Florence De Changy Wikipedia – Deux ans après le crash du vol MH370, “certains savent où l’avion est tombé”. P.S. Deux années se sont écoulées depuis la disparition des 239 personnes à bord de l’avion de Malaysia Airlines qui s’est écrasé. Une journaliste française en reportage à Hong Kong dévoile son enquête sur cette mystérieuse disparition.
De formation journalistique, elle est actuellement basée à Hong Kong et collabore fréquemment au “Monde” et à RFI. Elle a également passé du temps en Australie et en Malaisie. Demain paraîtra le livre de Florence de Changy “Le vol MH 370 n’a pas disparu”*, et en un peu moins de 300 pages, elle revient sur les événements complexes qui ont entouré cette remarquable affaire. Une contre-enquête robuste qui permet de « nettoyer » les nombreux pièges et mensonges répandus depuis ce tragique 8 mars 2014.
Qu’est-ce qui donne avec la référence à une « insulte à l’intelligence humaine » ?
Un conte de Florence et du feu. Quelque chose de complètement ridicule dans cet événement nous est imposé depuis 2014. Je ne la trouve pas incroyable ; Je ne crois tout simplement pas qu’elle soit réelle. Ni moi ni la grande majorité des gens ne sommes convaincus. Qu’est-ce qui donne quand nous pouvons observer un sou lunaire et un avion de la taille d’un 777 recouvert d’électronique qui semble disparaître ?
Les autorités malaisiennes ont cependant présenté des pistes d’action potentielles, mentionnant les actions du pilote et le demi-tour de l’avion Les preuves ne soutiennent rien lorsqu’on examine tout cela de près.
Une expression utilisée par le Premier ministre de la Malaisie était « action délibérée ». La machine fantastique a alors dévié de sa trajectoire initiale. Mais sur quoi comptait-il ? Exactement zéro. Selon certaines informations, le pilote aurait désactivé le système de communication de l’Acar. Cependant, nous n’avons aucune idée de la question.
Pourtant, les plus grandes recherches en mer jamais réalisées ont été menées par les Australiens,
À l’aide d’une capture d’écran d’un radar thaïlandais, les Malaisiens tentèrent de rationaliser la retraite. Selon tous les experts, il a été falsifié. Après cela, j’ai découvert que l’avion aurait survolé Penang, base vitale des Cinq Puissances, l’OTAN locale, si l’on en croit le récit officiel.
L’infiltration d’un appareil inconnu ne vous préoccupait-elle pas ? En outre, treize radars militaires sont situés le long de cette trajectoire nouvellement reconnue que l’avion aurait suivie. Lorsqu’on lui a demandé ne serait-ce qu’une allusion à ce sujet, aucun pays n’a jamais répondu.
Les “pings” du satellite Inmarsat pointent vers un possible crash d’avion dans le sud de l’océan Indien. C’est un parfait exemple de la raison pour laquelle Inmarsat aurait dû communiquer ou partager ses données. Cette firme en sait plus qu’elle ne le laisse entendre, selon deux sources. Je garde plusieurs choses secrètes.
Interrogé à ce sujet, Boeing est resté silencieux. Il nous a fallu des mois pour recevoir le manifeste de fret de l’avion ; l’avion était censé transporter des fruits exotiques qui n’étaient de saison nulle part dans le pays ! Cela vaut également pour les espèces de flaperons présentes à la Réunion.
Aucun membre de la famille n’était autorisé à assister à l’expertise. Nous ne savons toujours pas quelle est sa taille ni quel est son poids, mais connaître ces détails aiderait les experts à mieux prédire comment l’objet se déplacerait dans l’océan.
De votre point de vue, qu’implique cette problématique ?
Le PDG d’Emirates a déclaré que certaines personnes sont au courant de ce qui s’est passé et de l’endroit exact où l’avion s’est écrasé. Les hypothèses ne sont pas avancées tout au long du texte. Après avoir exposé les facteurs, chacun peut décider par lui-même.
