Carlos Martens Bilongo Origine Parents – Carlos Martens Bilongo sait qu’il est destiné à être la voix de ceux qui ne sont pas entendus. En fait, il considère son élection comme une intervention quasi divine. Son premier discours public à la chambre basse du Parlement français a provoqué un émoi qui aurait dû s’estomper maintenant. Carlos Martens Bilongo, délégué du Val-d’Oise depuis cinq mois seulement, tentait de poser une question au gouvernement le 3 novembre 2022 lorsqu’il a été interrompu par un
Une gifle pour le Français qui est né de parents protestants congolais en France, a été partiellement élevé par des prêtres catholiques belges (l’un d’eux, le père Carlos Martens, est décédé avant sa naissance), et ne voulait rien de plus que remplir son rôle en tant que chef élu de la nation.
Carlos Martens Bilongo, 31 ans, habitant de toujours de Villiers-le-Bel dans le Val-d’Oise, a récemment été investi par le Nouveau parti populiste écologiste et socialiste (NUPES), l’alliance historique du Front de gauche pour l’indépendance (LFI ), le Parti vert d’Europe, le Parti communiste français et le Parti socialiste français. Dans l’une des circonscriptions les plus gagnables de France, Carlos Martens Bilongo a été élu au parlement. Il dut encore se pincer pour y croire. Portrait.
ingéré à un âge précoce
Un sentier “rocambolesque”. La vie est pleine de rendez-vous, et nous devrions tous nous assurer d’assister à notre juste part. La teneur de notre rendez-vous, qui s’est tenu ce matin dans un café de l’Est parisien, est posée. Pour attendre un RER en retard, vous sautez votre entretien d’embauche. Vous avez reçu un, deux, trois, quatre, cinq ou six refus ; votre CV n’a pas la bonne adresse et la pègre se nourrit de votre désespoir.
Cadet d’une fratrie de six, il est un “tempérament insoumis depuis le plus jeune âge” rebelle qui a été envoyé au lycée malgré les prédictions d’échec de plusieurs de ses professeurs de collège. Carlos Martens Bilongo est actuellement en train de prendre une tasse de café avec le gang. Il est désormais considéré comme un membre de leur équipe. Titulaire d’un BAC en études professionnelles et d’une licence en marketing, il enseigne actuellement l’économie et le droit au Lycée Alexandre Dumas. Il n’y a pas d’échec inévitable.
Président de l’Association Vel et Bel Carlos Martens Bilongo
Cependant, tout le monde n’a pas droit au même nombre d’événements programmés que les autres. Certains de ses amis de Villiers-le-Bel n’avaient même jamais vu l’océan, encore moins fait du ski. Donc, maintenant, nous savons que Carlos Martens Bilongo est pris. Saibou Doucouré (Réveillons nous pour demain) a fondé l’organisme Vel et Bel, dont il est l’actuel président, en 2009.
Pour les jeunes et les personnes âgées de Villiers-le-Bel, elle organise des sorties culturelles, ainsi que des voyages humanitaires au Sénégal et jusqu’à Miami. Elle fait la promotion de la pratique du vélo, des jardins communautaires au pied des immeubles d’habitation et, en gros, de tout ce qui est faisable, comme en témoigne la citation suivante tirée de sa page Facebook : “en plus de la solidarité on prévoit pleins d’activités, voyages, etc.. .” Quand j’ai plus de temps pour dormir, il se passe toujours quelque chose.
L’association, composée de 70 bénévoles, a fourni de la nourriture sous forme de “paniers de repas” aux habitants de Villiers et des environs lors de la récente crise sanitaire. Pour le bien des 8 000 familles qui ont été aidées. Mais si vous distribuez 100 paniers à 100 familles en un mois et que chaque panier ne dure qu’une semaine, vous leur donnez l’équivalent de trois semaines de nourriture. Et lorsque les subventions gouvernementales ne se concrétisent pas, le mécontentement monte et Carlos Martens Bilongo prend les choses en main.
Son ennemi est la précarité. Chaque jeune se voit garantir 1063 euros d’autonomie, les prix sont gelés, et les associations reçoivent des financements pour aider à lutter contre l’abandon de l’État tant dans les quartiers urbains que dans les campagnes politiques. Peu importe l’âge de la retraite à 60 ans : “ici, les gens finissent brisés par la vie, brisés par le travail”. Carlos est un commentateur averti. Sa mère était aide-soignante et elle est décédée à l’âge de 56 ans.
Dans cinq réunions sur six, Carlos Martens Bilongo entend dire que Jean-Luc Mélenchon insiste pour titulariser les 800 000 contractuels du secteur public. Il avait une semaine de travail de 18 heures l’année dernière, mais seulement 11 cette année, ce qui lui donne plus de temps pour faire campagne et diffuser son message.
