Clara Copponi Compagnon

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Clara Copponi Compagnon
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Clara Copponi Compagnon – J’ai travaillé comme monitrice EPS en banlieue parisienne jusqu’à la veille de mon accouchement, tout en enchaînant les balades à vélo en prévision de la saison à venir. Je suis coincé dans la maison de mes parents dans les Alpes françaises depuis plus d’un mois maintenant. J’ai la chance d’être là et d’admirer le paysage des montagnes et le jardin de la maison.

Mais malgré cela, je reste à la maison pour respecter le couvre-feu. Je comble les vides en travaillant comme home trainer et renfo, cuisiner, passer des appels vidéo avec mes amis et ma famille, donner à mes élèves des quiz en ligne et préparer des leçons à l’aide de PowerPoint et de Google Slides sont toutes des choses que j’aime faire pendant mon temps libre. Quand je considère les conditions de vie du personnel médical, je me rends compte qu’être mis en quarantaine à domicile est tout sauf une épreuve.

C’est le moment de réfléchir sur soi et sur ses proches, d’apporter des changements positifs à son mode de vie et de vivre en solidarité avec son pays, même si ce n’est pas le cas de tout le monde. Lorsque ce confinement se terminera enfin, j’ai hâte de passer du temps au grand air avec mes proches alors que nous savourons tous un délicieux repas (surtout parce que nous sommes tous des chefs en herbe à ce stade).

Nous réalisons que la vie est au mieux ténue et que nous perdons souvent un temps précieux à essayer de tout faire en même temps plutôt que de nous arrêter pour apprécier les personnes et les ressources déjà à notre disposition. Nous le disons encore pour exprimer notre gratitude à Gabrielle Pilote, Coralie Demay, Florian Hudry, Julie Bresset, Marine Strappazzon et Laura Weislo pour leurs liens et les mots et images qu’ils ont partagés avec nous.

En attendant le prochain épisode du Fil Rouge spécial emprisonnement d’Au bon dossard, nous espérons que vous passerez un bon moment chez vous. Vite la suite ! Pour continuer à avancer, nous devons fidéliser nos employés. Nos principaux sponsors se sont engagés à nous soutenir pendant plusieurs saisons. Grâce à cela, nous sommes plus forts et plus crédibles que jamais.

Nous avons été inondés de candidatures de sprinters talentueux, et il sera difficile d’en retenir une seule pour compléter notre équipe. Cependant, on ignore pour l’instant s’il aura douze ou treize composantes d’ici 2021.

Nous avons misé sur le mouvement des jeunes pour monter au pouvoir. Le manager, Stéphen Delcourt, a déclaré : “L’objectif reste de gagner un gros parcours assez rapidement, et cette stabilité peut nous y aider.” Approbation par la Nouvelle République des arguments de l’orateur.

Jade Wiel s’est également exprimée dans la foulée de cette prolongation en disant : « Cela me pousse à redoubler mes investissements. J’ai été prise au dépourvu par la durée engagée. C’est un tout petit CDI. Cela me donne la confiance pour affronter sereinement mon d’avenir dans le sport et dans la vie, cela me conforte dans l’idée que le Futuroscope FDJ Nouvelle-Aquitaine est une excellente formation, ce qui me motive à redoubler d’efforts pour devenir durablement un des piliers de l’équipe.

Jade Wiel a bouclé une étape d’altitude de deux semaines avec sa coéquipière Clara Copponi en vue de la reprise de la compétition fin juillet/début août. J’avais besoin d’air frais après avoir été confiné pendant si longtemps. La réaction des jambes était également importante à observer. Nous étions à Isola 2000, dans les Alpes-Maritimes. Le champion de France a fièrement annoncé : « Nous avons gravi près de 11 000 mètres de dénivelé.

L’échauffement parfait pour plonger la tête la première dans une nouvelle aventure passionnante. “Mon ami et moi allons faire une “randonnée à vélo” de 23 jours et 1 919 kilomètres de chez moi à Mimet, dans les Bouches-du-Rhône, jusqu’au sien à Châteaulin, dans le Finistère.

Clara Copponi, 24 ans vétustes , relève un nouveau défi à l’étranger en se rendant au Lidl-Trek en 2024. La sprinteuse française était chez FDJ-SUEZ depuis ses débuts professionnels en 2019, alors que l’équipe s’appelait encore FDJ-Nouvelle Aquitaine-Futuroscope.

Originaire d’Aix-en-Provence, elle a passé les cinq saisons précédentes à apprendre les ficelles du métier et à s’imposer dans l’écurie française du WorldTour avant de décider de franchir le pas et de passer les deux années suivantes avec l’équipe américaine.

La double vice-championne du monde sur la piste américaine espère continuer à s’améliorer au cours de l’année à venir en vue des sprints et des classiques après avoir fait ses débuts professionnels l’an dernier au Women’s Tour et au GP de Fourmies.

Ce sont des résultats assez encourageants pour Clara Copponi. Déjà deuxième du Grand Prix de Trévé-Le Ménec-Loudéac et cinquième du Grand Prix d’Izernore en Coupe de France, ainsi que quatrième du Circuit de Borsele, la Provençale a décroché trois autres Top 5 lors de la précédente semaine sur les routes du Tour de Bretagne.

