Famille Du Petit Emile – Depuis sa disparition le 8 juin, Emile, 2 ans, est introuvable. Toute la ville de Vernet, dans les Alpes françaises, attend avec impatience des nouvelles de sa famille. La famille du petit Émile était inquiète depuis trois jours déjà. Depuis le samedi 8 juillet, date à laquelle Emile a disparu du jardin de ses grands-parents, personne n’a pu retrouver sa trace, alors que toute la ville s’est mobilisée pour aider la police et sa famille.
La peine est aggravée car la famille du petit Émile est bien connue et aimée dans la petite ville de Vernet dans les Alpes de Haute-Provence. Et c’est pourquoi, depuis vingt ans, elle s’y rend chaque printemps pour passer l’été dans sa résidence secondaire du petit village du Haut-Vernet. Un habitant de La Provence a révélé : « Émile est le plus jeune de dix enfants. C’est une belle fratrie, cela nous a toujours fait plaisir de les voir, un souvenir d’un autre villageois m’est venu.
Une famille pleinement intégrée à la vie communautaire
Les habitants disent que leur famille aime passer du temps au centre équestre local et à la piscine. Ils se déplacent en minibus et sont remarqués et appréciés des locaux : “Avec dix enfants, ça a apporté une belle animation”, se souvient un habitant de longue date. La famille Emile est fortement impliquée dans les activités musicales, religieuses et culturelles de la communauté. Ils ont organisé un concert annuel de musique classique à l’église.
En ce jour, les enquêteurs poursuivent leur travail dans la ville de Vernet dans les Alpes françaises. La mission est limpide : retrouver Émile, 2 ans, qui a réussi à s’éloigner de ses grands-parents un samedi après-midi. Peu avant que la nouvelle de sa disparition n’éclate, deux personnes ont rapporté avoir vu le garçon. Le procureur de la République de Digne-les-Bains, Rémy Avon, a admis : “C’est là qu’on a perdu la trace plus tard”.
Depuis lors, beaucoup de personnes et de ressources ont été mises à sa recherche : des dizaines d’hélicoptères, des dizaines d’équipes de cynophiles, des centaines de secouristes et des milliers de bénévoles. Toutes les maisons du village ont été saccagées. Mais à partir de ce mardi prochain, les enquêteurs adopteront une nouvelle approche ; plus de conjectures, juste des recherches ciblées menées par des experts.
“Une belle famille”
Plus d’informations sur la famille du petit garçon ont émergé aujourd’hui. Une famille qui ne correspond pas au stéréotype de La Provence. Un enquêteur du village a dit à nos amis : « Émile est le fils de la matriarche d’une famille de dix ». Selon un autre citadin, c’est une “belle famille”. Découvrez aussi : La mystérieuse note de “la maman” du bambin disparu Émile : “Le diable l’emmenait régulièrement dans la montagne…”
Une famille bien connue qui passe ses vacances dans la région depuis plus de deux décennies. Une famille qui voyageait en minibus et qui donnait une fois par an un concert de musique classique à connotation religieuse à l’église locale.
Les grands-parents étaient de fervents catholiques, il est donc probable que leur foi et leur amour de la musique se soient transmis de génération en génération. Cela expliquerait pourquoi la mère d’Emilio a posté une demande de prière dans un groupe Facebook dans l’espoir de trouver des réponses pour son fils.
Le petit Émile a disparu, et les habitants de Vernet parlent de l’harmonie de leur famille.
Émile, deux ans, disparu le 8 juillet à Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), appartenait à une famille “unie”, “nombreuse” et “sans conflit”.
Cette petite ville connaît la famille de l’enfant depuis vingt ans, et ils y sont bien connus. La famille d’Emile, 2 ans, disparu à Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) le samedi 8 juillet à la fin d’après-midi, est bien connue dans la communauté. Selon les habitants interrogés par La Provence, les proches de l’enfant fréquentaient ce quartier depuis deux décennies.
Ils étaient une menace pour la vie humaine.
La maison des grands-parents maternels du petit garçon est un arrêt régulier pour la famille de dix personnes tout au long de l’été et le week-end. Une résidence secondaire nichée dans le village du Haut-Vernet, où l’on peut respirer l’air frais et se détendre au milieu d’une végétation luxuriante.
