Charles Juvin Fils De Philippe Juvin – Philippe Juvin, fils de deux médecins, est né le 1er février 1964 à Orléans. Il fréquente à la fois l’Université Paris-Diderot et l’Université Pierre et Marie Curie pour étudier la médecine.
En 1989, Philippe Juvin débute sa carrière dans le secteur de la santé en tant qu’initié dans les hôpitaux d’Ile-de-France. Puis, de 1993 à 1995, il occupe le poste de chef de clinique à l’Hôpital Bichat. Il a travaillé comme anesthésiste hospitalier et médecin urgentiste entre les années 1996 et 2003 dans le même établissement.
Philippe Juvin est directeur du service des urgences de l’hôpital Beaujon de Clichy de 2005 à 2012. Depuis 2012, il dirige le service des urgences de l’hôpital européen Georges Pompidou. De 2003 à 2012, il enseigne à l’Université Paris-Diderot, puis à l’Université Paris-Descartes. Passionné d’histoire, il a écrit et publié en 2014 un livre sur le passé de l’Europe intitulé Notre histoire.
Parallèlement, il entre en politique dans les années 1980 et finit par devenir conseiller municipal à La Garenne-Colombes. Il a été élu maire de La Garenne-Colombes en 2001 et est membre du parti politique RPR. De 2004 à 2009, il est vice-président du conseil régional des Hauts-de-Seine. Il se concentre sur le marché intérieur et il a été élu député européen en 2009. Le 27 juillet 2021, Philippe Juvin annonce sa candidature à l’élection présidentielle de 2022 dès la primaire de droite.
Le Dr Charles Juvin, 34 ans, est chirurgien cardiaque à la Pitié-Salpêtrière (Paris) depuis quatre ans, spécialisé dans les transplantations où la vie et la mort sont toujours en jeu. Découvert dans les Grands Reportages de TF1 dimanche à 13h40. Vous assistez au passage d’un cœur humain à travers un glacier. Tout au long de la balade, vous gardez un air de calme zen. Est-ce la vraie affaire, ou juste une imposture?
Juvin, Charles. Les premières étapes d’une carrière sont marquées par la nervosité, mais celle-ci s’estompe à mesure que les tâches routinières deviennent une seconde nature. Donc, oui, je suis plutôt cool. Lorsque les choses ne se passent pas comme prévu, les niveaux d’adrénaline augmentent légèrement, mais cela n’arrive presque jamais. Il est crucial de garder son sang-froid.
Lorsque l’anesthésiste ou le chirurgien responsable d’un bloc opératoire perd son sang-froid, c’est toute l’équipe qui souffre. Même si les choses tournent mal, et c’est parfois le cas en chirurgie, il est important de garder son sang-froid. C’est l’approche la plus efficace pour résoudre le problème.
La transplantation est l’un des plus beaux exemples de travail d’équipe en médecine, mais c’est aussi une histoire de collaboration. Il n’y a pas que le chirurgien qui part à la recherche du cœur ou l’anesthésiste qui endort le patient ; il y a aussi toute l’équipe paramédicale, les transporteurs et les coordonnatrices de l’infirmerie qui font des efforts considérables pour que tout le monde soit à l’heure.
La coordination se produit également à l’échelle nationale; enlever un organe nécessite d’en enlever d’autres. Des équipes viennent de toute la France pour concourir. C’est une procédure vraiment louche. Et si quelque chose ne va pas, il y a toujours une sauvegarde. De plus, il existe un plan C. Quand vous préchargez un cœur et quand vous l’implantez, avez-vous la même mentalité ?
Oui, c’est fascinant. Déjà l’immense gentillesse symbolisée par ce don anonyme, l’unité profonde de ces communautés endeuillées… Une fois le donateur techniquement mort de mort cérébrale, son cœur sera arrêté. Le cœur est gelé et protégé en étant placé dans un glacier. Nous le lui remettrons en toute sécurité.
Environ quatre heures plus tard, en attendant le greffon, il est placé dans un corps relié à une machine de circulation extracorporelle. Lorsque le cœur est alimenté en sang chaud, il recommence à battre. Vraiment, c’est plutôt magique.
Philippe Juvin est fils de médecins et est né le 1er février 1964 à Orléans, Loiret. Il a fréquenté la prestigieuse école Notre Dame de Sainte-Croix à Neuilly-sur-Seine, en France, et a obtenu un baccalauréat en 1981. Il envisage de suivre les traces de ses parents et d’étudier la médecine, il s’inscrit donc à la fois à l’Université de Paris-Diderot et l’Université Pierre et Marie Curie. Avant de devenir docteur en droit, il obtient un doctorat. en biologie et physiologie des systèmes cardiovasculaire et respiratoire.
Sa carrière a débuté aux Hôpitaux de Paris en 1989, et il a depuis occupé les postes de chef de cabinet, de praticien hospitalier en anesthésie-réanimation et de chef du service des urgences à l’Hôpital Européen Georges Pompidou. Il a enseigné à l’Université Paris-Diderot (de 2003 à 2012) puis à l’Université Paris-Descartes. En 2014, il publiera Notre Histoire, une histoire de l’Europe.
