Répandez l'amour du partage
Colomban Soleil Yvelines
Colomban Soleil Yvelines

Colomban Soleil Yvelines – Cent personnes et vingt-cinq tracteurs ont participé à une randonnée organisée par le groupe “La tête dans le sable” le 17 juin. Un mouvement citoyen se forme pour exiger l’arrêt de l’agrandissement des corridors industriels et la protection des terres agricoles.

Il y a encore un nuage sur les plans du personnel de la ville pour améliorer les conditions environnementales, c’est donc le bon moment pour les interroger. Sylvain Jallot, membre du collectif, note : « Ces corporations ont un pouvoir énorme, mais nous sommes inquiets car les élus n’ont pas pris de position claire.

Nous commençons tout juste ce qui sera une longue bataille.

L’association s’intéresse avant tout au PLU (plan local d’urbanisme). “Nous sommes au début d’une longue bataille”, a reconnu Sylvain Jallot. Les deux sites d’extraction que la préfecture et la municipalité avaient agréés au tournant du millénaire sont désormais fermés. Compte tenu de la forte demande de sable dans l’industrie du bâtiment, il semble logique que des entreprises comme Lafarge et GSM recherchent de nouveaux domaines à exploiter.

Les nettoyants industriels sont également des consommateurs importants. Ils achètent près du tiers de la production des transporteurs nationaux. Comme il y a du sable partout, ils voudront s’étendre. Ils ramassent des fonciers ici et là. Ils s’engagent à vendre avant d’obtenir les autorisations nécessaires. Ils ne sont pas en mesure de s’étendre pour le moment, mais préparent le terrain pour une croissance future.

Si ce n’est à Saint-Colomb, “Où l’obtient-on ?”

L’extraction de la ressource est fortement réglementée par les agences gouvernementales. Le Plan Local d’Urbanisme (PLU) et le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) du Pays de Retz autorisent le périmètre et le volume d’extraction. Cette carte définit notamment le paysage agricole périurbain.

La foule “la tête dans le sable” s’inquiète que la municipalité modifie le PLU et le SCoT pour permettre le développement de sites d’extraction supplémentaires. Leur organisation vise également à influencer les décisions du conseil municipal. De plus, le comité environnemental de la ville a invité le groupe à une réunion cette semaine.

Patrick Bertin, le maire de la commune, déclare : “Le sujet est compliqué. L’industrie connaît une pénurie de sable, et les entrepreneurs en sable vont probablement demander “Le souci aujourd’hui, c’est, si on ne l’emmène pas à Saint-Colomban, où est-ce qu’on l’emmène ?”, s’interroge-t-il.

Prendre du sable de l’océan est la pire réponse possible d’un point de vue écologique. Le processus d’extraction est plus difficile car la localisation de gisements appropriés et le transport du matériau sont coûteux. Le maire a indiqué que la chambre d’agriculture et la SAFER sont compétentes pour prendre les décisions d’installation en matière de terres agricoles.

Il souligne également à quel point il est difficile de trouver des investisseurs. Trois ou quatre agriculteurs quittent la communauté aujourd’hui, mais il n’y a pas de jeunes agriculteurs pour les remplacer. Une grande ferme d’environ 120 à 150 acres a été convertie en exploitation de maraiching. L’exploiteur a passé deux ans à chercher un sauveteur mais n’a rien trouvé.

La mission du groupe s’étend au-delà de la protection des terres agricoles pour inclure la sensibilisation à la dégradation de l’environnement provoquée par la demande croissante de sable. L’approvisionnement en eau est particulièrement vulnérable.

Parfois, les sabliers devront creuser jusqu’à 15 mètres de profondeur pour atteindre le matériau dont ils ont besoin. L’eau s’infiltre dans le sable, le sol cède et les mers deviennent visibles. Benjamin Boileau déplore : « Nos revenus ont chuté et nous avons du mal à garder nos animaux.

Vue à 360 degrés garantie depuis le plus haut sommet des Yvelines et de la métropole ! Ce sommet de 231 mètres, également appelé “colline de la Revanche”, offre une vue imprenable sur la forêt de Meudon, le lac de Saint Quentin et la ville d’Elancourt. Lorsque le ciel est clair, vous pouvez distinguer des monuments comme la Tour Eiffel et la Tour Montparnasse. Vos yeux vont là où vous les placez.

Clocher de la cathédrale Notre Dame de la Mer de Jeufosse

Près de l’église de la Jeufosse du Xe siècle, peinte par Claude Monet en 1893, se trouve un autre point de vue époustouflant sur la vallée de la Seine.La tour de guet de la réserve naturelle du Bois d’Arc Cette terrasse d’observation en bois est un endroit idéal pour s’éloigner de la ville le tout en profitant du paysage d’une hauteur de 12 mètres.

La situation, sur le canal paysagiste du Bois d’Arcy, est idéale pour une parenthèse nature pittoresque à quelques pas de la ville. Un incontournable pour tout Mantai qui souhaite avoir une vue plongeante sur la ville et les voies navigables sinueuses de la Seine. Ce point de vue orienté vers l’ouest est idéal pour observer le coucher du soleil en été.

