Disparition Emile 2 Ans Retrouvé Dans Une Cave – A partir d’aujourd’hui 11 juillet, les gendarmes “vont effectuer un ratissage” de la zone. Le maire a également promis “des moyens spécialisés de traçage et d’indexation” pour répondre au “besoin d’enquête judiciaire”. Les chiens déjà déployés seront utilisés “dans une zone plus large” à partir du week-end prochain.
La police a fait appel à un chien de l’équipe cynophile et utilise un hélicoptère pour tenter de retrouver le petit Emile. Les drones sont équipés de caméras thermiques. Cependant, les caméras thermiques ne pouvaient pas être utilisées avant le lever du soleil à 5 heures du matin en raison de la chaleur extrême. Le reste de la chaleur de la journée m’a empêché d’en récolter les fruits.
Un enfant perturbateur.
Lors d’une conférence de presse tenue lundi soir, le maire Marc Chappuis a déclaré : « Il ne faut pas perdre espoir. Il n’en demeure pas moins que les 48 premières heures qui suivent la disparition d’un enfant sont les plus cruciales. Cette barrière a été brisée lundi soir. La police dit qu’Émile était un enfant “débrouillard” qui aimait “suivre les papillons”. Il se promenait fréquemment dans le village du Haut-Vernet, qui compte une quinzaine de maisons.
Le grand-père maternel d’Emilio était ostéopathe dans les Bouches-du-Rhône, il a donc participé à l’étude. Il a dit aux volontaires qui l’entouraient : « Il est probablement sous une touffe d’herbe, recroquevillé. Le Parisien l’a raconté. Même si Émile, du haut de ses 90 centimètres, détestait les hautes herbes et les mauvaises herbes qui marquaient le début de l’été, les volontaires n’arrêtaient pas de les ratisser et de les replanter.
Au cas où Emile se serait caché, la police a enregistré un message à sa mère et l’a diffusé sur les haut-parleurs pendant que les hélicoptères fouillaient la zone. Un moyen de rassurer le jeune garçon et de lui faire savoir qu’il n’était pas abandonné. Toutes les hypothèses sont encore ouvertes pour des recherches ultérieures.
Le procureur de Digne vous assure : « Toutes les théories sont encore ouvertes ; aucune n’est favorisée et aucune n’est exclue. Parce que le tribunal estime que toutes les conditions nécessaires ne sont pas réunies, il a décidé de ne pas activer l’alerte d’expulsion.
Quels moyens sont utilisés pour retrouver Émile, 2 ans, porté disparu à Vernet ? Dans l’après-midi du 8 juillet 2023, un jeune garçon prénommé Émile, alors âgé de deux ans et demi, s’est échappé de ses grands-parents dans le village de Vernet dans les Alpes-de-Haute-Provence.
Depuis lors, de nombreux moyens techniques et humains ont été mis en œuvre pour tenter de retrouver l’enfant. On ignore où se trouve Émile, un garçon de deux ans et demi disparu du hameau. du Vernet dans les Alpes-de-Haute-Provence samedi après-midi. Le maire de la commune a annoncé au micro de France Info que la zone de recherche était élargie lundi. Comment se déroulent habituellement les procédures de recherche ? Qui agit ? Vous faites valoir un argument valable.
Le maire de Vernet, François Balique, a déclaré à l’AFP que “les recherches ont repris, elles se sont intensifiées, et le périmètre a été étendu” lundi. Le procureur de la République de Dignes-les-Bains, Rémy Avon, a indiqué lundi matin à l’AFP qu’il n’y avait pas de nouveaux développements dans l’enquête.
Dix équipes cynophiles (avec des chiens pisteurs) fouillent depuis samedi après-midi le rayon de 5 kilomètres autour de la maison de ses grands-parents. Le procureur Rémy Avon a déclaré dimanche à la presse : “Quelques marquages ont donné lieu à vérification, mais c’est un facteur contextuel étant donné qu’il s’agit d’une odeur de chien et que nous sommes dans une zone rurale et montagneuse où il pourrait y avoir des éléments parasites.
Quatre jours après sa disparition dans les Alpes de Haute-Provence, le mercredi 12 juillet, le petit Émile est toujours introuvable. Même si les enquêteurs n’ont « rien », « rien du tout » et « rien du tout », comme le dit le procureur, le hameau du Haut-Vernet où a disparu Émile continue d’être la source de leurs pistes les plus crédibles.
Le petit Emile est-il toujours dans la région des Alpes de Haute-Provence village du Haut-Vernet, où il a disparu alors qu’il rendait visite à ses grands-parents ?Nous nous dirigeons donc vers une quatrième journée de recherches infructueuses alors que de nouvelles opérations de ratissage, visant des zones encore inexplorées, sont en cours depuis mercredi matin, menées par des gendarmes spécialisés et des militaires.
Mardi, les 80 premiers gendarmes mobilisés et les dix débroussailleurs n’ont pas pu terminer les explorations entamées lors des combats, mais ils étaient déjà de retour avec des bredouilles.
