Emile Piste Politique – Il semble qu’une piste, celle d’un accident impliquant un véhicule à moteur, se dégage des autres. Lundi soir, l’ancien directeur de l’IRCGN et chef de la cellule judiciaire de la gendarmerie François Daouest a avancé une théorie.
Il a laissé entendre sur BFMTV qu’il pourrait s’agir d’un “accident que l’on essaie de rattraper”. Cette théorie est étayée par les déclarations du maire de Vernet, François Balique, qui qualifie lui-même la zone “d’accidentogène”. Mardi dernier vers midi, il y avait des auditions.
Le procureur de la République Rémi Avon a déclaré : « Au niveau de l’information judiciaire, les opérations de ratissage du hameau, passées au peigne fin, ont commencé, afin de tenter de récupérer la moindre trace (de l’enfant) ou indice, nous sommes à l’heure à l’heure.” Cependant, il a souligné qu’aucune preuve n’avait encore été trouvée qui pourrait qualifier le crime d’homicide ou d’enlèvement.
Car, comme le précise Rémy Avon, « les critères de recours à cette procédure ne sont pas remplis pour déclencher l’alerte », celle-ci n’a pas été déclenchée. Mais il précise que “aucune théorie n’est favorisée ni écartée”, ce qui signifie qu’elles sont toutes toujours pertinentes. Nous nous engageons à mener des recherches approfondies sur tous les fronts.
Malgré le fait que ces chiens soient experts dans les opérations de recherche et de sauvetage, aucune piste solide n’a été découverte dans les environs du hameau du Haut-Vernet. Un revers qui laisse place à des explications alternatives.
Une mystérieuse disparition, des questions, et presque pas de réponses. Le petit Émile, deux ans et demi, est porté disparu depuis qu’il a disparu samedi soir en haut du hameau du Haut-Vernet dans les Alpes-de-Haute-Provence ; les efforts de recherche devraient s’intensifier cette semaine.
Cette décision a été prise parce que les enquêteurs, même en utilisant des chiens de race Saint-Hubert, n’ont trouvé aucune preuve physique de l’existence du garçon dans le périmètre prédéterminé. Chiens dressés.
Stéphane Renaud, dresseur de chiens et invité de l’émission du mardi soir sur BFMTV, est atterré par l’insuccès des cynophiles. Il dit qu’il est surprenant que les chiens n’aient pas pu retrouver les empreintes de pas de l’enfant dans une si petite zone.
Pour paraphraser : “Là, on parle de Saint-Hubert avec des ivrognes et des chiens dressés et choisis d’avance ; ce n’est pas n’importe quel Saint-Hubert qui rentre dans la police ; ils vont les affûter. Depuis 2003, la police nationale utilise ce type de chien, qui possède 300 millions de cellules olfactives et 20% de capacités supplémentaires par rapport aux autres races de chiens.
Les opérations de recherche suivent toujours le même plan de base : montrez au chien quelque chose qui sent comme la personne disparue – pour un enfant, cela peut être une couverture ou un animal en peluche préféré, ou même juste un vêtement – puis amenez le chien sur place.
“Vie ou mort”
Et l’expert peut passer au crible toutes les possibilités. Si Émile avait sauté dans une fosse, « le chien serait arrivé au bord de la fosse », dit-il. Topo même s’il était mort au moment des recherches. La théorie finale, donc, est que le corps de la personne disparue a été déplacé. Un appareil mobile, comme un quad, un vélo, une voiture ou une moto, aurait pu le déplacer, compliquant la situation.
Samedi 8 juillet, un enfant de deux ans a disparu au Vernet (Alpes-de-Haute-Provence). Même si la police n’a aucune piste solide, elle enquête sur les antécédents familiaux et politiques des parents du garçon. Colomban S., jeune ingénieur d’une trentaine d’années, a brusquement quitté son domicile de la commune de la Bouilladisse (Bouches-du-Rhône) dans la soirée du samedi 8 juillet 2023.
Le patriarche de la famille vient d’apprendre que son enfant de 2 ans a disparu. Le petit Emile et sa maman étaient partis tôt ce matin-là pour se rendre au Vernet, où Emile passerait les prochains jours avec ses grands-parents maternels dans leur résidence secondaire. Une petite ville (130,0 habitants) nichée dans les montagnes de Provence.
Où en sont les recherches et l’enquête sur la disparition d’Emile ?
Ce garçon demi-adulte a disparu le 8 juillet de la commune de Vernet dans les Alpes de Haute-Provence. Après de longues investigations, nous sommes arrivés à une impasse. Émile, deux ans et demi, n’a montré aucun signe de vie depuis plus de quatre jours.
