Charles Leclerc Journaliste – Avec le nouvel objectif de « recueillir des matières pour l’historien du pays, s’appliquant à tout ce qui peut faire fleurir le commerce et l’agriculture de la province », elle espère enseigner aux autres ce qu’elle a appris. Un incident en 1762 mit fin à son œuvre ; il a été condamné à six semaines de prison pour avoir fait l’éloge d’Emile (pour en savoir plus, voir l’article “Panckoucke C.J.”). Son groupe triomphe à Paris.
L. triomphe à Paris en 1766, à la suite de journalistes comme Alexis Mathon et Charles Joseph Panckoucke, eux aussi dépaysés à Lille. A la demande du commandant de la Flandre, qui reconnaît L. chanoine honoraire (A.D. Aisne, C. 677), L. est banni de Paris et envoyé à Soissons par lettre cachet.
Le ministre ayant des liens personnels avec le surintendant du dépôt, Le Peletier de Morfontaine, Necker lui a confié la gestion du Dépôt de mendicité rénové de la généralité de Soissons. En réponse à l’état préexistant des gisements et aux critiques véhémentes qu’il suscite, Necker établit à Soissons un dépôt modèle où règnera « cet esprit de sagesse et d’humanité qui doit allier le maintien de l’ordre au sens de l’indulgence et de la compassion ».
Là, le travail des détenus est rendu obligatoire pour tous, et les conditions de vie sont améliorées sous la surveillance vigilante de l’abbé Montlinot, réunissant les trois piliers de la généralité soissonnaise.
En 1788, Necker accuse L. d’avoir besoin de “rechercher les causes de l’énorme croissance des enfants constatée dans la majorité de Soissons depuis la publication de la loi en 1779”. L. relate les résultats de son enquête de 1790 dans Observations sur les enfants découverts dans la Généralité de Soissons.
Larochefoucauld-Liancourt affecte L. au Comité de mendicité, où il rédige des rapports et participe à la rédaction des lois (comme la loi du 22 florentin an II (11 mai 1794) relative au Livre national de bonne santé). En l’an V, il est promu chef de l’équipe administrative des Hôpitaux. Le soir de sa mort (25 octobre 1799), le ministre Quinette, député de l’Aisne, nomme L. premier vétérinaire en chef de l’école sous le Directoire.
Chance du tirage
Le Collège Saint-Pierre de Lille a un chapitre très prospère avec un budget trois fois supérieur à celui de l’archevêché de Cambrai et presque aussi important que celui de l’Église épiscopale de Paris. Ses censures, pensions et prébendes éclipsent celles de tout autre chapitre flandrien. Il peut être assuré de revenus importants grâce aux développements de l’agronomie et de la production agricole régionale. Il y a 181 personnages dans ce livre, dont 41 personnages féminins.
Des avis
En 1758, dans un pamphlet attribué à Diderot et intitulé Justification de plusieurs articles du dictionnaire encyclopédique, L. exprime des sentiments forts et réfute les préjugés légitimes contre l’Encyclopédie. En 1762, il publie ses idées philosophiques dans un ouvrage intitulé Discours préliminaire à Discours portatif d’histoire naturelle, dans lequel il crédite Spinoza, Helvétius, l’abbé de Prades et l’Interprétation de la nature de Denis Diderot. Dans L’Athéisme révélé dans un nouveau discours sur l’étude de l’histoire naturelle, Louis Wartel et P. Sylvin, capucin lilloisien, visent son œuvre.
L. s’inspire du style d’écriture de Voltaire dans son Histoire de la Ville de Lille, dans laquelle il se moque des pratiques, coutumes et institutions religieuses de la ville. Une fois de plus, les Observations de Wartel sur l’histoire de Lille ont été copiées dans ce livre.
L. a répondu avec un livret anonyme. Les bibliothécaires Henry et Jacquez, qui étaient aussi zélé voltairiens, firent saisir des exemplaires de cette histoire par le magistrat. La polémique dura jusqu’en 1766, date à laquelle L. s’installa à Paris et abandonna son style de vie clérical.
De retour à l’état laïc, marié et chassé de Paris L. par les idées les plus radicales des Lumières, il applique désormais son savoir-faire et ses convictions aux questions de société. En fait, les disciplines académiques se développent avec le temps, devenant plus socialement et éthiquement conscientes dans les décennies qui suivent la Révolution française de 1789.
Pour son premier concours en 1777, la nouvelle Académie de Châlons-sur-Marne pose le thème des “moyens de anéantissez la mendicité en France en rendant les mendiants utiles à l’Etat sans les rendre malheureux.”
Les dépôts de mendiants, censés n’abriter que de véritables mendiants, abritent de plus en plus d’autres types de criminels. L. estime qu’il y avait 32 sans-abri sans asile, 28 sans-abri sans puces, 50 ivrognes, des filles dans les écoles publiques, des soldats déserteurs, des “mesnages ambulants”, 15 colporteurs, 256 chômeurs et 294 journalistes chômeurs à Soissons en 1786. Le Mercure de France donne une critique détaillée du livre commémoratif de Necker. L. déclare la guerre au corps médical.
France Télévisions a appris de multiples sources fiables que le 15 août, à Lavau-sur-Loire (Loire-Atlantique), un petit avion de tourisme s’est écrasé dans le fleuve, tuant les trois personnes à bord, dont le journaliste Gérard Leclerc.