Selon les dires du procureur mardi, ces nouvelles opérations de ratissage se concluront mercredi soir. Si les opérations au sol n’aboutissent jamais à des progrès, Emile ne pourra peut-être jamais cultiver les environs “en forme d’escarpement” du jardin de ses grands-parents, qui sont entourés de bois et de champs d’herbes hautes. Un commandant de gendarmerie a confirmé au Point que les chiens auraient détecté l’intrus s’il s’était trouvé à l’intérieur du périmètre.
Le précédent Lucas Tronche a quitté ses fonctions en 2015.
Pourtant, il n’est pas exclu que le petit Émile soit encore dans la région du Haut-Vernet. BFMTV fait le parallèle avec le cas de Lucas Tronche, un jeune de 15 ans disparu du Gard alors qu’il se rendait à la piscine en 2015. Il n’y avait pas d’indices précurseurs, donc aucune direction n’était privilégiée. En 2022, les restes squelettiques d’une adolescente ont été retrouvés au pied d’une falaise.
“Pour les très jeunes enfants, le scénario le plus probable est un départ suivi d’un accident”, explique Jacques Dallest, ancien procureur général près la cour d’appel de Grenoble, dans un entretien à BFMTV. Mais “si nous ne trouvons rien, la possibilité d’un enlèvement peut être envisagée”, dit-il.
Un braquage, une piste crédible ?
A twist, la nouvelle piste a gagné en crédibilité aux yeux des enquêteurs. L’enquête s’est déplacée des recherches sur le terrain vers une enquête plus “judiciaire”, comme l’a déclaré lundi le procureur. Cela se concentre sur l’essentiel, comme l’écoute des témoins oculaires et l’analyse des enregistrements téléphoniques de toute personne qui aurait pu se trouver dans la région au moment de la disparition.
Les relevés de téléphone portable de ceux qui se trouvaient dans le secteur du hameau avant et pendant la disparition ont déjà commencé à être analysés par les enquêteurs. Selon BFMTV, les opérateurs locaux de téléphonie mobile ont fourni aux antennes de la zone les numéros de téléphone de ceux qui ont appelé la zone et ont été déconnectés.
Un prédateur sexuel pourrait-il se trouver parmi ces personnes ? Le général Jacques-Charles Fombonne de la Gendarmerie n’est pas d’accord avec cette théorie. Un prédateur sexuel ne choisirait pas une communauté de 25 personnes qui se connaissent toutes bien. Et il aurait inévitablement laissé des traces en cas d’acte impulsif, imprévu”, a-t-il estimé auprès de franceinfo.
S’il y a eu un enlèvement, il n’y avait aucun signe. Cela suggère qu’il a été planifié à l’avance. Il est donc plus probable que l’auteur ait des racines profondes dans la région du Haut-Vernet et ait une connaissance intime de la région et de ses habitants.
Jacques-Charles Fombonne a précisé à franceinfo que c’est pour cela que les enquêteurs “se concentrent autant” sur la zone. Ce qui est nouveau dans cette affaire, c’est que toute la ville a été transformée en scène de crime.
Chaque maison a été minutieusement fouillée jusqu’au sous-sol, chaque résident a été interrogé et chaque véhicule a été inspecté. De nouvelles auditions auront lieu, notamment avec des personnes qui étaient au Vernet le week-end mais qui sont maintenant rentrées chez elles.
Bien que les enquêteurs aient élargi leur recherche pour inclure des éléments tels que les transactions par carte bancaire et les témoignages, les premiers ont toujours une importance particulière. En fait, le remontage de ces témoignages peut fournir des indices cruciaux ou introduire des preuves contradictoires.
Une peinture de voiture, un logo distinctif, un détail mineur sur une vignette d’immatriculation… Jacques-Charles Fombonne, écrit pour franceinfo, souligne que “s’il y a des variations même légères dans les auditions, cela pourrait introduire le doute chez les enquêteurs”. “
Une collision de voiture ou de semi-remorque?
En attendant, La Provence rapporte que les enquêteurs sont susceptibles de privilégier la scène d’un accident de voiture ou de semi-remorque faute de preuves concluantes. On ne sait toujours pas si la personne responsable de la catastrophe était un résident local ou un étranger qui a déplacé le corps du petit Emile vers un autre endroit. «
Ici, tout le monde se connaît ; il y a un système de surveillance communale. » Le maire du village, François Balique, a rappelé au magazine Le Point qu’à ce moment-là, tout le monde saurait si un inconnu avait été repéré.
Emile, un bambin et demi, n’a “jamais été localisé”. Le maire du Vernet dans les Alpes de Haute-Provence a été contraint de s’avouer vaincu devant les journalistes lundi soir. Même avec des moyens importants déployés depuis le week-end, le petit garçon est toujours injoignable.
Depuis dimanche, la police et plus d’une centaine d’habitants et de bénévoles du village se sont livrés à une série de battues. Ils n’ont pas apporté la “réponse attendue”, comme l’ont souligné le maire Marc Chappuis et le procureur de la République de Digne-les-Bains Rémy Avon. Un “système encore plus ciblé et sélectif” a été annoncé par les autorités.