Mais si je devais deviner, je dirais que c’est dans la mer de Chine que le vol 370 de Malaysia Airlines pourrait s’être écrasé. Un débris avait été détecté dans la zone soit par des satellites, soit par des voiliers. Jusqu’à ce que le gouvernement américain le rejette catégoriquement et que l’attention se tourne vers l’Australie.
Le vol MH 370 a disparu. Un journaliste a évoqué la responsabilité militaire.
La journaliste d’investigation Florence de Changy du Monde et de RFI a publié un livre intitulé “La Disparition” dans lequel elle spécule sur ce qui aurait pu se passer dans la nuit du 7 au 8 mars 2014 : peut-être la chute intentionnelle ou accidentelle de l’avion au décollage de l’avion. Côte vietnamienne.
Les conditions météorologiques actuelles sont favorables. Un vol vers la Chine part tous les jours. Le navire transportait 227 passagers et 12 membres d’équipage. Pas moins de quatorze pays différents sont représentés à bord de l’avion. Ils viennent principalement de Chine et de Malaisie. Ce groupe comprend quatre personnes originaires de France.
Aux petites heures du matin, l’avion a maintenu son altitude de vol normale de 35 000 pieds (10 700 m). L’avion envoie son rapport final Acars à 1h07. Ce système envoie des données sur l’état de l’avion.
performances techniques via satellite à intervalles réguliers. Il a quitté la zone de contrôle aérien de Kuala Lumpur à 1h19 du matin. Ce sera son dernier message radio. Tendre la main aux contrôleurs vietnamiens était sa tâche désignée.
Cela n’a jamais été son cas. Malheureusement, le transpondeur qui permet aux opérateurs au sol de suivre ses trajectoires est déconnecté à bord. Une fois que l’avion n’est plus visible sur le radar, il disparaît.
Nos cœurs se brisent pour les 239 personnes innocentes qui ont disparu sans laisser de trace. La journaliste Florence de Changy suit tous les indices et affirme, dans son deuxième livre sur le sujet, des propos radicaux sur l’enquête mondiale sur cette énigmatique disparition. Présentation d’une nouvelle théorie.
Le mystère entourant la disparition du vol MH 370 persiste même après sept ans. Mais pourquoi?
La situation ne peut être tolérée. J’ai toujours soutenu que cet accident n’était pas un « mystère mystérieux » et que le récit officiel faisant état de sa « disparition » était une trahison de l’intelligence humaine. En 2014, non seulement un avion B-777 n’est pas perdu dans l’une des zones les plus surveillées de la planète par les deux superpuissances, mais il reste en plus dans le noir. Personne ne peut croire la version officielle.
Utilisez ce rapport comme référence ; il s’agit du rapport d’enquête technique de juillet 2018. Une grande partie des données dont j’avais besoin pour mes recherches étaient là. En guise de conclusion quelque peu particulière, il affirme que « l’intervention d’un tiers » ne peut être éliminée, mais il ne donne pas plus de détails.
Il documente les échanges entre les différents contrôleurs aériens de la zone, le fait qu’un B-777 est incapable d’effectuer le demi-tour que prétendent les autorités malaisiennes et le fait qu’un important chargement de produits électroniques a été chargé sans en le scannant d’abord. Pour moi, c’est une mine.
Vous pensez qu’il est invraisemblable que la meilleure solution soit de dépressuriser le réservoir puis de voler jusqu’à épuisement du carburant ? La version officielle a été analysée dans mon livre. L’absence de preuve était pour moi très claire. Par conséquent, si vous aviez voulu, l’avion se serait écrasé au Vietnam plutôt qu’en Australie.
Dès 2 h 40, Malaysia Airlines a enregistré avec insistance qu’elle avait parlé pour la dernière fois avec l’avion. Le passage de 12h30 à 13h30 a été effectué alors que des récits concurrents commençaient à faire surface.
Les éléments du rapport d’enquête, les conversations entre les contrôleurs aériens au Vietnam et en Malaisie et le redémarrage du SatCom (communications par satellite) de l’avion à 2 h 25 suggèrent un crash au large des côtes vietnamiennes vers 2 h 45. Un contrôleur aérien du Vietnam a soudainement dit à son collègue malaisien : « l’avion est en train d’atterrir », comme le montrent les transcriptions incluses dans le rapport d’enquête. Absolument rien d’autre n’est requis ! J’ai découvert un autre élément de preuve qui semble étayer l’heure et le lieu de l’accident.
