Aurélien Pradié Compagnon

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Aurélien Pradié Compagnon
Aurélien Pradié Compagnon

Aurélien Pradié Compagnon – Né le 14 mars 1986 à Cahors, Aurélien Pradié est un homme politique français. Aurélien Pradié a été élevé dans une famille de chefs d’entreprise. Il vient d’une famille qui dirige une petite entreprise dans le secteur agricole. Son frère est boulanger. En 2007, son père souffre d’un AVC et devient paraplégique.

Il s’inscrit à la faculté de droit de Toulouse mais abandonne rapidement ses études, repartant finalement sans diplôme. De 2012 à 2015, il est intérimaire au sein du cabinet du président du département de l’Aveyron. En 2014, il a passé six mois aux côtés d’Andros. Puis, à partir de 2015 et jusqu’en 2017, il s’est concentré sur le conseil auprès d’Humani Conseil.

Aurélien Pradié est un double affilié UMP/Républicain. En 2008, il est nommé avocat général du Lot et débute ainsi sa carrière politique. Avant de devenir conseiller régional pour l’Occitanie, il a été maire de Labastide-Murat et chef de la communauté de communes Causse de Labastide-Murat. Aurélie Pradié a été élue pour représenter la 1ère circonscription électorale du Lot au Parlement français lors des élections législatives de 2017.

A la suite de l’élection de Christian Jacob à la présidence du parti en 2019, il assumera le rôle de secrétaire général de LR. Aux élections régionales de 2021 en Occitanie, il sera chargé de la liste des candidats du Parti Républicain. Au second tour, il a obtenu 18,22 % des voix, ce qui s’est traduit par 21 sièges au conseil régional. La campagne présidentielle de Valérie Pécresse en 2022 aura Aurélien Pradié comme l’un de ses six porte-parole. La même année, il est élu pour un second mandat à la Chambre des représentants.

Le 12 septembre 2022, lors d’un entretien au Figaro, Aurélien Pradié annonce formellement sa candidature à la présidence du parti Les Républicains. Le vote aura lieu en décembre 2022. Le 4 décembre 2022, Aurélien Pradié termine troisième avec 22,29% des électeurs après un premier tour décevant.

Il est le troisième challenger du parti lors de cette élection. Aurélien Pradié, 36 ans, représente la “droite sociale” et est parfois critiqué pour être trop à gauche même au sein de son propre camp. Préoccupé par les questions de pauvreté, de handicap et de violence contre les femmes, il plaide pour des visas « probatoires » pour les immigrés et appelle à une réforme des retraites en augmentant le nombre de retraités plutôt qu’en abaissant l’âge de la retraite. Voici 5 faits sur le législateur du Parti républicain que vous devriez connaître.

Son handicap est très important pour lui.

Ceux qui s’identifient aux droits sociaux ont tendance à être plus sensibles aux discussions sur le handicap. À quelle fin? Suite à un accident vasculaire cérébral, son père est aujourd’hui paralysé. Cette personne affirme également avoir vécu “douloureusement la maladie de (son) père”, et qu'”elle a forgé mes fiançailles”.

A noter qu’il a co-présidé une mission parlementaire sur les droits fondamentaux des adultes handicapés et proposé une législation favorisant l’inclusion des enfants et adolescents handicapés dans les écoles publiques, qui ont toutes deux été rejetées à la majorité.

C’est la faute de Jacques Chirac

Aurélien Pradié admire Jacques Chirac, même s’il affirme qu’il n’a pas de mentors. Il clame fièrement : “A 14 ans, certains adoraient Batman, moi c’était Chirac”, à la manière qui sied à l’héritier d’un grand-père corse qui avait une affection particulière pour l’ancien dirigeant du pays.

Le représentant inclut également Georges Pompidou dans son panthéon personnel. Il dit : “J’ai lu tous leurs discours et tout ce qui a été écrit à leur sujet, je me suis même mis dans les arts de premier ordre”, en faisant référence aux deux anciens présidents.

Il était le deuxième plus jeune ministre de la Défense de France. le dos de Jean Sarkozy

En 2008, après une campagne “en motocyclette” pour laquelle il retardse ses études de droit (qu’il ne terminera jamais, il n’a pas de diplôme), il est élu conseiller général du Lot. Aurélien Pradié est désormais le deuxième plus jeune ministre français de l’histoire, derrière un certain… Jean Sarkozy.

Il est le plus jeune maire de son département du Lot, ayant été élu maire de Labastide-Murat en 2014 malgré sa candidature face à son ancien professeur communiste. Il a été élu pour la première fois au Parlement français en 2017 et depuis 2021, il est également conseiller régional pour la région Occitanie.

Les autorités l’ont jugé inéligible.

