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Guy Orsoni Fils
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Guy Orsoni Fils – Des balles ont été retrouvées dans le centre-ville d’Ajaccio (Corse) jeudi matin, blessant Guy Orsoni, le fils de l’ancien leader nationaliste Alain Orsoni. Des balles ont touché Guy Orsoni, fils de l’ex-dirigeant nationaliste Alain Orsoni, jeudi matin en plein cœur d’Ajaccio, mais il devrait se rétablir, comme l’a rapporté la scène. Le jeune homme a reçu une balle dans l’épaule alors qu’il visitait les jardins de l’Empereur dans les quartiers hauts de la ville.

Guy Orsoni a fait le tour de sa voiture à l’aveugle.

Selon le même rapport, il a réussi à s’éloigner de ses agresseurs en se dirigeant vers le centre-ville, où il s’est finalement arrêté au-dessus du palais de justice et a été arrêté par la police. Guy Orsoni a été acquitté en juin 2015 des crimes et condamné à huit ans de prison pour avoir participé à une organisation criminelle dans le but d’obtenir de faux papiers d’identité et d’avoir perpétré une série de meurtres. L’équipe de défense de Guy Orsoni a déposé une requête pour sa libération, et le tribunal l’a accueillie. L’équipe de la défense avait précédemment déposé plusieurs requêtes similaires sans succès.

Jeudi, le tribunal d’instruction d’Aix-en-Provence a relaxé Guy Orsoni, le fils de l’ancien leader nationaliste corse Alain Orsoni, qui avait été placé en garde à vue dans le cadre d’une enquête sur le meurtre en 2018 d’un retraité. Avec l’autre acteur principal dans cette affaire, Anto Simonu Moretti, il a été libéré parce qu’aucun des deux hommes n’avait été détenu pour d’autres charges.

Les autorités judiciaires ont prononcé une interdiction de voyager et interdit à Guy Orsoni de quitter la métropole et de revenir en Corse ou dans les Bouches-du-Rhône. Aucune arme ne peut être portée et aucun contact ne peut être établi avec les autres personnes faisant l’objet d’une enquête dans cette affaire. L’équipe de défense de Guy Orsoni, qui avait auparavant déposé plusieurs demandes similaires sans succès, a finalement vu l’une de ses demandes de mise en liberté accordée par le tribunal d’instruction.

Eric Bouillard, procureur de la République à Ajaccio, a déclaré que le 23 août 2018, Jean Livrelli, policier à la retraite non identifié, avait rejoint son équipe de battue pour une partie de chasse lorsqu’il a été tué de plusieurs coups de feu dans un « guet -apens” en contrebas du village de Bastelica. Cette attaque avait été menée “par au moins deux hommes”, a déclaré Bouillard. Le procureur est rapidement passé à la théorie de “l’erreur”, suggérant que le retraité avait été tué par erreur.

Cependant, l’homme avait déjà purgé sa peine en détention provisoire avant de comparaître devant le tribunal pour l’affaire, qui portait sur deux meurtres du crime organisé qu’il était accusé d’avoir commis en Corse en 2009 mais qui a finalement été innocenté. Le tribunal l’a également placé sous contrôle judiciaire dans une autre affaire où un membre présumé du groupe criminel opérant à partir du Petit Bar, Pascal Porri, avait été la cible en 2018.

Selon une information obtenue de source judiciaire samedi, Guy Orsoni, le fils de l’ancien leader nationaliste corse Alain Orsoni, est sorti de prison jeudi dans le cadre de l’enquête sur le meurtre en 2018 d’un retraité. Anto Simonu Moretti, autre acteur majeur de cette affaire, et Guy Orsoni ont tous deux été libérés sans inculpation, comme l’a précisé l’avocat général, confirmant une information de France3 Corse.

Interdiction d’entrer à Corfou en étant armé

Le tribunal a placé sous tutelle Guy Orsoni, 38 ans, lui interdisant de quitter la métropole ou de se rendre en Corse ou dans les Bouches-du-Rhône. Il est strictement interdit de porter une arme ou d’interagir avec l’une des autres personnes faisant l’objet d’une enquête dans cette affaire. L’équipe de défense de Guy Orsoni, qui avait auparavant déposé plusieurs requêtes similaires devant la justice sans succès, a finalement vu l’une de ses demandes de mise en liberté accordée par le tribunal d’instruction.

Alors que l’intrigue “surprise” s’épaissit,

Jean Livrelli, policier à la retraite totalement inconnu des autorités, a été tué le 23 août vers 6 heures du matin alors qu’il chassait avec son attelage. Il a été retrouvé mort dans un guet-apens au bord de la route en contrebas du village de Bastelica (Corse-du-Sud), et Eric Bouillard, alors procureur de la République à Ajaccio, a déclaré à l’AFP qu'”au moins deux hommes” étaient responsables de l’attaque.

