Eugénie Le Sommer Famille – A Grasse avec ses neuf frères et sœurs, Eugénie Le Sommer s’installe chez eux le 18 mai 1989. Sa jeunesse est marquée par de nombreux déménagements alors qu’elle suit son père qui gravit les échelons de la police. Elle a commencé à pratiquer ce sport peu de temps après avoir manifesté un intérêt précoce pour celui-ci (à l’âge de cinq ans).
Elle commence à jouer en tant que jeune en 1994 pour le club breton de l’AS Plumergat, où elle développe une forte passion pour le sport. L’année suivante, la famille déménage en Dordogne, et la jeune fille intègre l’équipe du Trélissac FC. Au bout de trois ans, elle revient en Bretagne et entame des études à l’AS Guermer dans le Morbihan, où elle restera les six années suivantes. En 2004, le jeune joueur fait ses débuts au FC Lorient.
Eugénie Le Sommer compte passer l’année prochaine à parfaire ses connaissances techniques au Centre national de formation de Clairefontaine. Elle signe son premier contrat professionnel en 2007 après avoir été repérée par le Stade Briochin. Puis, en 2010, son jeu attire l’attention de l’Olympique Lyonnais.
La milieu de terrain terminera sa carrière à l’OL après avoir remporté une profusion de trophées, dont le Championnat de France (neuf fois entre 2011 et 2019), la Coupe de France (sept fois entre 2012 et 2019), et le Championnat de France de la Ligue (six fois entre 2011 et 2019).
Eugénie Le Sommer a remporté trois fois le Championnat de France (en 2010 et 2012, puis en 2017) de la meilleure boucherie de France. Lors de la saison 2017, elle a également été élue meilleure joueuse de France.
Dans le même ordre d’idées, elle a fait ses débuts avec l’équipe de France en 2009. Elle est en Allemagne pour la Coupe du monde féminine 2011, où elle joue pour les Bleus. Le groupe accède désormais aux demi-finales de la compétition, mais il ne soutiendra plus les États-Unis.
La Coupe du monde féminine 2019 se déroulera du 7 juin au 7 juillet et elle a été sélectionnée pour jouer pour la France dans le tournoi. La Coupe du monde féminine 2023 se disputera en Australie et en Nouvelle-Zélande du 20 juillet au 20 août, et Hervé Renard a choisi Eugénie Le Sommer pour représenter la France.
Depuis 2007, elle partage son temps libre avec son compagnon, Florian Dariel. Elle a annoncé la nouvelle fin 2018 sur Instagram. Le mariage doit avoir lieu à Ploemeur, dans le Finistère, le 11 août 2020. Le terme “Été” devrait conserver son sens originel lorsqu’il est transféré de “L’Été” dans le Morbihan.
Le nom de Sommier est plus fréquent dans le Loir-et-Cher. Le mot français médiéval “somier” se traduit par “transporteur de marchandises” ou “conducteur d’animaux sacrificiels”. La variante Sommié (46) est la plus plausible.
Réductions de taille (37, 41) par Sommereau. Les habitants de l’Alsace et ceux de la région française voisine du Doubs portent parfois le surnom d’été. “Summer” est “Sommer” en allemand. Il est possible qu’il s’agisse d’un nom de famille ou d’un nom de baptême médiéval, semblable à “Winter” (hiver), plutôt que le lieu de l’agriculture d’été (estive).
Le 8 août, lorsque la France affrontera le Maroc en finale de la Coupe du monde féminine, elle arborera, comme à son habitude, l’initiale du nom de famille de son mari à côté du sien : “Le Sommer D.” Eugénie Le Sommer, joueuse offensive française, est en couple avec Florian Dariel depuis 2007. Leur amour l’un pour l’autre découle de leur passage au lycée de Rennes. Alors, Eugénie Le Summer choisit de poursuivre ses études au lycée de Bréquigny.
En 2019, Florian Dariel a été mentionné dans la publication française L’Equipe comme disant: “C’est arrivé comme ça une nuit.” Cette personne la plus récente était un ancien membre de l’équipe de football de la région de Saint-Brieuc.
Les choses se réchauffaient entre lui et les dames et il était le principal défenseur de l’équipe. L’attaquante. Lorsque l’une des meilleures équipes européennes, l’Olympique Lyonnais, a remarqué le jeu dominant d’Eugénie Le Sommer en 2010, elle n’a demandé rien de moins qu’un soutien total à l’attaquant Florian Dariel.
Le jeune homme poursuit dès lors davantage de formations en événementiel et oratoire. Il évolue à l’OL et contribue au Championnat d’Europe 2016 à Saint-Etienne. Là, il apprend qu’il peut être éligible à l’adhésion au club rhodien. Il convainc les supérieurs de sa valeur en racontant ses triomphes antérieurs. Il siège actuellement à l’instance dirigeante des événements de l’OL.
Les amoureux du lycée se marient à la fin des années 2020. Kerroc’h, dans le Morbihan breton non loin de Ploemeur, a accueilli la réception de mariage. Un record du plus grand nombre de buts marqués en représentant la France sur la scène internationale est à la portée d’Eugénie Le Sommer.
