Jacques Rougerie Maladie – Même à l’époque, il n’était pas connu sous le nom de “le Cube” ; en fait, il me semble me souvenir qu’il était connu sous le nom de “La Deuche” en raison du fait qu’il était un étudiant qui conduisait “un peu” (beaucoup ?) d’un vieux deux chevaux “porky” qui ne le ferait probablement pas avoir passé le contrôle technique.
Le rugby français est en ébullition dimanche. Selon le journal régional La Montagne, Jacques Rougerie est décédé le 12 août 2023, à l’âge de 78 ans, après une longue bataille contre la maladie. Connu sous son surnom, “le Cube”, l’ancien capitaine et joueur de l’ASM des années 1970 est aussi le père de l’actuel capitaine clermontois, Aurélien Rougerie. Le club a appris le décès de Jacques Rougerie avec une grande tristesse.
Dans les années 1970, “le Cube” arbore fièrement les couleurs Jaune et Bleu, et plus tard, il participe à la fondation de l’Ex-Montferrandais, une association regroupant d’anciens membres du club. Depuis lors, le club d’Avergnat a répondu par une déclaration publiée sur divers comptes de médias sociaux, dont celui utilisé par Aurélien pour accéder à X (anciennement connu sous le nom de Twitter) et où des condoléances ont été présentées au nom de toute l’organisation.
L’ancien chapardeur dispute un match de championnat de France, s’inclinant face à la Voulte (3-0) avec l’ASM en 1970. Peu de temps après, en 1976, celui qui a été élevé à Tulle et affiné à Limoges bat Graulhet en finale du Challenge Yves du Manoir (40-12). Entre 1968 et 1977, Jacques Rougerie et les Jaunards ont joué 176 fois. Cet individu, étant actif, pourrait également retarder une sélection avec le XV de France.
Le pilier de clermont-au-prince a fait ses débuts avec l’équipe de France lors d’un match test contre le Japon le 27 octobre 1973, au stade Chaban-Delmas de Bordeaux, que la France a remporté sur le score de 30-18. Des années plus tard, son fils Aurélien a suivi ses traces en devenant joueur de l’équipe de France (avec 76 sélections) et finaliste de la Coupe du monde de rugby 2011 en Nouvelle-Zélande. L’ancien centre est le “team manager” de Clermont depuis sa retraite.
L’homme dont le nom de famille était “Le Cube” n’existe plus. Le samedi 12 août, à l’âge de 78 ans, il est décédé. En tant que membre de l’ASM de 1968 à 1977, il a contribué à amener l’équipe à la finale du championnat de France en 1970 et à la victoire au Challenge Yves du Manoir en 1976.
Toujours dévoué à son équipe, il a été vice-président de ” L’amicale des Ex-Montferrandais,” une organisation qui réunissait des joueurs de différentes époques du club. Ce matin, l’ASM a lâché sa “tristesse” et salué “un pilier historique des Jaunes et des Bleus”.
Père de l’ancien capitaine de l’ASM Aurélien Rougerie et époux de la première adjointe de Clermont-Ferrand Christine Dulac-Rougerie, il s’est lui-même investi dans sa ville natale en étant adjoint au maire de 1989 à 1995. Les Clermontois garderont de lui le souvenir d’un personnage mythique de leur ville natale.
Pendant des années, il avait lutté pour surmonter sa maladie. Alors que la nouvelle de la mort de son ancien allié se répandait, l’ASM a versé ses “larmes” pour lui. Il a mené les Jaunards à la finale du championnat de France en 1970, qu’ils ont perdu face à la Voulte (3-0), mais il les a menés à la victoire lors du défi Yves-Du-Manoir face à Graulhet six ans plus tard.
Une fois ses jours de jeu terminés, celui qu’on surnommait “le Cube” a poursuivi ses aventures avec les Jaunes et les Bleus en devenant actif à l’Amicale de l’Ex-Montferrandais, un rassemblement d’anciens joueurs et comédiens de l’ASM. Avant de mourir, il a été vice-président.
Membre éminent du milieu du football clermontois auvergnat dans les années 1970, Jacques Rougerie est décédé samedi à l’âge de 78 ans. Il était le père de l’ancien international français Aurélien Rougerie. Dimanche, les Jaunards ont dévoilé un hommage à une légende du club.
Après avoir appris le décès de Jacques Rougerie à l’âge de 78 ans, l’ASM Clermont Auvergne a publié un communiqué exprimant « sa tristesse ». Le pilier a porté la tunique montferrandaise de 1968 à 1977 ; il avait auparavant participé à une sélection avec le XV de France et est le père de l’ancien trois-quarts international Aurélien Rougerie.
