Didier Barbelivien Compagnons D’écriture – Love Etc…” de Didier Barbelivien était basé sur la ligne “Je passais par là comme le passé parfois”, et “Le timbre et l’enveloppe, la correspondance d’une époque” était le germe d’un autre morceau alléchant de en écrivant. Taquin, il joue avec la langue française qu’il connaît si bien, ainsi la consonne V habite presque chaque mot de la chanson “Ca va, Ca vient”. Cet album jazzy est plein de bonnes ondes, grâce aux habiles arrangements du pianiste Mathieu Chocat et le guitariste Pierre Schmidt, deux partenaires musicaux de longue date de Barbelivien.
Il ne cesse de nous le rappeler jusqu’au dernier morceau de l’album, “Ta hand”, qui peut vous donner une secousse à laquelle vous ne vous attendiez pas. Nous sommes tous orphelins sur terre sans le soin d’une main familière, que ce soit pour une fraction de seconde ou pour toute une vie. Barbelivien, le chanteur, fait ses adieux avec un disque qui reflète la vie, ses hauts et ses bas, son temps qui passe et notre incapacité à l’arrêter.
Didier ne nous cache plus rien ; la première chanson s’intitule “La chanson des tziganes”, et il s’agit soit d’un personnage fictif, soit de ses origines qui sont un secret bien gardé. Il met son âme à nu dans sa 68e année (ou presque 70, comme il l’interprète dans un autre de ses titres) et la publie telle quelle. Certainement une description appropriée pour lui.
Didier Barbelivien, figure majeure de la comédie française, est né à Paris le 10 mars 1954. Il a passé une grande partie de sa carrière hors scène, accompagnant d’autres artistes, mais il s’est finalement imposé dans les années 1990, grâce en grande partie à sa paire avec Felix Grey, “toutes les filles”. En dépit d’être un poète qui a vécu deux siècles après la Révolution française, le canon de Barbelivien est teinté d’un “conservatisme de terroir”, ou d’une forme localisée de conservatisme.
Avec près de 2 000 chansons à son actif, cet auteur-compositeur-interprète est un atout inestimable pour les noms les plus illustres de la musique francophone. Ils lui doivent tous beaucoup, de Johnny Hallyday à Patricia Kaas en passant par Michel Sardou et au-delà. Après avoir aidé les autres, Didier Barbelivien dédie ses albums Atelier d’Artistes (2009), Mes Préférences (2011) et Dédicacé (2013) aux personnes qui ont le plus marqué sa vie. La sortie 2016 de la comédie musicale Marie Antoinette et le Chevalier de Maison-Rouge a été reportée au profit de la sortie d’un nouvel album studio de l’artiste, intitulé Amours de Moi.
Par un coup du sort, celui qui s’en inspirera pour chanter “Quitter l’autoroute pour voir les villages de France” est né le 10 mars 1954, au cœur de la capitale française, dans le quatorzième arrondissement de Paris. Didier Barbelivien, fils de commerçants peu musiciens, a trouvé sa première inspiration musicale dans les 45 disques que son père lui a achetés et les cours de solfège qu’il a suivis à l’école.
Il apparaît que Didier Barbelivien n’a aucun mal à atteindre les grands niveaux avec son écriture : Johnny Hallyday, Michel Sardou, Claude François, Nicoletta, Gilbert Bécaud, Hervé Vilard, ou encore le “chanteur” Christophe Barbeliviian identifié dans la chanson “Elle” de 1980 sont quelques-uns des musiciens français mentionnés dans la liste.
Le chanteur avait un tempérament flou dès la naissance, son enfance s’est donc déroulée sans problème. Sa passion pour l’écriture de chansons et la musique la propulse à un rythme effréné.Sa coiffure révèle qu’il a bien moins de vingt ans. Il travaille dur pour tout ce qui est sur la liste de souhaits de la chanson à succès. Une flopée de musiciens français dont Johnny Hallyday, Michel Sardou, Claude François, Nicoletta, Gilbert Bécaud, Hervé Vilard et Christophe…
Son temps passé à travailler pour ces entreprises gigantesques lui a permis d’acquérir des connaissances inestimables. Dans les années 1980, quand le moment était venu, il est enfin devenu célèbre.Dans le même ordre d’idées, lui et son partenaire Félix Gray déchaînent sur le monde un tube étonnant intitulé “A toutes les filles”. Il a également co-écrit la chanson à succès “Il faut laisser du temps au temps” (toujours avec Félix Gray) en utilisant une phrase d’un discours de François Mitterrand.
