Djilali Bedrani Origine – Toulouse. Djilali Bedrani, la pudeur d’un athlète, l’esprit d’un ancien militaire de première classe de Muret. Un étalon fidèle. Djilali Bedrani (1,79 m), licencié de la SA Toulouse UC, progresse cette année à grands pas dans sa carrière sportive.
Ce spécialiste de la partie peu profonde de la piscine a décidé de se concentrer uniquement sur le cross. Il est actuellement licencié à la Section Athlétisme Toulouse Université Club (SATUC) et a été soldat de première classe au 3e Régiment du Matériel à Muret.
Cela fait trois ans que je me suis enrôlé dans l’Armée (j’ai rejoint en 2016). Au départ, j’avais prévu du temps pour me former, mais maintenant que je suis assez autonome, je peux travailler en transversalité dans des conditions optimales, me garantissant des projets futurs.
Huit ans de Football
Huit ans après avoir joué au football, il trouve la joie de l’athlétisme et de l’endurance lors de la compétition de cross-country de son université. Tombé à la huitième place, il décide de troquer ses crampons contre une paire de running et de rejoindre un club d’athlétisme.
Mon professeur d’éducation physique m’a proposé d’intégrer un club d’athlétisme, et j’ai finalement été choisi pour concourir en équipe de France junior à l’âge de 14 ans.
Au fur et à mesure de sa progression, Djilali trouve sa place dans le 3000 mètres steeple, épreuve dans laquelle il excelle selon les classements nationaux et le Championnat de France.
Un régime d’entraînement quotidien rigoureux
Athlète de haut niveau spécialisé dans le cross, l’athlétisme et le gymnase, s’entraîne deux fois par jour au stade Daniel-Fauchet du Ramier et le long des berges du Canal du Midi. La piste d’athlétisme de Daniel-Fauchet commence à vieillir. Alors je vais m’entraîner au Ramier, un bon complexe qui est le long du canal et dans la ville.
Je fais le maximum d’efforts pour m’entraîner avec les ressources à ma disposition… En plus, il ne faut pas négliger le temps de récupération après une séance d’entraînement physique quotidienne : hydratation adéquate, massage, cryothérapie, sommeil et relaxation sont fondamental pour atteindre des performances optimales.
C’est éprouvant pour mon esprit et mon corps, mais cela fait partie de l’appel. C’est comme l’école de la vie en ce sens qu’elle vous apprend qui vous êtes et où vous en êtes. Ce qui a fait de moi ce que je suis aujourd’hui, c’est de suivre mon cœur.Après avoir participé à des courses dans le monde entier (Hong Kong, Écosse, Pays-Bas, Italie, Estonie, Serbie), le jeune coureur a utilisé la SATUC pour financer deux étapes “très formatrices” ( un au Kenya et un autre en Afrique du Sud).
Djilali a passé un mois au Kenya, où il a parcouru 170 kilomètres au cours de la seule première semaine, à une altitude de près de 1 400 mètres. Après ces deux semaines dans les Alpes, le jeune Toulousain a passé trois semaines en Afrique australe, où il s’est livré à une préparation physique tout aussi ardue à 1 300 mètres d’altitude.
Prêt pour la scène mondiale
L’athlète vient de se qualifier pour les championnats du monde à Doha après une impressionnante carrière hivernale. Que visera-t-il ensuite ? Tokyo accueillera les Jeux Olympiques en 2020.
Le 2 mars 2019, il s’est classé quatrième au championnat d’Europe du 3000 mètres. Cela n’a fait qu’accroître son désir de le voler un jour. J’ai fait de mon mieux, mais il y en avait trois autres qui étaient considérablement plus puissants. J’espère faire mes débuts sur le podium international la prochaine fois.
Les JO de Tokyo et de Paris sont dans le collimateur.
L’homme de 24 ans, “très fier d’être Toulousain”, a pour objectif à plus long terme de disputer les Championnats d’Europe d’athlétisme à Paris en 2020 et les Jeux olympiques juniors à Paris en 2024. L’objectif à long terme de ma carrière est de concourir aux JO 2024 à Paris. Je sais que je dois tirer le meilleur résultat possible de mes efforts, mais j’ai confiance en eux.
Djilali Bedrani est ambassadeur de la prochaine corrida pédestre du 5 juillet 2019 à Toulouse et de “l’école de la vie” en collaboration avec son parrain, le Crédit Agricole. Rendez-vous sous un cyprès ! Une grande poussette d’enfant fixée au mur d’un petit jardin. Un bungalow de banlieue sur une rue calme entre le parc Ramée et un héliport CapGemini. Airbus A380 volant en formation au-dessus de Toulouse, France, entre deux manœuvres, avec leurs moteurs rugissants et leurs ailes battant bruyamment.
Les parents attendaient notre arrivée, le père en cachette et la mère dans la peur. Tenant déjà un grand plateau, avec des verres d’eau froide et un sourire accueillant sur votre visage. Une douce chaleur émane du dessous de ce cerisier de fruits presque mûrs, prêts à être encroutés mais encore légèrement acidulés.