Le Cube, comme il était surnommé dans le journal local La Montagne, luttait contre la maladie depuis des années. Son séjour à Clermont, où il est devenu l’un des capitaines les plus reconnaissables du club, a été marqué par la défaite en finale de la Coupe de France 1970 face à La Voulte. (3-1) et la victoire en finale de Coupe de France 1976 face au SC Graulhet (40-12).
Jacques Rougerie, souvent connu sous le nom de “le cube”, était un individu odieux que personne ne pouvait ignorer tant que son faux les charmait pour les aider. En tant que père d’Aurélien (et aussi de Baptiste et Victor), joueur emblématique et capitaine de l’ASM, Jacques, l’esprit clair et perspicace, n’a jamais manqué d’histoires sur le ballon oblong ou autre.
L’essentiel de son travail de plombier se faisait à Montferrand. Il a porté le maillot dans l’élite de 1968 à 1977, et ses meilleurs moments sont survenus lors d’une défaite en finale du championnat de France de 1970 contre La Voulte (3-0) et d’une victoire en 1976 contre Graulhet au Manoir.
Les soucis de Christine Dulac-Rougier
Jacques Rougerie était un membre éminent de la communauté de Clermont-Ferrand ; il était marié à Christine Dulac-Rougerie, ancienne internationale et basketeuse du CUC. Dans les années 1980, il est élu maire de la capitale auvergnate.
Au tournant du millénaire, il était toujours président d’honneur du groupe de supporters de l’ASM Bouclier Arverne, qu’il avait fondé et dirigé depuis les débuts de son fils “Roro” dans le sport.
Jacques, dont la santé s’était détériorée au fil des ans, est décédé ce samedi d’été. La Montagne adresse ses plus sincères condoléances à toute sa famille. A 78 ans, ce pilier du club a laissé une marque indélébile dans l’effectif. Il a porté fièrement les couleurs de l’ASM Clermont Auvergne de 1968 à 1977 et a eu l’opportunité de jouer pour le XV de France dans un tournoi. Jacques Rougerie, affectueusement surnommé « le Cube », lutte depuis longtemps contre une maladie invalidante.
Sa mort a laissé un énorme trou dans le monde du rugby et la communauté ASM en particulier. Son passage au club restera à jamais dans les mémoires pour des moments comme la défaite de la finale de la Coupe de France 1970 contre La Voulte par un score de 3-0. Cependant, il a également goûté au succès, notamment une victoire retentissante dans le défi Yves du Manoir en 1976, lorsque l’ASM Clermont Auvergne a battu le SC Graulhet sur le score de 40-12.
Connu sous son surnom, “le cube”, Jacques Rougerie était un homme intrigant qui ne supportait pas d’être ignoré. Il était un joueur légendaire et capitaine de l’ASM, et ses histoires charismatiques étaient légendaires. Milieu de terrain talentueux qui a passé l’essentiel de sa carrière à Montferrand, où il a porté le maillot de première division de 1968 à 1977. Il a disputé la finale du championnat de France 1970 et remporté le challenge 1976 au Manoir. Après sa carrière sportive, il s’implique dans la vie politique et sociale de Clermont-Ferrand.
Un membre dévoué de la communauté clermontoise
En ce qui concerne la scène clermontoise, Jacques Rougerie était un incontournable. Il épouse Christine Dulac-Rougerie, assistante sportive de la ville de Clermont-Ferrand et ancienne basketteuse internationale, et il est élu au conseil municipal dans les années 1980.
Il a signé avec l’ASM pour continuer sa carrière sportive tout en poursuivant un diplôme en chirurgie dentaire. Avant de prendre sa retraite au Stade Clermontois, il a disputé 176 matchs avec l’équipe en 9 saisons.
Un héritage indéniable
Jacques Rougerie laissera un héritage incontestable dans l’histoire du rugby clermontois. Malgré la maladie qui l’a tourmenté ces dernières années, il est resté proche de son fils, lui aussi rugbyman professionnel.
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Il est indéniablement l’actuel et ancien joueur du SCT n°8. Je ne me souviens que de les avoir vus jouer une fois en personne : un match de défi entre le Sporting et l’Espoir à Périgueux, dans lequel le Sporting a aligné une formation de départ comprenant Berejno, Yachvili et Rougerie – trois joueurs internationaux – pour la première fois dans le l’histoire du club.