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Enfants Zouri – Alors que le sujet du meurtre de Lola reste inexpliqué, le sort des “enfants de zouhris” au Maghreb, et les “viscères trésors” de la médecine asiatique sont reflétés dans cet article, qui n’est pas une réfutation mais plutôt le reflet de trois problèmes différents . Ces trois nombres sont conceptuellement liés les uns aux autres.

D’abord, le meurtre de Lola, dont on ne sait rien : rien de la rixe entre gardiens de l’immeuble, rien de l’accueil des parents de Lola à l’Élysée (toutes les familles des victimes se voient refuser l’accueil présidentiel, sauf lorsque le pauvre François Hollande a été introduit dans la chambre d’hôpital du jeune Théo, coquin de son état et véritable cadeau aux forces de l’ordre), et rien d’autre que des spéculations sur l’état définitif de Lola. La jeune femme algérienne qui aurait enlevé Lola a sorti une vidéo qui ressemble à toutes les autres vidéos d’adolescentes qui fantasment sur le pouvoir. Mais parlons d’abord des enfants zouhri.

Étrangement, en France, Georges Fenech, l’homme clé (ou, certains pourraient dire, verrou) de la commission parlementaire chargée d’enquêter sur les grands attentats terroristes en France, fait le lien entre Lola et les enfants zouhri (cliquez sur l’image pour entendre l’audio). Les enfants ayant une apparence et une personnalité distinctes sont appelés « zouhris » au Maroc et en Algérie. Les enfants de tous les tons de peau et de toutes les couleurs des yeux doivent présenter une ligne continue sur la paume de leurs mains.

Les Fkih paient régulièrement entre 1 000 et 400 000 dirhams pour assurer le retour de ces enfants zouhri qui ont été kidnappés.

Les actes horribles commis contre ces malheureux enfants sont détaillés ci-dessous. Le site Web fournit des études de cas de victimes qui ont été sauvées de la torture ou d’autres “rituels” avant et après les abus. Finalement, le sujet du trafic d’organes revient. C’est comme si la tradition occulte la plus rétrograde avait jamais rejoint le commerce le plus impitoyable, immoral et potentiellement lucratif du monde moderne : la vente d’enfants comme organes. nommé

Il sera difficile de vérifier l’aveu du propriétaire de la clinique, surtout s’il y a un certain antisémitisme ou antisémitisme au Maghreb, car on ne peut pas se fier à la parole d’un trabendiste. Mais l’essentiel de l’argument se trouve dans le dernier paragraphe, qui lie la recherche de “trésor” au commerce d’organes humains.

é la peur dans les communautés chrétiennes du pays. Des dizaines d’enfants ont été enlevés par des pratiquants de magie noire entre 1999 et 2003 à Adjelmous, Khénifra. Ainsi, les enquêteurs locaux ont confirmé les faits. Notre troisième sujet, la médecine traditionnelle chinoise, fait le pont entre l’ancien et le nouveau. Et cela n’a rien à voir avec le trafic d’organes et tout à voir avec la terminologie. Ceux qui s’intéressent à ce type de médecine alternative qualifient les organes vitaux des intestins de “trésors viscéraux”.

Il n’est pas rare d’entendre le terme « trésors viscéraux » appliqué aux organes. Ils travaillent toujours à préserver et reconstituer les constituants du corps afin d’assurer non seulement un environnement hospitalier pour la vie physique, mais aussi les bases nécessaires à l’expression de la vie mentale.

L’homéostasie est une notion d’abord proposée par Claude Bernard puis utilisée par Henri Laborit dans sa théorie des niveaux hiérarchiques d’organisation (de l’atomique au cellulaire au tissu à l’organe à l’organisme au social). Pour vous rafraîchir la mémoire, voici une définition tirée directement de l’encyclopédie Universalis :

Claude Bernard a inventé le terme «homéostasie» dans son livre de 1865 Introduction à la médecine expérimentale. Il écrivait : « Tous les mécanismes vivants, aussi divers soient-ils, n’ont qu’un but : préserver l’intégrité des conditions internes nécessaires à la vie. Cependant, le terme « homéostasie » a été inventé par W. B. Cannon à partir de deux mots grecs : stasis (signifiant « état » ou « position ») et homoios (signifiant « égal » ou « semblable à »), et il définit la stabilité des états qui permettent les processus biologiques de la vie, comme le montre la citation suivante de La Sagesse du corps : « Les êtres vivants des ordres supérieurs constituent un système ouvert présentant de nombreuses relations avec l’environnement.