Djilali Bedrani a autant peur que tout le monde. C’est la première fois qu’un jeune homme est reçu chez lui sous un cerisier. Apprendre à raconter des histoires est la face cachée du métier. Y a-t-il un examen de réussite ? Des parents éloignés écoutent les premières questions et paroles de leurs enfants. Puis ils parviennent à s’enfuir.
Djilali est originaire du quartier Nougaro dans les Minimes. Djilali est trop jeune pour apprécier les paroles “parfois, au fond de moi se ranime l’eau verte du canal du midi et la brique rouge des Minimes” de Nougaro. Djilali n’a pas de léger accent toulousain, voire pas du tout. Il n’a pas d’accent castillan prononcé. Ici tu cognes, tu gagnes, chantait Nougaro. Ça n’a rien à voir avec Djilali. Il a répété, « ici, je suis discret », deux fois. Il n’est ni ennuyeux ni prétentieux en aucune façon.
Même si Mahiedine Mekhissi vient de prendre le “gamin” sous son aile lors d’une étape à Albuquerque, il n’est l’héritier de personne. Il se redresse sur son divan blanc et dit : « Mahiedine, je t’ai vu le rencontrer ; il me donne des conseils sur quelques détails.
Le visage public de la profession vu à Montbéliard quelques jours plus tard, dans une version des paroles et des actes qui s’y confirment. Mahiedine Mekhissi dans le feu sacré et l’euphorie du minimum olympique, Djilali dans la lumière tamisée du minimum européen. Jusqu’à ce long parcours de convalescence, le grand frère et son petit frère étaient inséparables : seuls dans la nuit chaude, tournant au trot autour de l’anneau comme des frères dévoués.
Donc, nous avons essentiellement fait marche arrière avec Djilali. C’est un bon début, même s’il ne couvre pas tout. plutôt concentré sur le sport.” — “J’ai pensé rentrer chez Airbus, j’avais des étapes en chaîne d’assemblage de l’A 380, mais il n’y avait pas de statut pour moi, alors je me suis plutôt concentré sur le sport.” Puis il griffonne ensemble deux ans d’AES, mais la Fac et l’amphithéâtre ne sont pas sa scène.
Son monde tourne toujours. Au milieu de ce long tunnel, on trouve parfois l’inconnu, l’inattendu et l’absolu. Il se souvient encore de sa toute première traversée de la Ramée. Aussi, Brahim, le frère. C’est sa faute s’il s’est mêlé à nous. Il est toujours couché face contre terre, sous la citerne.
Il vient de terminer sa maîtrise en droit. Essayez les freins, il n’a pas encore pris sa décision. Il est actuellement candidat à l’admission en Master 2, Droit des affaires. Brahim explique : “Quand il a fini la CM2 à Muret, il n’avait pas de chaussures, alors il faisait du jogging dans sa Converse.”
Les bras croisés, elle se place devant la porte et dit : “Ca arrange les parents car les enfants ne sortent pas.” Djilali dit : “Oui, j’ai des courtiers en puissance, mais nous nous voyons rarement.” Des moments légendaires de l’histoire du sport.
C’est agréable de pouvoir courir vite. Si Nougaro veut chanter “boxe, boxe”, il le peut. Djilali répète « Cour, cour » et les deux phrases sont utilisées ensemble. Djilali a remporté trois titres français de cross-country en 2011, a remporté les championnats du monde à Punta Umbria et a été sélectionné pour participer aux championnats du monde à Paray le Monial.
Djilali Bedrani Origine : Toulouse
Puis cette même année, il confirme à Dreux que briser les barrières est ce qui a finalement brisé sa foulée, lui valant le premier titre du 3000 mètres steeple. Même maintenant, en plein hiver, au milieu de la fumée de l’usine de Velenje, en Slovénie, il occupe une place d’honneur dans l’équipe de France junior de cross-country qui a remporté le bronze aux Championnats d’Europe.
Après des débuts à Athlé 632, Djilali Bedrani, 25 ans, est désormais titulaire d’une licence d’enseignement au Satuc. Sébastien Gamel, natif de Saint-Juéry, est son entraîneur depuis trois ans. Les capacités de ce jeune homme se sont rapidement révélées puisqu’il a aidé l’équipe de France junior à remporter une médaille d’or aux Championnats d’Europe. L’année dernière, il a choqué tout le monde en devenant le champion du monde militaire de cross-court à Hong Kong. Le deuxième mars, avec la médaille d’argent, il entraîne l’équipe de France dans son sillage.
Il a remporté le titre à Hong Kong le jour du défi Jean-Vidal (5 novembre 2017), lui donnant une excuse valable pour manquer son rendez-vous avec le sixième succès qu’il espérait. Cependant, ce n’était qu’un revers temporaire; il est difficile de prédire qui émergerait pour défier le règne de Lescure. Je suis conscient de son statut de grand champion mais, à vrai dire, ma connaissance de lui est limitée. Il est important de noter que Djilali n’avait qu’un an lors de la dernière victoire d’Alex Gonzalez, en 1994.
