Disparition Émile Vernet – Désormais, nos amis de Paris Match dressent le portrait de cette famille française vivant dans le sud. Les membres fidèles de cette famille n’ont cessé de prier pour le retour sain et sauf de leur fils disparu. A tel point que le papy d’Emile dira quelque chose de profond lors de l’enquête : “Je ne comprends pas comment des non-croyants ont pu supporter tout ça.”
Cependant, le passé de certains membres de la famille, comme Colomban, le père d’Emile, ingénieur de profession, refait surface dans le récit hebdomadaire. Ancien membre d’Action France des Yvelines qui a passé un temps comme militant au sein de la petite antenne marseillaise de l’organisation d’extrême droite dissoute Bastion Social en 2019 : “
Il a été mis en examen à Aix-en-Provence, en France, pour “soupçon d’agression sur étranger”, selon le procès-verbal de 2018 du tribunal correctionnel. Il était “détendue” car “il n’y avait pas de raisons solides de croire le contraire”.
Analyser la famille d’Emile
Ces actions seraient des “erreurs de jeunesse” pour un ami proche. Certains témoins oculaires ont décrit Papy comme “colérique” et violent, disant qu’il “n’hésiterait pas à donner parfois des fessées à ses enfants et aurait reproché à Colomban de ne pas être assez sévère avec Émile”. Les enquêteurs examinent chaque membre de cette famille. Ce qui s’est réellement passé ce jour-là reste inconnu.
Cela fait environ une semaine et toujours rien ne s’est passé. Émile, deux ans et demi, a disparu du Vernet dans les Alpes-de-Haute-Provence le 8 juillet. Il passait l’été avec ses grands-parents et d’autres proches. Vers 17h15 ce jour-là, plusieurs personnes affirment avoir vu un jeune enfant se promener seul dans une rue du hameau du Haut-Vernet, sur les pentes de la montagne des Trois Évêchés. L’adolescent aux cheveux blonds a disparu sans laisser de trace.
De nombreuses enquêtes sur le terrain utilisant des ressources importantes n’ont donné aucun résultat. Actuellement, l’affaire fait l’objet d’une enquête par une équipe de plus de trente policiers. L’armée est particulièrement intéressée par l’utilisation de conversations précédemment enregistrées, d’enregistrements téléphoniques et d’infractions au code de la route comme sources de renseignements.
Villageois et estivants de la ville voisine de July tentent de retrouver leur “vie d’avant” malgré le drame et les nombreuses questions qui leur sont posées. Il y a moins de journalistes qui couvrent l’actualité et donc moins de pression sur le grand public.
Personne n’aborde les gens dans la rue pour les interroger, comme cela a pu se produire depuis plusieurs jours. La vie normale a repris et nous attendons avec confiance les conclusions de l’enquête judiciaire. Ce qui s’est passé ici est quelque chose que nous devons savoir tout de suite. Et nous voulons en savoir plus que quiconque”, a déclaré vendredi le maire de Vernet, François Balique, à TF1info.
“On ne peut pas s’interdire de vivre.”
L’édile avait pris un arrêté interdisant l’accès à une partie du hameau dès le début de cette affaire afin d’empêcher le tourisme malveillant qui pourrait autrement s’y produire. Celle-ci a été prolongée lundi jusqu’à au moins fin juillet afin que personne ne jette un coup d’œil par-dessus la clôture de la maison familiale où le petit Emile passait l’été, qui est située dans le Haut-Vernet et abrite 25 personnes. inutile de visiter le Haut-Vernet à moins de vouloir rencontrer les gens qui y habitent.
“Un véhicule qui passe trop vite”, “le corps déplacé” et la disparition d’Emile, 2 ans et demi… Alors que le garçon reste inabordable, la théorie du maire de Vernet Le petit Emile, 2 ans et demi, est porté disparu à Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) depuis environ deux semaines.
Alors que les forces de l’ordre ont maintenu un contrôle strict sur la communauté, des enquêtes préliminaires sur la “recherche des causes de disparition inquiétante” ont commencé le 17 juillet, avec une enquête complète devant commencer le lendemain.
Or, selon une longue enquête publiée par Paris Match ce jeudi 20 juillet, “chacun se forge une condamnation” dans la disparition d’Emile dans la commune du Vernet. Et François Balique, maire de la commune, a été évoqué par le journaliste qui s’est le plus rapproché des habitants.
Le maire actuel de la ville pense que la théorie de l’accident est l’explication la plus probable. Cette voiture se déplace un peu trop vite, c’est un euphémisme. Ainsi, la référence de Paris Match à “un chef d’orchestre qui, plutôt que de réagir normalement, déraille[s]” évoque l’homme chargé de coordonner les premières batailles après la disparition d’Emile la veille au soir.