Que nous disent les débris de La Réunion, de Madagascar et de Tanzanie ?
La France étant déjà fortement impliquée dans ce volet de l’affaire, la découverte du flaperon à La Réunion en juillet 2015 prend une signification bien plus grande. La provenance de la pièce comme appartenant au Boeing du vol MH 370 est à mon avis absolument incertaine.
Sa présence exceptionnelle sur cette plage, à des milliers de kilomètres du lieu supposé du crash, et près de 500 jours après l’incident, est en soi remarquable. Alors que nous approchons des 500 jours et atteignons les 4 000 kilomètres, nous ne sommes plus surpris par la déclaration de l’Australie selon laquelle tous les déchets ont coulé au bout de 50 jours. Cette découverte est qualifiée de “vraiment très étonnante” par Jean-Paul Troadec, ancien patron du BEA (Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile).
Cette pièce ne porte pas la plaque d’immatriculation, qui est une plaque métallique qui ne doit jamais être retirée (sauf lors du démontage de l’avion, auquel cas elle est obligatoire) et est rivetée ou masticée, c’est donc un indice parmi plusieurs que cette pièce ne provient pas du MH 370. Cela appelle une explication en soi. Non seulement il y a d’autres problèmes, mais le manque général de transparence autour de ce flaperon indique qu’il ne s’agit pas d’une enquête ordinaire sur un avion civil qui s’écrase.
Nous devons examiner le navire si nous voulons découvrir ce qui s’est passé, que nous avons essayé de cacher. De plus, faites attention à ce qu’il y a en soute pendant le transport.
Lorsque j’ai réfléchi à la situation dans laquelle quelque chose devait être introduit clandestinement en Chine, j’ai émis quelques théories. La première était que s’il s’agissait de quelques personnes ou d’un équipement modeste, l’opération aurait nécessité un jet privé.
Revenir à Pékin en 2014 était déjà une épreuve. Sans aucun doute, l’utilisation d’un énorme avion de l’aviation civile indique que la charge utile transportée est soit très énorme, soit très lourde. Deux cargaisons de ce type sont en soute.
La cargaison comprenait 4,5 tonnes de fruits exotiques hors saison et 2,5 tonnes de matériel électrique. équipement avec une documentation insuffisante. Les deux ont été abordés dans mes études.
Cette cargaison a-t-elle l’étoffe d’une opération militaire bâclée ?
Avec toutes les preuves dont nous disposons, c’est l’idée la plus plausible, mais bien sûr, ce ne sont que des spéculations à ce stade.Votre observation des Awacs dans le ciel est remarquable. Sans compter que la zone accueille actuellement un exercice militaire.
Une source du renseignement a indiqué que deux Awacs (appareils radar) américains se trouvaient à proximité. En outre, quelques jours plus tard, un exercice tripartite d’aviation militaire appelé Cope Tiger (États-Unis, Singapour, Thaïlande) devait commencer. L’exercice s’étendrait sur plusieurs jours.
Une telle tâche nécessite une multitude d’individus. Cela implique… Le potentiel de fuite aussi…Ces “petites fuites” et les nombreux indices m’ont permis de construire mon scénario. Ceux qui sont au courant sont soit des citoyens des pays qui ont participé à l’opération, soit leurs dirigeants respectifs.
Les proches ont-ils jamais été informés de la vérité ?
Évidemment, j’aimerais ça. Un pas significatif vers la vérité a été fait, à mon avis, grâce à mon enquête. Pourtant, nous ne connaissons toujours pas les réponses aux dernières questions : étant donné que mon scénario est exact et que la destruction de l’avion n’était pas un accident, quelle cargaison importante cet avion transportait qui justifiait sa destruction avant d’entrer dans l’espace aérien chinois ? De petites informations existent encore pour que de nombreuses personnes puissent remplir ou réparer le tableau.