Philippe Juvin est médecin et homme politique. Il a été élu maire de La Garenne-Colombes en 2001 alors qu’il était membre du parti RPR. Il a été vice-président du conseil général des Hauts-de-Seine de 2004 à 2009, est aujourd’hui député européen et spécialiste du marché intérieur. Il reste encore une dizaine d’années. Entre-temps, en 2016, il est élu président de la fédération Les Républicains des Hauts-de-Seine.
En 2020, il devient connu et largement médiatisé suite à la pandémie de Covid-19. Il est clair qu’il fait partie des personnes qui mènent la charge contre le coronavirus. Il est élu conseiller régional de la région Ile de France avec Valérie Pécresse à partir de juin 2021. Le lundi 26 juillet 2021, il déclare sa candidature à la primaire du Parti libertaire en vue de l’élection présidentielle de 2022.
Cela ressemble à une étrange intersection avec des signes étranges au sol. En entrant aux urgences de l’hôpital Georges-Pompidou à Paris, puissiez-vous franchir le virage avec succès. A gauche se trouve le secteur “bleu”, qui représente la réalité de la vie quotidienne (pensez : accidents, incendies et décès). La série habituelle d’urgences “classiques” qui surgissent tous les jours. Bon, vous êtes sur un aller simple garanti. Veuillez me rencontrer à la réception avec le saturomètre.
Si le taux baisse trop bas, c’est presque certainement le Covid-19. Pour être examiné, il faut se diriger vers une grande tente blanche dressée à l’extérieur. Il n’y a pas d’examens, non, il n’y en a pas du tout. Il pourrait s’agir d’une fausse alerte si votre état n’est pas considéré comme grave. si c’est le cas, vous serez libéré avec un simple ordre de rentrer chez vous. Quand les choses deviennent vraiment sérieuses, il est temps d’aller à l’hôpital.
Au cours des derniers jours, l’hôpital a été frappé par un afflux incessant de patients. Le professeur Philippe Juvin, 56 ans, responsable des urgences de Pompidou depuis huit ans, a déclaré dans son minuscule bureau : “Je n’ai jamais rien vu de tel, nous sommes à saturation des lits officiels de réanimation. “
Même la salle très sécurisée NRBC (nucléaire, radiologique, biologique et chimique), destinée à la décontamination en cas d’attaque terroriste « à vendre », a été réclamée. Tout en acceptant avec gratitude l’aide de bénévoles comme les néphrologues de Necker, d’autres professionnels de la santé et des médecins à la retraite.
C’est une victoire pour le système D. De plus 3D. Tout simplement parce que nous manquons à tous les égards… Les deux tiers des 138 personnes admises aux urgences la nuit précédente présentaient des symptômes compatibles avec le Covid-19 ; la grande majorité nécessitera des soins hospitaliers. L’infâme insaisissable qu’elle est présente en toute sécurité.
Le 25 janvier, une salle d’urgence de l’hôpital Georges-Pompidou à Paris a reçu son premier patient chinois infecté par le coronavirus en France. Roger Karoutchi, sénateur du parti conservateur français Les Républicains (LR), raconte comment il y a quelques semaines, un de ses électeurs s’est alarmé des récents événements en Chine et a exprimé la conviction que l’Europe serait également concernée.
Son efficacité cool fait des vagues sur le petit écran. Personne ne comprend le jargon médical, vante un homme politique. Les Français l’écoutent prédire “Une vague très haute va arriver”, sur TF1 le 15 mars. Aussi, il s’adresse à “l’Obs” avec :
Malheureusement, peu de masques ont été fournis. Même si je rédige une ordonnance pour quelqu’un qui en a un besoin urgent et qu’il se présente à ma porte, je sais qu’il ne pourra pas l’exécuter car aucune pharmacie locale ne l’a en stock. En France, on fabrique des cœurs artificiels, mais il n’y a pas de masques.
Quand le président a parlé de « guerre », l’anesthésiste Philippe Juvin savait exactement de quoi il parlait, puisqu’il avait passé deux mois dans un camp militaire français en Afghanistan au service de l’Otan en 2008. On a dit : « Les militaires, c’ est un monde formidable ; ils obéissent aux ordres ; ils ont un sens aigu des valeurs.” Il a servi dans les sapeurs-pompiers de Paris et se fait un devoir de monter la garde une fois par an avec ses collègues sapeurs-pompiers.
Tout le monde dans la région des Hauts-de-Seine sait qu’il prend les devants lors de situations critiques sur le pont. On l’avait déjà vu avec des attentats”, raconte Roger Karoutchi. Son image apparaît sur les écrans en 2015 alors que l’urgentologue décrit le traitement des victimes d’attentats terroristes.
Il critique aussi froidement Manuel Valls chaque fois que ce dernier évoque la possibilité d’une attaque chimique : Le français pour “Ça donne de mauvaises idées. « Rassurez-vous, Monsieur le Premier ministre.