Selon France Télévisions, des sources proches de l’enquête ont confirmé la localisation des débris d’avion et la récupération de deux corps, mais ont souligné que personne n’a encore été formellement identifié. Franceinfo revient sur l’incident qui a suscité une large couverture médiatique et politique.
Le Bureau d’enquêtes et d’analyses de la sécurité aérienne (BEA) a tweeté le même jour qu’un petit avion de tourisme avait été impliqué dans un “accident mortel” à Lavau-sur-Loire (Loire-Atlantique) le 15 août. heure du site de surveillance du trafic aérien Flightradar24, l’avion a disparu au-dessus de la Loire après 37 minutes de vol.
Le parquet de Saint-Nazaire en Loire-Atlantique rapporte qu’un Robin DR-400 a décollé de l’aéroport de Loudun dans la Vienne à 11h07 ce mardi, à destination de La Baule sur la côte atlantique. Selon les informations de Télégramme, le président de l’Aéroclub de Vienne, Michel Richez, a déclaré : “La météo était bonne” pour le décollage.
Le pilote signale à la tour de contrôle de l’aéroport de Nantes à 11h37 UTC qu’il s’apprête à entrer dans l’espace aérien de Saint-Nazaire, mais il n’en informe jamais les autorités compétentes. Il n’a donné aucune indication qu’il est en difficulté. Les données de vol disponibles nous ont permis de reconstituer sa trajectoire jusqu’à 11h42 UTC, date à laquelle il a disparu des radars. Il y avait au total trois passagers, dont le journaliste Gérard Leclerc.
Jeudi, une source proche de l’enquête a indiqué à France Télévision que l’avion transportait trois personnes. Pendant la période de mardi soir/mercredi matin, quelqu’un a écrit “un pilote et un ou deux passagers, cette information reste à confirmer” sur le mur de l’ascenseur.
France Télévisions a appris de bonne source que l’ancien employé de France Télévisions et président de La Chaîne parlementaire (LCP) Gérard Leclerc fait partie des disparus, tout comme Michèle Monory, Ni la préfecture ni le parquet n’ont donné de précisions sur les passagers.
Le président de l’aéroclub de Loudun, Michel Richez, a déclaré au Télégramme qu'”un pilote régulier du nom de Gérard Leclerc” était aux commandes de l’avion. Les collègues et amis du journaliste ont indiqué mercredi à CNews qu’il assisterait au concert de Julien Clerc à La Baule jeudi soir. Une recherche « laborieuse » d’explications. L’appareil disparaît à 14h10, et le centre de secours alerte au préalable la Préfecture de Loire-Atlantique.
Les sapeurs-pompiers de la région Loire-Atlantique ont utilisé « à la fois la terre et la mer » dans leur intervention. Deux hélicoptères de la police et de la protection civile ont également surveillé la zone. La préfecture a également signalé que des “moyens spécifiques” de l’Adrasec (Association départementale des radioamateurs au service de la sécurité civile) ont pu se rendre sur les lieux.
Après avoir été interrompues mardi soir, les opérations ont repris le lendemain. France Télévisions a appris de sources proches de l’enquête que deux corps avaient été remontés à la surface sans avoir été formellement identifiés.
Les premiers débris d’avion, dont un fragment d’immatriculation et une roue, ont été retrouvés mardi après-midi, a rapporté le parquet. Le BEA a ouvert une enquête technique sur l’incident, tandis que la Brigade de Police des Transports Aériens et le Groupement Loire-Atlantique de la Gendarmerie ont ouvert des enquêtes pénales.
De nombreux médias et personnalités politiques ont exprimé leurs opinions.
Bien que le corps du journaliste n’ait pas été localisé, le nombre d’explications à sa disparition s’est multiplié. CNews, son ancien employeur, lui rendra un hommage particulier mercredi matin, a annoncé Canal+ dans un tweet, louant ses “points de vue toujours d’actualité et pertinents, ses analyses toujours précises et argumentées, et son professionnalisme qui a contribué à la croissance et au succès de la chaîne.”
Le présentateur de CNews, Pascal Praud, a pleuré la perte d’un “honnête homme” et “une douleur immense” après son décès, tandis que la journaliste de CNews, Le journaliste de France Télévisions François Beaudonnet lui a rendu hommage, le qualifiant de “journaliste de talent” et “d’homme élégant et drôle”.
Le directeur de l’information de France Télévisions, Alexandre Kara, déplore la perte “d’un ami avec qui nous avons partagé le meilleur”, se souvenant de lui pour son “sans gentillesse”, sa “belle intelligence” et ses “blagues qui résonnent encore dans le couloirs de la rédac.”
De nombreuses personnalités politiques de premier plan, dont le chef du Parti républicain Eric Ciotti, le chef du Rassemblement national Jordan Bardella et l’ancien président français François Hollande, ont exprimé leurs condoléances à la suite du décès de l’éditorialiste. L’ancien Premier ministre français Jean-Pierre Raffarin a rendu hommage à son ancienne collègue Michèle Monory sur Twitter, louant sa “générosité” et son “caractère tremblant”.
Le journaliste de la CNEWS Gérard Leclerc et ses deux passagers ont été tués le 15 août lorsque le petit avion de tourisme qu’il pilotait s’est écrasé à Lavau-sur-Loire (Loire-Atlantique). Il y a eu plusieurs lancements de sondes.