Les modifications de l’environnement externe provoquent des réactions à l’intérieur du système ou ont des effets directs sur le système lui-même, entraînant des perturbations internes. Les ajustements automatiques à l’intérieur du système empêchent les grandes oscillations de se produire et maintiennent les conditions internes relativement stables. […]

Dans des circonstances normales, de telles perturbations sont maintenues dans des limites étroites. Parce que les réactions physiologiques coordonnées qui contrôlent les équilibres dynamiques du corps sont si complexes et uniques aux organismes vivants, le terme «homéostasie» a été proposé comme moyen de s’y référer.

L’« invention » de la cybernétique au siècle prochain fournira une illustration encore plus claire de ce système de maintien de la structure à un niveau supérieur d’organisation. Quand on pense à Lola, on pense à un quatrième sujet : la jeune Italienne qui a été enlevée, torturée et démembrée par quatre Nigériens. A la relecture de cet essai (grâce à une demande de réimpression), d’étranges coïncidences émergent avec la crise actuelle en France.

Dans cet essai, nous proposons d’interroger les liens entre pédagogie et didactique au prisme des transformations induites par la modernité éducative. Nous soulevons le sujet de savoir où les pédagogies modernes et les pédagogies disciplinaires trouvent leurs principes directeurs de nos jours. À l’aide d’une méthodologie interprétative, nous testons l’hypothèse suivante : si tant la pédagogie que la didactique participent à une rationalisation de l’éducation intrinsèque à la modernité, les deux champs sont dominés par des courants différents de la rationalité de la modernité : le praxéologique dans la pédagogie et le cognitif dans la didactique. Cela explique pourquoi ils ont des regards différents sur le sens des pratiques pédagogiques.

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Le débat sur l’articulation entre didactique et éducation a suscité des débats houleux qui ont mis en évidence le gouffre apparent entre les deux disciplines. Aujourd’hui, de nombreux domaines académiques se concentrent sur l’éducation et la formation; certains de ces domaines sont perçus comme porteurs de solutions à la crise du sens académique. Le statut de la pédagogie traditionnelle est aujourd’hui remis en question dans son aspiration historique à repenser les pratiques pédagogiques et à les légitimer, ce qui en fait l’un des aspects les plus incertains d’un domaine qui se diversifie rapidement en raison de la diversité des savoirs qui le définit.

C’est comme si l’éducation était devenue “l’homme malade”, une puissance impériale dont l’âge a éveillé la convoitise coloniale des superpuissances du monde moderne et postmoderne. Et pourtant, rien n’est moins sûr que cette représentation simpliste qui prétend abandonner les approches scientifiques ou purement techniques de l’enseignement et de la formation au profit de pédagogies plus traditionnelles et du pragmatisme qui les caractérise. Il est vrai qu’il y a beaucoup plus de nuances dans le lien que la pédagogie établit avec des domaines comme les sciences de l’éducation et la pédagogie disciplinaire, qui se concentrent sur l’étude scientifique des méthodes d’enseignement efficaces.

Il nous a donc semblé intéressant d’analyser le lien entre pédagogie et didactique du point de vue des métamorphoses et des avatars de la modernité éducative. Notre objectif est de montrer comment la pensée contemporaine fonde à la fois la pédagogie comme intelligence praxéologique de l’action éducative et le didactisme comme étude de l’enseignabilité des savoirs académiques et des modalités de leur appropriation en classe.

Si l’on suppose que le développement de la pédagogie moderne et l’émergence de la pédagogie disciplinaire sont les deux produits d’un même processus – la rationalisation des visions du monde -, alors en quoi ces deux approches diffèrent-elles dans la manière dont elles cherchent à standardiser les pratiques éducatives ? Le conflit entre rationalité cognitive/instrumentale et rationalité pratique ne se reflète-t-il pas dans la différence entre didactique et pédagogie, du moins dans le monde francophone ?

C’est le genre d’enquêtes auxquelles nous espérons qu’une méthodologie interprétative pourra contribuer en fournissant des éléments d’analyse et de réflexion. Tout d’abord, nous examinerons l’enseignement et l’apprentissage à travers le prisme d’aujourd’hui. Ce faisant, nous examinerons la rationalisation moderne de l’éducation, au sein de laquelle les pédagogies et didactiques modernes se sont épanouies.

Pour cela, nous proposons l’hypothèse suivante : si la pédagogie et la didactique modernes s’inscrivent toutes deux dans une rationalisation de l’éducation intrinsèque à la modernité, chaque approche révèle une facette différente de la rationalité : rationalité praxéologique en pédagogie et rationalité cognitive en didactique. Cela nous amènera à questionner les postulats sous-jacents de ces deux approches de la question du sens.

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