Jusqu’à présent lors de la Coupe du monde 2019, l’attaquante a marqué deux fois, portant son total pour l’équipe bleue à 76 buts en 162 matchs depuis 2009. Le record actuel est détenu par Marinette Pichon, qui n’a que 5 buts à court.
L’attaquante était l’une des sept Lyonnaises sélectionnées pour jouer pour la France dans l’équipe nationale de Corinne Diacre. Depuis son retour à l’OL en 2010, elle a marqué 257 buts en 291 matchs et remporté 6 titres de champion, 7 titres de coupe et 9 championnats pour l’OL. Elle a également remporté les titres de “Meilleure boucherie du championnat” à trois reprises et de “Meilleure joueuse de D1” à trois reprises.
L’attaquante a émergé dans la ville de Grasse sur la Côte d’Azur, malgré son éducation dans la province bretonne du Morbihan. Si son grand-père avait lu “La Vie”, il aurait suivi les conseils ci-dessous en apprenant que sa petite-fille est née le 18 mai 1989. Fille de policier, l’enfance d’Eugénie Le Sommer a été marquée par de fréquents déménagements. C’est sur la route de Grasse vers le Morbihan et la Dordogne qu’Eugénie a goûté au football pour la première fois.
L’agresseur des Bleues a grandi comme le plus jeune de huit frères et sœurs. Elle se souvient d’avoir joué au foot dans le jardin alors qu’elle n’avait que deux ans (citation : “quand mes sœurs jouaient à la poupée, J’ai harcelé ma mère avec des demandes quotidiennes pour jouer au football.
Mon inscription auprès d’elle vient de se terminer. Ainsi, sa mère a montré des signes de résistance. Une native de Lyon a déclaré: “Elle a joué quand elle était jeune, et elle a souffert des préjugés inhérents et de la représentation négative du football féminin à l’époque.”
Sa mère lui a fortement suggéré d’essayer le judo pour se changer les idées du football. J’ai pratiqué les deux sports de manière significative jusqu’à l’âge de douze ans. Le titre de champion de Bretagne de judo était à moi. Et puis j’ai dû faire un choix”, a-t-elle déclaré à “Paris-Match”.
Même si le foot c’est plus son truc que le judo, Eugénie Le Sommer, élève de sixième, s’inscrit tout de même au programme sport-études de Vannes. Elle a ensuite alterné entre les maillots de l’AS Guermeur et de Lorient. Ils sont tous les deux allés à l’illustre Centre national de formation de Clairefontaine, ce qu’Amandine Henry a également fait. Sa carrière professionnelle débute à l’âge tendre de 18 ans, lorsqu’elle est découverte par le Stade Briochin.
Alors qu’il regardait sa fille jouer pour l’équipe de France aux Jeux olympiques d’été de 2012, Thierry Le Sommer a attiré l’attention du personnel de sécurité. Ils ont vraiment insisté pour que je retire le rideau et que je le range. Des personnes en tenue militaire ont tenté d’empêcher les policiers de le faire sortir du stade, se remémorait-il à l’époque dans « Ouest-France », ajoutant :
Depuis deux ans, la joueuse lyonnaise anime des stages de football pour filles. C’est mon combat à combattre. Parmi ses récents commentaires dans “L’Equipe”, citons : “Je ne veux plus que les petites filles entendent : “Vous n’avez pas le droit de jouer au football”.
Quand j’étais plus jeune, je devais toujours avoir mon ballon avec moi et montrer que je savais jongler plus que tout le monde. Ma seule demande aujourd’hui est que les athlètes féminines du monde entier soient traitées avec dignité. A 30 ans, Eugénie Le Sommer n’a pas l’intention d’abandonner sa carrière. Il a cependant récemment déclaré que “le désir d’avoir un enfant est la raison qui le fera arrêter de jouer au football”.
Même s’il est difficile de réaliser qu’il faut mettre sa carrière entre parenthèses pendant un an, j’en ai envie. Il n’y a eu aucune préparation pour notre entreprise. Et nous ne devrions même pas envisager de fonder une famille avant d’avoir atteint les dernières étapes de nos professions (vers 37 ans).
Dimanche soir au Havre, l’équipe de France emmenée par Corinne Diacre affrontera le Brésil en quarts de finale, et Eugénie Le Sommer sera un rouage essentiel puisqu’elle a été sélectionnée 162 fois et a apporté des contributions essentielles dans les premiers matchs.
Tout a commencé dans le Morbihan, où ses parents et certains de ses huit frères et sœurs sont toujours basés. A quatre ans et demi, un mercredi, Eugénie débute sa formation à Ploemeur, un quartier de Lorient.
Après avoir déménagé dans le Périgord avec sa famille (son père est policier), Eugénie intègre le club de Trélissac et obtient son permis de conduire à l’âge de six ans. Elle ressemble à sa mère, Claudine, et est constamment entourée d’attention masculine pendant qu’elle joue avec les garçons.
Des amis garçons ont été surpris par l’apparition d’une blonde qui savait crocheter, amortir et jongler. Ils la respectaient et la prenaient au sérieux à cause de cela. Les participants se sont dits satisfaits de leurs affectations d’équipe. Ils ne montraient aucun signe d’anxiété et semblaient confiants.