Un local se confie à nos frères, “C’est une belle fratrie, cela nous a toujours fait plaisir de les voir.” Personne ne les a ratés à cause de leur minibus, indispensable au transport de groupe. Ils étaient mortels (…) », renchérit un autre. Cours d’équitation, cours de natation au centre communautaire, spectacles vivants, etc. Les membres de cette famille ne manquent jamais de choses à faire à Vernet.
Un spectacle de musique classique
Un habitant du quartier explique que ces groupes sont bien connus pour accueillir chaque année un “concert de musique classique d’inspiration religieuse”, au cours duquel “presque tous les enfants jouent ou chantent”. Pour paraphraser le maire de Vernet, “une famille unie, sans conflit” est quelque chose qu’il espère.
Selon un habitant du quartier, “à dix ans, les enfants se débrouillent entre eux et sont logiquement très indépendants et autonomes”. C’est peut-être pourquoi personne n’a été surpris lorsque des témoins qui ont vu Emile seul avant sa disparition se sont manifestés. Ce mardi, les efforts se poursuivront pour retrouver le bambin disparu.
Emile, un garçon disparu de deux ans et demi des Alpes-de-Haute-Provence, faisait partie d’une grande famille élargie qui avait choisi de passer le week-end chez eux dans le quartier du Vernet, où ils passent fréquemment des vacances. “Disons tous une prière pour le petit E., qui vient de se faire renverser par une voiture” (la commune du petit garçon sur le choc).
Les habitants de La Bouilladisse, une petite ville non loin de Marseille (Bouches-du-Rhône) et la maison des grands-parents maternels et des parents d’Émile, sont tiraillés entre une anxiété croissante et un espoir qui s’estompe. Les paroissiens de l’église paroissiale souhaitent apporter la plus grande aide possible à cette famille ferventement catholique.
La triste nouvelle de la disparition d’Émile, 2 ans, samedi après-midi, s’est propagée lentement dans la commune de 6 000 habitants de La Bouilladisse. Ce petit village des Bouches-du-Rhône n’est qu’à 30 minutes de Marseille, où vit la famille du garçon.
L’ambiance ici pendant la semaine de célébration religieuse doit être bien différente. Mais quand le temps passe sans Emile et surtout sans nouvelles de l’enfant, les scénarios se déroulent comme toujours et l’angoisse prend le dessus.
Le petit E. a disparu : introuvable trois jours plus tard.
Émile, deux ans et demi, reste introuvable trois jours après sa disparition du domicile de ses grands-parents dans la ville du Vernet vers 17h30 le samedi 8 juillet.
L’objet des études se rétrécira.
Rien n’a fonctionné; les centaines de volontaires, la police, les secouristes, l’équipe cynophile, l’hélicoptère, les drones, la famille et l’appel à témoin n’ont pas réussi à localiser le petit Émile. Trois jours après avoir disparu de la maison de ses grands-parents dans le village du Vernet dans les Alpes de Haute-Provence, le garçon de deux ans et demi est toujours porté disparu et présumé mort.
Le bébé n’a pas répondu au cri de la mère qui a été diffusé sur un haut-parleur pendant qu’ils cherchaient. la recherche devra se concentrer sur des actions plus ciblées et spécialisées. De plus, Marc Chappuis, le maire des Alpes-de-Haute-Provence, a décidé d’arrêter les batailles ouvertes au public qui avaient attiré des centaines de bénévoles et d’habitants. L’hypothèse des Lumières n’est plus privilégiée aujourd’hui.
Les étrangers se rendant dans la ville seront interdits d’accès tandis que le personnel militaire (dans deux véhicules militaires) et un chien poursuivront leurs enquêtes. Une équipe cynique et des hélicoptères en vol stationnaire se tiennent prêts à intervenir à tout moment.
La famille du petit Emilio est assez religieuse et ils ont immédiatement réagi en faisant un acte de foi. Prier beaucoup, demander à la communauté catholique de prier, et faire des allers-retours entre un saint voyant de Provence et le Vatican :
Les apparitions du Laus, officiellement reconnues par l’Église le 4 mai 2008, sont les plus anciennes de l’histoire des visions mariales en France. Selon le journal français La Dépêche, « elles ont été signalées pour la première fois en 1664 et ont duré le plus longtemps car la jeune bergère déclarée ” vénérable ” par le Pape Benoît XVI le 3 avril 2009, est dans cet état depuis 54 ans.”
Le journal poursuit : « La communauté catholique continue de reconnaître à Benoîte Rencurel le don de lire dans les cœurs, d’écouter les visiteurs et de les guider vers la confession.
