Emile Disparu Vernet Retrouvé Aujourd’hui Dans Un Puits – Deux témoins disent l’avoir aperçu descendre la pente du village en fin d’après-midi, seul. Ses parents n’étaient pas là au moment de sa disparition. Cependant, outre les grands-parents, plusieurs enfants des petits-enfants, tous mineurs, étaient également présents.
En fait, la mère d’Émile est l’aînée d’une nombreuse couvée de dix enfants. La famille du petit garçon a la réputation d’être très religieuse et sainte puisqu’elle a gardé le silence lors de deux entretiens avec Famille Chrétienne.
La police admet qu’elle est confrontée à un mystère particulièrement déroutant sans aucune preuve tangible de la disparition de l’enfant, elle n’écarte donc pas encore toute piste potentielle. Cependant, à mesure que le temps passe, ils envisagent sérieusement la possibilité d’une intervention tierce. De nombreuses recherches ont été menées dans les kilomètres entourant le lieu de la disparition depuis que la grand-mère d’Émile a donné l’alerte, mais aucun corps n’a été retrouvé.
Une méthodologie d’enquête de clôture
La police judiciaire de Marseille s’est engagée dans une stratégie de colimaçon visant à identifier tous les suspects possibles, de l’entourage proche du petit garçon aux touristes de passage, en passant par ses amis. Ils ont demandé des listes d’invités aux hôtels, campings et hébergeurs temporaires de plusieurs communes jusqu’à vingt kilomètres du Vernet au mois de septembre.
Alors que cette vaste série de contrôles se poursuit depuis des semaines, de manière continue et de plus en plus étendue, de nombreuses autres hypothèses sont encore en cours d’examen et d’affinement. Les enquêteurs ont le devoir de déterminer si la famille Emile, et notamment la branche maternelle, a jamais été en désaccord avec ceux qui sont encore animés par de la mauvaise volonté.
Même plus de deux ans et demi après la disparition d’Emile, de nombreuses taches sombres subsistent. Il n’y a pas de gouffres dans cette zone. Le maire de Vernet a déclaré le 21 à Southinfo qu'”Émile ne s’est pas évaporé, ce n’est pas possible”.
Depuis le 8 juillet dernier, aucun signe de vie du petit Émile. Ce jour-là, le garçon de deux ans et demi qui venait d’arriver chez ses grands-parents au hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) a disparu. Lundi 21 août, le maire de la commune s’est entretenu avec nos confrères belges de Sudinfo de cette “histoire”, qui “marque par son aspect mystifiant”.
Il n’y a pas de gouffres dans cette zone. Le maire de Vernet, François Balique, insiste : “Émile ne s’est pas évaporé, ce n’est pas possible”. Je suis convaincu qu’il n’est plus là sous aucune forme, mort ou vivant. J’ai participé à chaque enquête et à chaque bataille.
Je comprends que cela offense beaucoup de francophones. Mais il ajoute : “En attendant, nous essayons de continuer notre vie”, même si la disparition a profondément marqué les esprits. la communauté.
Emile, un jeune garçon de deux ans et demi, est porté disparu de son domicile du hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) depuis un mois et demi. François Balique, maire de Vernet, estime que l’enfant a été “déplacé par un adulte”.
Le petit Emile a disparu du Haut-Vernet dans les Alpes de Haute-Provence depuis plus d’un mois et demi. Les grands-parents avaient laissé leur petit-fils, alors âgé de deux ans et demi, s’éloigner d’eux. Depuis le 8 juillet, la petite commune du Vernet vit un véritable cauchemar. François Balique, bourgmestre de la commune, a accepté de donner une interview au média belge Sudinfo, lundi 21 août.
Près de deux mois et demi se sont écoulés depuis la disparition du jeune garçon, et pourtant le maire de la commune continue de conserver une confiance sans faille. Il est indéniable que le ton mystérieux de ce conte le distingue. Nos amis belges font ce qu’ils peuvent, comme le dit François Balique.
“Non, mon village n’est pas maudit”
Le maire s’efforce vaillamment de dissiper la rumeur selon laquelle sa ville est en proie à des bandits. Le maire de 73 ans, qui est également avocat, a, comme tout le monde, une théorie sur ce qui s’est passé le 8 juillet dans sa communauté.