Le samedi 8 juillet, vers 17h15, le petit garçon a été vu pour la dernière fois au hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence). Et il n’en reste aucune trace depuis. Sa disparition a suscité une réponse massive des secouristes et des citoyens ordinaires, ainsi qu’une enquête judiciaire qui n’a jusqu’à présent donné aucun résultat.
Qu’est-il arrivé à Émile, et pourquoi a-t-il disparu ?
Pendant ses vacances, Émile rend visite à ses grands-parents au Haut-Vernet, un hameau du Vernet, une commune nichée dans la montagne des Trois-Évéchés à une trentaine de kilomètres au nord de Digne-les-Bains.
À environ deux kilomètres de la ville se trouvent ces 25 personnes qui habitent cet endroit. Depuis, une angoisse généralisée s’est emparée de toute la nation. Cependant, les enquêteurs ont donné la priorité à une certaine piste d’enquête à partir d’aujourd’hui, le 11 juillet.
Depuis les événements du samedi 8 juillet, l’inquiétude générale entoure le dernier fait divers majeur : la disparition d’Emile, deux ans, du domicile de ses grands-parents dans le village de Vernet (Alpes-de-Haute-Provence).
Selon des informations de La Provence, les enquêteurs ont déjà privilégié une piste d’enquête, malgré le fait que la mère de l’enfant a diffusé à plusieurs reprises un appel au secours sincère sous la forme d’un message verbal délivré par haut-parleur. C’est ce que révèle notre fraternité en ce onzième jour de juillet. Ils affirment que le garçon de deux ans et demi est mort dans un accident de voiture ou de tracteur alors que la recherche d’Emile tire à sa fin.
La course contre la montre est toujours en cours, et elle a pris une tournure surprenante ce matin. Depuis 8 heures ce matin, toute la ville de Vernet a été bouclée alors que les efforts de recherche du bambin disparu Emile, vu pour la dernière fois samedi soir, se poursuivent. Le maire des Alpes-de-Haute-Provence, Marc Chappuis, l’a annoncé lundi en conférence de presse : seuls les habitants du village sont autorisés à y entrer ou à en sortir pour.
Plusieurs dizaines de policiers ont été appelés pour enquêter sur la disparition inquiétante, qui s’est maintenant propagée à travers le pays. Alors que les sapeurs et les secouristes ont quitté les lieux, ils sont “à la recherche de traces et d’indices”. Il s’avère que les autorités s’appuient fortement sur les informations glanées dans les relevés téléphoniques des citoyens pour maintenir l’ordre.
Une nouvelle voie privilégiée
Bien que beaucoup se demandent où se trouve Emile et comment il gère la déshydratation, pour le moment, La Provence rapporte que les enquêteurs se concentrent sur la possibilité qu’il ait été impliqué dans un accident impliquant un véhicule motorisé comme une voiture ou un tracteur. Depuis lundi soir 10 juillet, des habitants sont auditionnés dans le cadre de cette enquête qui nécessite le déploiement de plusieurs moyens.
Après deux jours de martèlement incessant, les recherches du petit Emile ont été annulées mardi matin faute d’indices. En conséquence, de nombreux bénévoles finissent par se sentir très responsables de ce qui n’a pas fonctionné. Par conséquent, les études sont maintenant centrées sur d’autres facteurs.
Le procureur de la République de Digne-les-Bains, Rémy Avon, a de nouveau signalé aujourd’hui qu’il n’y avait “aucune trace absolue”, après que deux témoins ont vu l’enfant seul dans la rue samedi près du domicile familial.
Cela fait plus de soixante heures qu’Emile a disparu, et le gamin ne sort toujours pas de sa chambre. Lundi 10 juillet au soir, Marc Chappuis, préfet des Alpes-de-Haute-Provence, a annoncé en conférence de presse que le dispositif régional de conduite des recherches sera modifié à partir du lendemain afin d’être “plus ciblé”.
Nous sommes toujours là-bas avec vous. Par conséquent, la fin des bombardements ne signifie pas la fin totale de la recherche, mais plutôt un changement de stratégie. Le pilote des forces aériennes de la gendarmerie nationale, Mark Evans, a promis aux téléspectateurs de BFMTV que la recherche d’Emile se poursuivrait indéfiniment.
Aucune arrestation visible n’a encore été effectuée dans le cadre de cette affaire.
Les opérations qui reposaient auparavant sur des bénévoles emploieront désormais des équipes spécialisées pour effectuer des recherches plus ciblées. La gendarmerie a précisé que 80 officiers des brigades départementales ou du peloton de haute montagne, ainsi qu’une dizaine de militaires formés au débroussaillage, seront déployés mardi aux côtés de plusieurs équipes cynophiles et d’un hélicoptère d’appui.