Après avoir vu le financement de sa campagne législative de 2012 invalidée (au cours de laquelle il a perdu face au candidat du PRG), Aurélien Pradié a été déclaré inéligible pendant un an en 2013. Il se disait dans le rouge car la banque avec laquelle il suivait ses finances lui avaient refusé un prêt à la dernière minute. Mon prêt bancaire a été refusé car je n’avais pas suffisamment de fonds sur mon compte. Après avoir réalisé à quel point il est difficile de faire de la politique, « j’ai ressenti un terrible sentiment d’injustice », a-t-il déclaré.

Il a la réputation d’être « turbulent » au Congrès.

Comme il l’expliquait au Monde, qui avait consacré un article aux jeunes députés LR tapageurs, “être à droite, c’est être capable d’être turbulent, de dire des choses même si elles dérangent”. Il s’en expliquera plus tard au Parisien : “Dans le Lot, j’étais vraiment le rebelle. Tout ce qui touche à la punition me rend nerveux.

Aurélien Pradié aime se faire remarquer et chahuter sur les bancs de l’hémicycle, particulièrement à la rencontre de ses collègues de la majorité. Même si l’ancien président de l’Assemblée nationale, François de Rugy, l’a déjà appelé à être “plus sage”.

Aurélien Pradié Compagnon

PORTRAITMalgré son opposition à la réforme des retraites des Républicains, l’ancien numéro deux du parti a réussi à se faire un nom en France à seulement 37 ans. Un plan d’attaque ? Ce critique féroce d’Emmanuel Macron mise son avenir politique sur sa popularité dans le Lot. S’inspirant de son idole, l’ancien président français Jacques Chirac.

Il s’est présenté en Mobylette en 2008, en Méhari jaune en 2012 et en 4L décappée en 2017. Aurélien Pradié plaisante : “Je suis un peu à court d’idées pour la prochaine fois”, en fourrant ses bagages dans le coffre. de l’ennuyeux Peugeot qui l’attend à l’aéroport de Toulouse.

Une demi-heure plus tard, mercredi 24 mai, le député lotois interpelle une centaine de membres du parti Les Républicains (LR) dans une salle du centre-ville. Après avoir pris fermement position contre la réforme du système de retraite qui a profondément divisé sa famille, il est parvenu à se rassurer sur leur soutien.

Je ne pense pas que les justes seront épuisés par cette séquence ; nous avons peut-être même sauvé son honneur, se défend-il. Impossible d’ignorer l’enthousiasme avec lequel il décrit « l’aventure formidable qui commence ici, avec vous, et qui doit nous conduire »… Les applaudissements sont si forts qu’on n’entend pas ce qu’il dit ensuite. On peut le déduire. Aurélien pourrait se présenter à la présidentielle, selon son ami le député du Pas-de-Calais (LR) Pierre-Henri Dumont. Au moins, il a des supporters qui espèrent le meilleur.

Ce bel homme de 37 ans, indiscipliné, avec un accent chantant et peu connu avant le début du débat sur la retraite. Même si l’examen par l’Assemblée nationale du texte relatif à l’âge de la retraite à 64 ans doit s’achever le 17 février à minuit, il continue de raconter des histoires.

Il réclame une assurance parce qu’il a œuvré pendant des semaines pour que toute personne entrant sur le marché du travail avant 21 ans puisse prendre sa retraite avec le reste des Français après avoir cotisé 43 rentes (au lieu de 44 comme le prévoit le plan gouvernemental).

Je t’avais dit que ça allait exploser…

Olivier Dussopt, qui maintient le flotteur à flot, réclame une “réponse sans ambiguïté et définitive”. Le député LR, dit-il, a accéléré la débâcle, et toute l’opposition lui a emboîté le pas, appelant le ministre du Travail à “répondre” au “collègue Pradié”.

L’homme politique français Aurélien Pradié est né le 14 mars 1986 à Cahors, dans le Lot. Un frère et des parents qui dirigent un petit commerce de noix dans le Lot sont ses compagnons constants tout au long de son enfance. Il mène sa première campagne sur un Mobylette, bat son ancien instituteur et devient, à l’âge de 22 ans, le plus jeune consultant général de France.

C’est la fin de sa carrière politique. La ville de Labastide-Murat l’a élu maire en 2014. L’année suivante, il assume le rôle de conseiller régional occitanie au sein du parti “union de la droite et du centre”. En 2017, il est élu député de la première circonscription du Lot pour le parti politique Les Républicains.

Il est un membre actif de la communauté politique et l’auteur d’une proposition de loi en 2018 portant sur l’inclusion des étudiants handicapés. En 2019, il propose une loi pour lutter contre les violences conjugales, et elle est votée à l’unanimité. La même année, il est nommé secrétaire général du parti Les Républicains, par Christian Jacob. En 2020, il reçoit le prix « Adjoint de l’année » du Trombinoscope.

En 2022, il est réélu député de la première circonscription du Lot, et il défie Éric Ciotti et Bruno Retailleau pour la présidence du parti. Le jeune député lotois est un fervent partisan de la droite sociale et rêve de se lancer dans un jeu de trouble-fête avec ses rivaux, Eric Ciotti et Bruno Retailleau, pour le contrôle du parti.

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