Anne Kraatz Age – Les lettres d’amour des dieux de l’Olympe sont ornées d’écritures arabes. Ici vous pouvez voir ce qui est gravé en bronze sur la porte Saint-Pierre à Rome. Le comportement de la cour du Vatican tout au long de la Renaissance est aussi inattendu que peu catholique.
En fait, les papes de cette époque et leurs proches ont mis de côté leurs vœux de chasteté, de pauvreté et d’humilité et se sont plutôt livrés à la poursuite du plaisir sensuel, à l’accumulation de richesses somptueuses et aux rites sataniques du paganisme grec et égyptien antique. .
Ces papes ont commis tous les « péchés capitaux » imaginables, allant de se déguiser en Turcs ou en César pour le carnaval, en passant par des activités sexuelles effrénées avec des femmes, des hommes, des esclaves et même des enfants, en se régalant de banquets somptueux et en collectionnant des bijoux coûteux. Ce livre, qui regorge d’exemples scandaleux, explique comment et pourquoi de hauts dirigeants de l’Église ont pu en arriver à adopter de telles pratiques.
Une enquête sur les raisons pour lesquelles les papes de la Renaissance se sont livrés à des comportements répréhensibles d’un point de vue chrétien, comme posséder des palais de plaisance, se livrer à un comportement sexuel effréné, organiser des fêtes somptueuses et amasser de vastes fortunes. Elle replace leurs actions dans la culture dans laquelle ces représentants de l’Église ont grandi. E2023 Électre
Les auteurs de ce livre veulent prouver que les choix vestimentaires des individus reflètent leurs pensées et leurs sentiments les plus intimes à un moment donné. Une étude du lien entre la pensée philosophique et la matérialité vestimentaire pourrait trouver un terrain fertile dans les caractéristiques mathématiques et géométriques de la pensée néoplatonicienne de la Renaissance, préoccupée par la définition de la beauté.
Cette période a donc été choisie pour tester une nouvelle approche d’analyse de la mode basée sur des sources textuelles et visuelles. Ici, la silhouette, c’est-à-dire les contours du corps habillé, est définie comme une composante constitutive et normative de la mode.
Cette forme est symbolisée par une figure géométrique archétypale qui sert à la fois de symbole et de guide technique ; cette figure peut être un rectangle ou un triangle, selon que le corps social adoptant s’identifie davantage à l’éthos asexué mais masculin de la période néoplatonicienne ou aux sensibilités courtoises mais féminines de la fin de l’Europe médiévale.
Anne Kraatz est titulaire d’un doctorat. en ESPH. Elle a écrit plusieurs livres, dont certains ont été traduits dans d’autres langues, sur l’histoire des affaires, du textile et de la mode. xPh.D. en histoire. la candidate Anne Kraatz. Elle a écrit de nombreux livres, catalogues de musées et articles sur l’histoire du textile, de l’habillement et du commerce. Le livre qu’il a écrit sur le sujet, “Dentelles”, a été publié dans la collection Textures et a depuis été traduit dans de nombreuses langues différentes.
Dans le même volume, elle a également écrit velours, qui a été publié séparément. Son livre le plus récent s’intitule « Mode et philosophie : ou le néoplatonisme en silhouette, 1470-1500 ». Belles Lettres, 2005 ; elle y présente une méthode analytique pour décrypter les différents styles vestimentaires en fonction des philosophies dominantes de leurs époques respectives. En 1983, elle est chargée de monter une exposition à la Galleria palais de Paris.
Pour quelle raison cette mode est-elle préférée aux autres ? Comment les gens d’une certaine époque décident-ils quoi porter ? Est-ce le résultat du hasard ou de la frivolité forcée de quelques-uns ? Ou bien, les vêtements servent-ils à refléter matériellement la vision du monde dominante à un moment donné, une vision adoptée par la société dans son ensemble ? Ce livre vise à prouver que les vêtements peuvent révéler beaucoup de choses sur les pensées et les sentiments intérieurs d’une personne.
Une étude du lien entre la pensée philosophique et la matérialité vestimentaire pourrait trouver un terrain fertile dans les caractéristiques mathématiques et géométriques de la pensée néoplatonicienne de la Renaissance, préoccupée par la définition de la beauté.
