de l’époque et qu’il a dû se protéger. Il y a quelques années à peine, l’intérieur de l’établissement quatre étoiles a été entièrement rénové, comme vous pouvez le constater sur ce site larmoyant.
Le jeune berger Stéphane Fabris s’était réfugié dans la religion et avait passé près de deux ans au séminaire après ce drame qui a inévitablement trahi son humanité. Et de réitérer à propos de sa femme disparue : “C’était la personne que j’aime le plus au monde”.
Elle était la lumière de ma vie. “Mais comment peu » demande-t-il invariablement. “Je crois qu’on ne fait jamais son acte.” Après avoir rencontré une nouvelle petite amie en 2002, qui a donné naissance à deux belles jeunes filles, Stéphane Fabris n’a jamais réussi à se réconcilier avec elle. Deux merveilleuses raisons de continuer à vivre par amour.
Jean-Baptiste Hennequin, tueur en série français né le 16 juin 1935 à Fresnoy-le-Grand, est reconnu coupable des meurtres des gérants et de la réceptionniste du Grand Hôtel de Saint-Quentin (Aisne) le 20 janvier 1997. Jean-Baptiste Hennequin purge sa peine pour son crime dans le sud-est de la France.
Le matin du 20 janvier 1997, le service de Saint-feu Quentin répond au Grand Hôtel, 6 rue Dachery. Les excellentes normes de l’hôtel et son emplacement idéal l’ont rendu célèbre dans la région. A leur arrivée, les pompiers ont découvert les corps du directeur de l’hôtel Léo Roupioz et de sa petite amie Gisèle Kunstler au 101e étage. Selon toute vraisemblance, un massacre à la poudre blanche aurait entraîné la mort des victimes. Les pompiers trouvent une note anonyme critiquant le double meurtre sur leurs uniformes.