Il n’y a pas de gouffres dans cette zone. Il est hors de question qu’Émile se soit évaporé. Qu’il soit mort ou vivant, je suis convaincu qu’il n’est plus à cet endroit. J’ai participé à chaque enquête et à chaque bataille. ce qui expliquerait leur incapacité à le retrouver.
“Nous essayons de continuer à vivre”
Le maire explique l’attention médiatique portée à l’affaire en disant : “Je comprends que cela émeuve beaucoup de Français. (…) les gens disent que cela pourrait aussi leur arriver.” Il poursuit, “les médias sont prêts à profiter des audiences et des auditats.
Les gens ont dit que la famille ne semblait pas typique. Ils ont évoqué l’engagement politique inhabituel du père. Ils ont dit : « Quand j’ai fermé la place de la ville, c’était pour garder le secret. » Selon lui, de nombreuses questions restées sans réponse surgissent en raison du mystère qui entoure encore cette affaire. François Balique explique qu’en attendant, lui et sa famille font de leur mieux pour continuer à vivre tout en réitérant leur confiance dans les enquêteurs chargés du dossier.
Disparition du petit E. : le domicile des Vernet est perquisitionné
INFOS LE PARISIEN. Mardi, la police a mené une enquête sur la disparition d’un enfant d’une communauté voisine. Des témoins l’ont décrit comme ayant une apparence suspecte. Les recherches ont finalement été terminées en début de soirée et d’autres opérations sont prévues au cours de la semaine à venir.
L’enquête sur la mystérieuse disparition du petit Émile, deux ans et demi, survenue le 8 juillet au hameau du Haut-Vernet sur la commune du Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), reprend de l’ampleur après une période de relative inquiétude. apathie.
Nos sources nous apprennent que mardi, la cellule de recherche et de sauvetage de la police judiciaire de Marseille a perquisitionné une propriété à Vernet, à l’extérieur du village et à environ 4 kilomètres plein sud du hameau du Haut-Vernet, où la famille maternelle d’Emile possède une habitation.
La famille d’agriculteurs dont le domicile a été saisi mardi possède également des terres dans les environs du Haut-Vernet. C’était début juillet lorsqu’Emile a disparu, ce qui signifiait que les machines agricoles comme les tracteurs et les moissonneuses étaient occupées. La théorie sous-jacente est que la disparition a été simulée pour ressembler à un accident.
Un membre de la famille en question a des démêlés avec la justice pour des délits mineurs. De plus, il a été soupçonné pour la première fois dans le cadre de l’enquête, notamment en raison de ses habitudes de conduite erratiques au volant de son tracteur, qui ont alarmé de nombreux habitants de Vernet.
Selon une personne proche du dossier, ce jeune homme finira par faire la une des journaux pour le simple fait qu’il ne correspond pas aux normes locales. Cependant, aucune mesure de contrôle ou de surveillance n’a encore été mise en œuvre.
Contacté, le procureur de la République d’Aix-en-Provence, Jean-Luc Blachon, a confirmé l’opération du jour, évoquant “un approfondissement des investigations en cours ou terminées”. Les recherches d’Emile, qui comprenaient l’utilisation de chiens de recherche et de drones, se sont terminées tôt mardi soir sans aucun signe de sa localisation. Toutefois, les opérations judiciaires en cours se poursuivront tout au long de la semaine.
La dernière opération connue a eu lieu début septembre, lorsque des gendarmes ont contrôlé une dalle d’une résidence secondaire d’un homme dans le Haut-Vernet. Une enquête ouverte après qu’une tache suspecte sous la surface de la terrasse ait été repérée par un géoradar au cours de l’été. Après une enquête plus approfondie, il a été déterminé qu’il n’y avait rien d’autre à cacher qu’une fine couche de placo.
Un mystère insoluble
Accident, vol ou meurtre ? Depuis l’ouverture d’une information judiciaire par le parquet d’Aix-en-Provence pour “enlèvement et séquestration”, la disparition du petit Émile a évolué vers une vaste enquête pénale.
Le garçon a mystérieusement disparu sans laisser de trace alors qu’il jouait dans la cour de la résidence secondaire de ses grands-parents, dans le village de la Bouilladisse (Bouches-du-Rhône).