Cette période a donc été choisie pour tester une nouvelle approche d’analyse de la mode basée sur une combinaison de sources textuelles et visuelles. Ici, la silhouette, c’est-à-dire les contours du corps habillé, est définie comme une composante constitutive et normative de la mode.
Ce contour est représenté par une figure géométrique archétypale unique qui sert à la fois de symbole et d’outil : soit un rectangle, soit un triangle, selon que le corps social adoptant s’identifie davantage à l’angélisme asexué mais masculinisant de l’époque néoplatonicienne ou à l’angélisme courtois mais la sexualité féminine à la fin du Moyen Âge.
D’autres systèmes de pensée et de mode ont peut-être été plus marquants à différents moments de l’histoire, mais l’approche présentée ici devrait permettre d’identifier les interdépendances entre eux.
Pour quelle raison cette mode est-elle préférée aux autres ? Comment les gens d’une certaine époque décident-ils quoi porter ? Est-ce le résultat du hasard ou de la frivolité forcée de quelques-uns ? Ou bien, les vêtements servent-ils à refléter matériellement la vision du monde dominante à un moment donné, une vision adoptée par la société dans son ensemble ? Ce livre vise à prouver que les vêtements peuvent révéler beaucoup de choses sur les pensées et les sentiments intérieurs d’une personne.
Une étude du lien entre la pensée philosophique et la matérialité vestimentaire pourrait trouver un terrain fertile dans les caractéristiques mathématiques et géométriques de la pensée néoplatonicienne de la Renaissance, préoccupée par la définition de la beauté. Cette période a donc été choisie pour tester une nouvelle approche d’analyse de la mode basée sur une combinaison de sources textuelles et visuelles.
Ici, la silhouette, c’est-à-dire les contours du corps habillé, est définie comme une composante constitutive et normative de la mode. Ce contour est représenté par un simple archétype géométrique qui sert à la fois de symbole et d’outil : soit un rectangle, soit un triangle, selon que le corps social adoptant s’identifie davantage à l’angélisme asexué mais masculinisant de l’époque néoplatonicienne ou à l’angélisme courtois mais féminin.
D’autres systèmes de pensée et de mode ont peut-être été plus marquants à différents moments de l’histoire, mais l’approche présentée ici devrait permettre d’identifier les interdépendances entre eux. Anne Kraatz est titulaire d’un doctorat du Pratt Institute of Higher Education. Elle a écrit plusieurs livres sur le développement du commerce, du textile et de la mode.
En conclusion, au 2 septembre 2022 : En Russie, un riche homme d’affaires est récemment décédé dans des circonstances mystérieuses. Poutine : Vladimir Poutine et les trois impasses. Énergie – Les entreprises françaises ressentent les effets du ralentissement économique.
Pourquoi cette approche plutôt qu’une autre option ? Qu’est-ce qui détermine les styles vestimentaires d’une certaine époque ? Est-ce le résultat aléatoire de la frivolité de certains qui s’impose à tous les autres ?
Ou bien le vêtement est-il le reflet matériel d’un système de pensée, adopté en masse par une société à un moment donné ? Ce livre vise à prouver que les vêtements peuvent révéler beaucoup de choses sur les pensées et les sentiments intérieurs d’une personne.
Une étude du lien entre la pensée philosophique et la matérialité vestimentaire n’aurait pas pu trouver un terrain plus fertile que les composantes mathématiques et géométriques de la pensée néoplatonicienne de la Renaissance, préoccupée par la définition de la beauté. Par conséquent, cette période a été sélectionnée pour tester une méthode d’analyse de la mode basée sur une nouvelle perspective sur les matériaux textuels et visuels.
Ici, la silhouette, c’est-à-dire le contour du corps au repos, est définie comme une composante constitutive et normative de la mode. Le rectangle ou le triangle, selon que le corps social adoptant s’identifie aux idéaux angéliques mais masculins de l’époque néoplatonicienne ou aux idéaux courtois mais féminins de la fin du Moyen Âge, est la représentation géométrique archétypale de cette silhouette.
Même si d’autres systèmes de pensée et de mode ont pu être plus valorisés à d’autres moments de l’histoire, l’approche présentée ici devrait permettre d’établir les liens qui les rendent dépendants les uns des autres à chaque instant. Anne Kraatz est titulaire d’un doctorat de la prestigieuse École pratique des hautes études. Elle a écrit plusieurs livres sur le développement du commerce, du textile et de la mode.