Bientôt, le procureur a poussé la théorie de “la méprise”, suggérant que le retraité avait été tué par erreur. Le général de parquet a précisé qu’une personne est toujours en garde à vue et a déposé une requête pour prolonger sa détention.

En février 2021, Guy Orsoni a été condamné à quatre ans de prison.

La police avait qualifié Guy Orsoni de “personnalité navigante du banditisme corse”, et il avait été condamné à quatre ans de prison pour “association de malfaiteurs en vue de la délivrance de faux documents administratifs” en février 2021. Pourtant, l’homme avait déjà a purgé sa peine en détention provisoire avant de comparaître devant le tribunal pour l’affaire, qui portait sur deux meurtres du crime organisé qu’il était accusé d’avoir commis en Corse en 2009, mais qui a finalement été innocenté.

Guy Orsoni Fils

Le tribunal a également placé Guy Orsoni sous contrôle judiciaire et mis en examen pour “association de malfaiteurs en vue de commettre un crime” dans une affaire distincte de celle dans laquelle un membre présumé du groupe criminel opérant à partir du Petit Bar, Pascal Porri, était la cible en 2018.

Le verdict a été rendu; justice a été rendue. Une cour d’appel a confirmé le verdict initial selon lequel Guy Orsoni, présumé bandit corse et fils de l’ancien dirigeant nationaliste Alain Orsoni, était coupable de collusion avec d’autres criminels pour fabriquer de faux documents officiels, et il a été condamné à quatre ans de prison. lundi.

Sa peine de huit ans pour ces crimes a été prononcée par la cour d’appel de la province française des Bouches-du-Rhône le 30 juin 2015, en même temps que lui et ses coaccusés étaient disculpés pour deux meurtres commis par crime organisé en Corse en 2009. Les personnes décédées appartiendraient au gang notoire du Petit Bar.

L’appel du Parquet général contre les acquittements ayant été jugé sans fondement par la Cour de cassation, Guy Orsoni n’a été reconnu coupable que du chef de faux. Le procureur général Pierre Cortès a plaidé pour une peine de six ans de prison, assortie d’une caution obligatoire et d’une interdiction de rentrée de cinq ans dans les régions Corse et Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Imitations de cartes d’identité et de permis de conduire

Le 14 juillet 2009, un de ses amis a été arrêté alors qu’il sortait d’un navire à Ajaccio avec quatre photos dans une enveloppe représentant Guy Orsoni avec trois jeunes du quartier. Toute la bande des quatre était alors montée. Il a cependant été découvert depuis qu’il avait fabriqué une carte d’étudiant en éditant des photos qu’il avait prises en Corse et en les envoyant à une personne à Corte.

Le meurtre d’une personne âgée a fait l’objet d’une enquête.

Les enquêteurs se penchent sur le terrible cas d’un retraité qui aurait été tué le 23 août 2018, en Corse-du-Sud, et Guy Orsoni, qualifié de “voile figure de proue du Guy Orsoni dit qu’il n’est en aucun cas responsable de ce qui s’est passé.

Le procureur général a examiné les papiers et déterminé que “Guy Orsoni n'(était) pas sorti de cette logique de règlements de compte”, comme l’indique la demande de documents. Après avoir reçu une balle dans le soutien-gorge alors qu’il conduisait les yeux bandés,

“Guy Orsoni est arrêté la cagoule sur le visage et les armes à la main, à proximité du domicile de celui qui avait tenté de le tuer”, comme l’a relaté le procureur. Guy Orsoni, étudiant en deuxième année, envisage de partir au Nicaragua avec son père, Alain, “pour éviter que mon fils ne grandisse dans un contexte que je connais trop peu”. Guy se spécialise en langues appliquées.

Cet homme de 58 ans gère les opérations commerciales de l’équipe de football locale, Ajaccio, et vit avec sa mère à Vero. Il n’a pas de vision de l’œil gauche et conduit un véhicule à moteur tout en portant un bandeau sur les yeux. Son frère aîné Guy, qui aurait eu 20 ans cette année, a été assassiné par des criminels en 1983 et vengé par un commando du FLNC dans une prison d’Ajaccio, et sa photo est accrochée derrière lui.

Guy Orsoni est aussi le nom du fils du photographe Alain Orsoni. On dit qu’il a 27 ans. Après son arrestation et l’enquête qui a suivi dans trois affaires de meurtre distinctes, il a cessé de manger le 13 février. Son père, qui est catégorique sur l’innocence de son fils, jeûne à ses côtés depuis une semaine en prison dans le but de le faire libérer et de protestent contre les procédures de la JIRS de Marseille, responsable de la plupart des cas de banditisme important en Corse. Une requête pour soupçon raisonnable a été déposée cette semaine par les avocats de Guy Orsoni contre le juge du siège.

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