Éducateur et homme politique français Carlos Martens Bilongo est né le 31 décembre 1990 à Villiers-le-Bel, en Ile-de-France. Dans le quartier de Derrière-les-Murs-de-Monseigneur, il grandit avec ses six frères et sœurs. Il décide ensuite d’intégrer une école de commerce et s’inscrit à Isifa plus valeurs cfa Paris Sud, dont il sort en 2012 avec un BTS d’études techniques et commerciales.
En 2019, il commencera à enseigner l’économie et le droit au lycée Alexandre-Dumas dans l’arrondissement parisien des Hauts-de-Seine.En plus de ses fonctions d’enseignant, il est également coach sportif. En plus de son travail dans le monde des affaires, il s’implique activement dans le secteur associatif en tant que membre du groupe de défense de l’environnement Triangle de Gonesse.
Lors d’une séance de questions au gouvernement le 3 novembre 2022, Grégoire de Fournas, délégué du Rassemblement National, l’interrompt au cri « Qu’il(s) retourne(t) en Afrique ! alors qu’il évoque le sort des migrants en Méditerranée. La remarque raciste suscite l’indignation dans l’hémicycle, et Yal Braun-Pivet est contraint d’arrêter la réunion.
Ce nouveau législateur est issu de la récente coalition de gauche connue sous le nom de Nupes. Carlos Martens Bilongo, un professeur d’économie insoumis de 31 ans, candidat à François Pupponi dans la 8e circonscription du Val-d’Oise, l’a emporté avec plus de 62 % des suffrages.Vêtu d’un costume bleu foncé, lunettes noires perchées sur le nez et air sérieux, Carlos Martens Bilongo est aujourd’hui dans sa deuxième nouvelle demeure, l’Assemblée nationale.
Le son des tambours de la Garde républicaine résonnait dans la salle des pas perdus, comme avant chaque séance de l’après-midi. C’était une occasion solennelle, symbolique et même impressionnante, mais le législateur distrait n’a pas semblé s’en apercevoir. Les paillettes et les paillettes du palais sont agréables, mais j’ai hâte de commencer à me battre pour mes convictions. Avec conviction, il déclare : « Je suis ici pour la bataille.
Le mot “combat” apparaît à plusieurs reprises dans les discours du jeune législateur. Sur son gilet de costume se trouve une épingle en forme de triangle rouge, représentant l’emblème de la résistance. “Cela reflète beaucoup mon état d’esprit de résistant”, a-t-il expliqué, “d’aller toujours au devant des projets ou devant les combats et d’être là où personne ne m’attend.”
Carlos Martens Bilongo a toujours été le pion de quelqu’un, depuis aussi loin qu’il se souvienne. Délégué de classe « dès le plus jeune âge » en primaire et secondaire. Et puis il y a eu le lycée. Un militant associatif qui se tourne progressivement vers la politique. Le jeune législateur reconnaît l’importance de s’exprimer.
Rosa Parks, symbole de la lutte contre la ségrégation raciale aux États-Unis, est son modèle depuis l’âge de 10 ans : « Elle était assise et elle ne s’est pas levée. ou quelle était la couleur de leur peau ; c’était un individu unique. L’état actuel de l’humanité et de la civilisation est très triste. Je pense que cette affirmation est quelque chose que nous pourrions utiliser en ce moment. Tout le monde devrait avoir la chance de vivre librement et équitablement.
Son père travaillait comme « chauffeur des consuls des ambassades » et « a toujours travaillé au SMIC ». La mère du législateur était une aide-soignante à domicile qui “essayait de travailler un peu pour subvenir aux besoins du ménage”. Sa mère, Lionel Jospin, notamment, était une passionnée de politique.
Le soir du 21 avril 2002 : le drame
Le 21 avril 2002, quelque chose d’inédit se produit dans la vie politique française : un candidat d’un parti considéré comme l’extrême droite de l’échiquier politique se présente au second tour d’une élection présidentielle. Lionel Jospin a été battu par Jean-Marie Le Pen et la gauche n’était pas représentée au second tour de l’élection présidentielle. Une nuit qui allait faire monter les larmes aux yeux de sa mère et devenir “déterminante” dans la formation de l’engagement politique de Carlos Martens Bilongo alors qu’il n’avait.
Aux élections législatives, les jeunes insoumis ont battu un poids lourd politique dans le Val-d’Oise, battant François Pupponi avec plus de 62 % des voix dans l’une des circonscriptions les plus pauvres de France. Carlos Martens Bilongo est conscient de ses propres responsabilités : « Sarcelles, une ville pauvre ; Garges-lès-Gonesse ; une ville pauvre ; Villiers-le-Bel ; une ville semblable. Je suis là pour le faire, et les gens ont envoyé à l’Assemblée aujourd’hui pour faire entendre leur voix après une si longue attente.