La vue depuis la colline de la Sablière près de Viroflay

Cette paisible falaise viroflaysienne est le site historique du début de la Croix de la Sablière. S’asseoir sur un banc au milieu d’une forêt avec vue sur Versailles est un moyen infaillible de décompresser. Chantal Schuller et son mari Jean-Pierre ont décidé de se rendre à Saint-Colomban en voiture. Saint Colomban (543-615) quitta l’Irlande et émigra à Sammeron. Saint-Colomban est cet homme d’église qui s’est arrêté au palais d’Authaire à Ussy lorsqu’il régnait sur plusieurs villes.

Colomban Soleil Yvelines

Saint Columba a réussi à convertir Authaire et ses enfants au catholicisme. Mais revenons à Chantal et Jean-Pierre Schuller. Simon Derache (consultez Le Pays Briard le 24 mai) a inspiré Chantal Schuller à vouloir visiter Poggio, en Italie. En conséquence, sur les 18 jours initialement prévus pour le voyage, seuls 13 ont été utilisés jusqu’à présent.

Chantal et Jean-Pierre Schuller avaient prévu de prendre des incréments de deux jours. A notre arrivée à Luxeuil, il y avait étonnamment peu d’activité. pu voir le soleil se coucher sur un lac suisse, et c’était magnifique.”

Et nous avons vu la même beauté dans le nord de l’Italie au col du Simplon. Chantal Schuller : « A Poggio, nous avions une réservation au seul et unique camping là-bas, et c’était juste au bord de la rivière Trebbia. Quand un local nous a dit : « La rivière est capricieuse », nous n’avons pas vraiment été rassurés. Dieu merci, la rivière n’a pas été inondée !

Petit aparté sur Saint Christophe : il a parcouru neuf pays (Irlande, Angleterre, France (La Gaule à l’époque), Allemagne, Luxembourg, Suisse, Autriche, Liechtenstein et Italie). De retour à Sammeron, Chantal Schuller fonde l’association Les balades de Chantal pour organiser un pèlerinage d’Ussy à Jouarre. Emotion dans les Alpes suite au crash d’un avion de tourisme qui a coûté la vie à trois personnes.

Le seul survivant a été transporté dans un hôpital de Lyon, tandis que les trois corps retrouvés piégés dans la carlingue en feu n’ont rien pu faire pour se sauver. Tous les passagers seraient liés les uns aux autres. Après plusieurs jours de pluie presque ininterrompue dans les Alpes, jeudi était une belle journée pour profiter de la montagne.

Les cyclistes se croisent sur le bitume alors que le soleil de l’après-midi brille sur le col du Glandon (1922 m), célèbre col de montagne fréquemment emprunté par le Tour de France. Soudain, le ciel est brisé par un avion volant à une hauteur dangereusement basse. Le petit avion de tourisme qui ne pouvait transporter que quatre personnes s’est écrasé avant de pouvoir franchir la montagne.

Le nettoyage industriel et l’extraction de sable gagnent assez bien leur vie au sud de la Loire-Atlantique. Cependant, à Saint-Colomban, un groupe appelé “La tête dans le sable” s’inquiète des impacts des déchets de la ville. Le sable, cible des blagues de tout le monde.
Les membres de “La tête dans le sable” ne prévoient aucun sabotage. Saint-Colomban est une commune du sud de la Loire où les habitants s’inquiètent des volontés des entreprises du schiste de construire de nouveaux sites d’extraction.

Il y a vingt ans, Lafarge et GSM ont commencé à partager deux sablières sur le même terrain public. Ils extraient 350 000 tonnes par an pour Lafarge et 400 000 tonnes par an pour GSM à partir de leurs sites respectifs de 50 hectares.

Ce Des accords financiers et des offres d’achat de terres agricoles ont déjà commencé. Ce dont Benjamin Boileau, agriculteur bio vivant à proximité du site Lafarge, a du souci à se faire. Pour ajouter l’insulte à l’injure, les maraichers industriels recherchent également activement plus de colis.

Le Foncier, cible de tous les affrontements

Notre ferme d’élevage polyculture au nord de la commune de Saint Colomban sera bientôt la seule qui reste. En raison de la nature sablonneuse du terrain, les maraichers sont impatients d’acheter ces parcelles. L’eau est disponible et à proximité des grandes villes, comme le dit Benjamin Boileau.

Déjà, 150 ha ont été convertis en maraichage industriel. D’autres fermes sont également à vendre », s’inquiète-t-il. À ce rythme, environ la moitié des terres agricoles de la communauté pourraient être converties en maraîchage industriel.

Les résultats pour la valeur foncière sont irréfutables. Les terres agricoles de cette région se vendent souvent entre 1 500 et 2 000 € l’hectare. Selon Benjamin Boileau, “les maraichers proposent entre 5.000 et 10.000 euros, et les sabliers proposent cinq à dix fois.

Colomban Soleil Yvelines
Colomban Soleil Yvelines

Articles Similaires

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

error: Le contenu est protégé !!