Pour les croyances ridiculement monarchistes du chanteur, c’est le condiment parfait. Vingt cents ans après la Révolution française, ne rédige-t-il pas le tract politique « Vive le roi » ?
Dans un geste non conventionnel, il a créé sa propre maison de disques et produit pour d’autres artistes sous le nom de Pomme Music. Non seulement cela, mais il mérite également le mérite d’avoir conçu “Notre Dame de Paris” aux côtés de Charles Talar.
Son projet suivant, “Vendées 93” (“Les mariés de Vendée”), est un concept d’album sur les guerres de Vendée, qui à première vue peut sembler de peu d’importance.
Au lieu de participer à la scène, il envisage de terminer ses disques en paix. Il aime essayer de nouvelles choses, alors il a donné au monde « Yesterday, the Beatles », une ode vibrante au groupe qui a eu un effet si formateur sur lui en tant que jeune homme.
Hommage à Léo FerréLéo Ferré est le récipiendaire de l’autre hommage. Son CD de 2003, intitulé simplement “Léo”, comportait des reprises des chansons les plus populaires du chanteur légendaire.L’année suivante, il revient avec “Les enfants du soleil”, un spectacle musical qu’il a composé en duo avec Cyril Assous.
Il nous invite à bord du KAIRouan dans le but de relancer la migration massive des Noirs algériens.Didier Barbelivien s’est d’abord fait remarquer en tant que nègre avant de se lancer avec son propre disque au thème mystique, “Envoie les clowns”, en 2005.
Les fans ont été ravis de le voir en concert à l’Olympia de Paris en septembre 2007 dans le cadre d’une tournée française pour soutenir le disque. Cet auteur-compositeur prolifique, qui a beaucoup écrit pour divers artistes, sortira en octobre un nouvel album intitulé « Etat des lieux : j’écrivais des Chanson s », qui comptera douze compositions originales.
SiDidier Barbelivien prétend enregistrer deux fois plus de chansons qu’il n’en a besoin, suggérant que la Muse est implacable dans ses tentatives de le taquiner.De plus, un nouvel album de l’artiste est prévu pour septembre 2009. L’album s’intitule “Artists’ Workshops” et comprend une compilation de ses chansons les plus populaires qui ont été composées pour divers artistes.
C’est le nombre de chansons que Didier Barbelivien pourra interpréter en septembre lors d’un de ses concerts près de Lens.Concert présenté par Le Bruit Qui Pense (L-R-20-5699 et L-R-20-5701) en collaboration avec Twin Music et Zoll music; on connaît tous le refrain de “On the Town” de Barbelivien. Petite fille du soleil, Miss Blues chante son cœur. A toutes les dames, On va tomber amoureux… Mais s’il reste encore de la place dans l’âme de votre mélodiste, je vous prie d’accueillir chaleureusement ses nouveaux refrains.
Didier ne souhaite plus écrire uniquement pour lui-même, ce seront donc ses derniers mots. L’artiste a prouvé qu’il existe toujours de nouvelles façons de raconter de vieilles histoires, même lorsqu’il n’y a plus rien à prouver. L’ouverture de l’album “Suzy” est un meurtre tragique et chargé d’émotion. Voici une écriture risquée dont tout le monde peut dire qu’elle ne se terminera pas bien.
Barbelivien ose, et ça lui va très bien. On écoute seul avec l’impression confuse qu’il y a L’album est un joli mélange entre textes introspectifs et refrains entraînants destinés à être chantés entre amis, un peu comme la musique d’un film de Lelouch qu’il revisitera pour la B.O. de sa prochaine photo.Barbelivien dédie tout l’album à ses amis et amants.De même pour la scène dans “Le temps d’aimer” où il retrouve Anas (Les mariés de Vendée).
Certains d’entre eux sont décédés, d’autres sont passés à autre chose, mais leurs souvenirs perdurent dans des chansons comme “Souvenirs”, un hommage émouvant à Jean-Marc Roberts, feu ami et frère spirituel de Didier. Dans “Nuages gris”, il fait allusion à feu Bernard Fowler, Tapie et Estardy, Christophe et Johnny et Michel Delpech. Barbelivien doute de sa foi à cause de cela, et nous aussi.