Tout a été rendu, et je sais pertinemment que le corps n’est pas dans la communauté. Il a été relocalisé. Il y a eu l’implication d’un adulte, qu’il soit mort ou vivant. Les enquêteurs ne sont pas autorisés à favoriser ou à rejeter publiquement toute théorie, y compris l’enlèvement, l’accident de véhicule avec dispersion du corps ou l’attaque d’un animal. La situation de ces derniers jours a été résumée par le procureur de la République qui a déclaré : “Aucune piste n’est privilégiée et aucune hypothèse n’est exclue”.
Le petit Emile, 2 ans, a disparu dans le domaine du Vernet dans les Alpes en Haute-Provence depuis près de deux semaines. Le jeune homme reste malheureusement inaccessible. Les enquêteurs n’accordent aucun traitement particulier au plomb.
Mais comme le rapporte Paris Match, chacun dans le village a sa propre opinion.
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Cela ressemble donc à un accident pour le maire. C’est un véhicule qui se déplace rapidement, c’est un euphémisme. Un conducteur qui réagit en conduisant imprudemment plutôt que normalement. Je sais pertinemment que le corps n’est pas dans la zone commune car tout a été restitué. Il a été relocalisé. Que l’adulte soit mort ou vivant, il y a eu une intervention”, assure-t-il à nos confrères.
Une famille religieuse éveille les soupçons d’un couple local. “Mon père et mon grand-père étaient vraiment cool à ce sujet”, a déclaré Michel, un vétéran des premières batailles. L’étrangeté imprégnait l’air, et mon impression était cimentée par le fait que le père fumait une pipe.
Les enquêteurs de Vernet, un petit village des Alpes-de-Haute-Provence, utilisent diverses méthodes pour reconstituer ce qui a conduit à la disparition d’un garçon de deux ans le 8 juillet. Un examen plus approfondi des enregistrements téléphoniques pourrait s’avérer crucial. Pourtant, selon un expert plaidant devant la cour d’appel de Montpellier, la tâche à accomplir est colossale.
C’est un vrai labeur dans la fournaise, “C’est un travail de fourmi.” Les gendarmes recherchent en tous sens depuis le 8 juillet Emile, 2 ans, disparu à Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) dans des circonstances mystérieuses. Ils ont maintenant amassé des informations précieuses qui pourraient détenir la clé pour résoudre l’affaire.
Près de dix jours après Émile, un enfant de deux ans et demi, disparu dans un hameau de la commune du Vernet dans les Alpes-de-Haute-Provence, le parquet de Digne-les-Bains a annoncé l’ouverture d’une information judiciaire.
Le parquet de Digne-les-Bains a annoncé lundi l’ouverture d’une information judiciaire sur la mystérieuse disparition d’Émile, un enfant de deux ans et demi du hameau du Vernet dans les Alpes-de-Haute-Provence.
Le procureur de Digne-les-Bains Rémy Avon a précisé dans un communiqué que deux juges d’instruction du pôle d’Aix-en-Provence avaient été affectés à l’affaire, et que “toutes les pistes possibles sont encore explorées, aucune n’étant écartée ou privilégiée”.
Une affaire compliquée pourrait s’appeler « une affaire complexe ».
L’enquête sur la mystérieuse disparition d’Emile a été ouverte sous le régime flagrant au lendemain de sa disparition puis est passée au statut préliminaire le 10 juillet. Mais, comme l’a expliqué mardi le juge, “la complexité de l’affaire” justifie la communication de documents judiciaires.
Particulièrement remarquable est “la masse d’éléments considérables recueillis au cours de la première semaine de l’enquête” par Rémy Avon sur le terrain du hameau du Haut-Vernet, où l’enfant était allé passer l’été chez ses grands-parents maternels.
Le samedi 8 juillet vers 17h15, Émile a été vu pour la dernière fois seul dans une rue de ce petit hameau de seulement 25 habitants. Depuis lors, personne n’a été en mesure de le localiser. Suite à la convocation des témoins, 1.400 appels téléphoniques ont été reçus et traités, selon le parquet de Digne-les-Bains. La ligne dédiée est actuellement fermée.
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Rémy Avon a indiqué dans son communiqué rendu public mardi que les enquêteurs avaient trouvé des preuves qu'”environ 1.600 lignes téléphoniques” avaient été coupées dans la zone du Haut-Vernet “au moment de la disparition”, sans toutefois préciser les limites de cette zone.
Située à une trentaine de kilomètres au nord de Digne-les-Bains, la commune du Haut-Vernet compte environ 125 habitants. Elle se situe à environ 2 kilomètres du village de Vernet, auquel elle est administrativement annexée.
Les audiences pour déterminer ce qui s’est passé le 8 juillet 2023, dans la commune du Vernet se poursuivent. En effet, aujourd’hui, Emile, 2 ans, disparaît mystérieusement de la maison de vacances de ses grands-parents. Si les combats ne donnent aucune piste, les enquêteurs continueront à creuser.