Surtout qu’elle n’a pas passé beaucoup de temps sur la route cette saison. J’ai été surpris de terminer deux fois sur le podium et une fois dans le top cinq, malgré le fait que je n’avais que quelques jours de course à mon actif jusque-là. Mais je suppose que les choses s’améliorent pour le moment, sourit-elle. J’avais promis de commencer à me remettre en forme cet été, et c’est exactement ce qui s’est passé au mois de juin.

Le sociétaire de l’équipe BioFrais-VC Saint-Julien-en-Genevois a terminé cinquième à Goven, troisième à Pontivy, et encore troisième à Loudéac, échappant souvent au peloton dans les derniers kilomètres de la course.

C’est un endroit difficile qui n’est pas à lui d’expliquer. Trouver un terrain d’entente avec les dames était difficile. Ils ont toujours fait de leur mieux pour me remettre à ma place. Je leur dis que je vais débrouiller quand je m’aperçois qu’ils ont peur de flotter ou qu’ils nagent trop vite.

Je suis capable de me positionner au milieu des trains des équipes adverses et de diriger avec succès vers le but. Ce nest pas un probleme du tout. Néanmoins, Clara Copponi dans les rues de Goven pouvait compter sur le soutien indéfectible de la Suissesse Meret Zimmermann.

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Les honneurs reçus par le spécialiste de la piste l’ont poussé à jouer son va-tout la veille sur les hauteurs de Lannilis avec les encouragements de son petit ami et coach. Ils m’ont encouragé à viser le kill, à viser la victoire. Je prévoyais que j’aurais du mal à vaincre régulièrement Kristen Wild parce qu’elle semblait imbattable.

C’est ainsi que la jeune femme de 20 ans s’est aventurée seule à 500 mètres avant de s’effondrer dans les derniers hectomètres. “Je savais que ça allait être difficile, mais je n’avais rien à perdre”, a déclaré la dixième personne au classement final.

Avec ce genre de résultats, Clara Copponi ne peut s’empêcher de se demander ce qu’elle pourrait faire si elle programmait régulièrement ses journées de compétition comme la plupart de ses concurrentes.

“Je suis tout à fait d’accord. Je me promets : “L’année prochaine, j’essaierai d’en faire plus.” D’ici là, contrairement à ses plans, elle se concentrera sur les prochains Championnats de France. Je peux concourir pour le titre de champion parce que Je ne participerai pas aux Championnats d’Europe.

La régularité est au cœur de la FDJ, de la Nouvelle Aquitaine et du Futuroscope. Deux athlètes françaises, Clara Copponi et Eugénie Duval, ont vu leur contrat avec WorldTeam prolongé jusqu’en 2023, a annoncé l’équipe lundi après-midi. À l’été 2019, Clara Copponi, 22 ans (photo), est devenue professionnelle en jouant dans le système de Stephen Delcourt.

Elle a remporté le bronze au Championnat de France Élites l’an dernier sur route. La Provençale s’est également classée septième à Beauchastel dans le Tour de l’Ardèche et quinzième dans les Dames du Périgord.

Depuis 2015, Eugénie Duval, 27 ans, fait partie intégrante de la direction de la FDJ. L’an dernier, l’équipe normande s’est classée cinquième du tournoi féminin du Périgord, sixième du Championnat de France et dixième de la Clasica Navarra. Sur la douzaine de femmes de l’effectif actuel, cinq – Clara Copponi, Eugénie Duval, Marie Le Net, Evita Muzic et Jade Wiel – sont engagées l’une envers l’autre jusqu’en 2023 au moins.

De mercredi à dimanche, la France jouera sa “carte jeune” dans les championnats du monde de cyclisme à Apeldoorn, visant le plus de médailles possible avec l’aide de vétérans comme Michael d’Almeida et François Pervis. Désormais, deux générations travaillent ensemble en sélection, avec l’espoir d’effacer le douloureux souvenir des JO-2016 à Rio, où des conflits internes ont faussé les résultats.

Michael D’Almeida, qui a remporté le bronze dans l’épreuve de sprint par équipe masculine aux Jeux olympiques d’été de 2012 au Brésil avec ses coéquipiers Gregory Baugé et François Pervis, explique comment le travail d’équipe qui a mené à leur succès a été possible.

Le trentenaire terminera deuxième des Mondiaux aux côtés de Quentin Lafargue après que ses coéquipiers Sébastien Vigier (le grand espoir de l’équipe) et Pervis (le titulaire désigné de la course) aient fait le gros du travail. Ce dernier athlète, champion du monde en titre du kilomètre, voit l’Australien Matthew Glaezer comme le grand favori pour remporter la course.

Grégory Baugé (33 ans) doit laisser sa place à un nouveau membre du trio de vitesse. Le quadruple champion du monde de sprint individuel n’a pas pu atteindre les minimums requis (moins de 10 secondes sur 200 mètres) lors de la Coupe du monde de janvier à Minsk en raison de problèmes de santé. Mais il est toujours en course, car la nouvelle piste le coordinateur Bruno Lecki le dit. Seul Baugé, qui a remporté le bronze avec les deux autres, manquera le concours d’Apeldoorn.

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