Alix Bouilhaguet Âge Wikipedia – Les auteurs de la biographie Valérie Trierweiler La Frondeuse, attaquées par la première dame pour atteinte à la vie privée, ont fourni mercredi des explications sur leurs agissements devant le tribunal de grande instance de Paris. Le différend porte sur des allégations selon lesquelles la Première dame aurait eu une liaison avec le député UMP Patrick Devedjian.
A l’issue de leur enquête, Alix Bouilhaguet de France 2 et Christophe Jakubyszyn, chef du service politique de TF1, ont appris leur relation, comme l’a expliqué Christophe Jakubyszyn ; néanmoins, il a souligné que ce n’était pas le but du livre de créer son «CV senior». Les auteurs étaient sous «forte pression» juste avant la sortie du livre, mais ils n’ont pas consulté Valérie Trierweiler à ce sujet, a déclaré le journaliste.
Il a expliqué : « Nous n’avons pas vérifié auprès d’elle, mais nous l’avons fait auprès de M. Devedjian », et M. Devedjian a menti. Selon le conseiller de Valérie Trierweiler, M. eFrédérique Giffard, le client « s’est senti trahi ». Pour paraphraser un vieux proverbe, M. eGiffard a poursuivi, “on rajoute de la fumée à la fumée” dans ce livre sur les rumeurs.
Le ministre de la Transformation du secteur public et de la Réforme de la fonction publique Stanislas Guerini s’est entretenu avec France Info le 16 novembre 2022 sur le conflit en Ukraine, l’évolution des retraites des fonctionnaires, le projet de loi 49.3, la politique d’immigration et l’inclusion des personnes en situation de handicap.
BOUILHAGUET, ALIX
Nous apprécions vraiment que vous soyez ici avec nous. La nouvelle vient de tomber que deux missiles ont été abattus en Pologne la veille ; certaines personnes soupçonnent la Russie d’être responsable ; devrions-nous être à l’affût ce matin?
A. TANTALUS GUERINI
Oui, je pense qu’il est important d’être extrêmement prudent, de bien saisir les faits d’abord et de réagir calmement et ensemble en période de grand péril; le président de la république a déjà franchi cette étape en s’entretenant avec le premier ministre polonais pour l’assurer du plein soutien de la France.
La Pologne est un État membre de l’Union européenne et de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe. Ainsi, il va sans dire que nous serions solidaires de nos alliés polonais. Je pense qu’il est important de commencer par établir les faits; les autorités polonaises l’ont fait, et c’est la bonne chose à faire.
BOUILHAGUET, ALIX
Vous avez dit que la Pologne est membre de l’OTAN ; qu’est-ce que cela implique? Cela signifie que la Pologne est protégée par l’alliance ; de plus, cela signifie que si l’un des membres de l’alliance est attaqué, tous les autres membres ont le droit de riposter. Est-ce le cas ?A. Tantale Guerini
D’abord, l’OTAN est une alliance, une alliance militaire, et donc, c’est une solidarité ; et depuis le début de ce conflit, force est de constater que Vladimir POUTINE tente de diviser, de diviser l’OTAN, d’empêcher un certain nombre de pays d’accéder à l’OTAN, et de se tourner vers l’OTAN ; et il a échoué. Et cela veut dire…
A. TANTALUS GUERINI
Je pense qu’il est évident que c’est la ligne qu’il faut tenir; dans mon cœur, j’insiste sur le fait que ce sont les Polonais qui montrent le plus de retenue et de retenue d’esprit; ce sont eux qui ne réagissent pas de façon excessive; ce sont eux qui partent en premier dans leur recherche d’une solution pacifique. L’article 4 des règles de l’OTAN le précise.
Non, je ne peux évidemment pas confirmer telle ou telle information ce matin ; une enquête est en cours et la France a promis tout son soutien à la Pologne dans la conduite de cette enquête et avant tout dans l’établissement des faits ; le président de la République l’a dit.
Cet événement tragique en Pologne ne doit pas nous faire perdre de vue ce qui se passe sur le sol ukrainien : des centaines de missiles et de drones sont tirés sur les villes ukrainiennes, et il n’est pas difficile de déterminer leur source et leur signification. Je ne crois pas qu’il soit nécessaire de renverser la situation; il y a un agresseur dans ce conflit.
Nous sommes de retour en France, où les discussions en cours entre les syndicats, les employeurs et le gouvernement ont porté sur le changement de l’âge de la retraite. Avez-vous eu des discussions sur la façon dont cela affecterait les fonctionnaires?
C’est crucial, vraiment. Nous voulons mettre en place une réforme de l’équité, et il semble logique que lorsque les règles changent dans le secteur privé, elles doivent aussi changer dans le secteur public. Donc, s’il doit y avoir une réduction de l’âge de la retraite pour le secteur privé, il doit y avoir également une réduction de l’âge de la retraite pour les employés de l’État. Cela me semble être une réforme de l’équité.
Oui, il existe des caractéristiques distinctives dans le secteur public qui expliquent la vulnérabilité ; tout comme il existe des systèmes qui mesurent la vulnérabilité dans le secteur privé, le secteur public a également ce qu’on appelle des « catégories actives », ou des travailleurs de première ligne qui font face à des risques uniques en raison de leurs postes.
Et si on abaisse l’âge de la retraite, faut-il aussi changer l’âge auquel on peut se retirer de son emploi ? Pour être plus précis, l’âge de la retraite pour les fonctionnaires est de 67 ans, alors qu’il est de 70 ans dans le secteur privé.
Pour l’instant, cependant, ce n’est pas un sujet qui est sur la table de modifier effectivement cette limite d’âge de départ à 67 ans pour la Fonction publique ; cela ne fait pas partie des discussions ou des sujets qui ont été mis sur la table. Nous reviendrons sur l’ensemble de ces échanges en fin de cycle animé par Olivier DUSSOPT et moi-même pour la Fonction publique.
Il y a des conversations en cours. Vous disposez d’une majorité relative à la Chambre des représentants, et non d’une majorité absolue ; à ce stade, il y a peu de chances que vous puissiez trouver un consensus sur cette réforme ; pouvez-vous garantir qu’il ne passera pas avec seulement 49,3 votes en sa faveur aujourd’hui ?
Depuis le début de cette législature, alors qu’on nous disait qu’il serait extrêmement difficile, voire impossible, de trouver une majorité et de faire avancer le pays, nous avons montré que ce n’était pas le cas sur de nombreux dossiers cruciaux, malgré le fait que nous tendions trop s’éparpiller lors d’un débat politique.
Qu’est-ce que les Français trouvent le plus significatif ?
Que nous ont dit les candidats à la présidentielle ? Respectez notre travail et préservez notre pouvoir d’achat. On a trouvé des majorités hier et aujourd’hui sur le libellé de l’assurance-chômage. Accélérer le rythme de la transition écologique ; le Sénat a voté contre les premiers pronostics sur les énergies renouvelables.
Protéger les Français, déployer la police : c’est aussi ainsi que fonctionnait la loi de programmation du ministère de l’Intérieur. Vous voyez que lorsqu’on s’en tient à cette ligne, on trouve des majorités sur des questions d’intérêt général. Je suis convaincu, et je vais vous répondre très directement : oui, on peut trouver des majorités aussi sur les retraites.
Évidemment, ce n’est pas une garantie, et nous le savons. Il existe des outils constitutionnels qui devraient nous aider à aller de l’avant. Cependant, ce matin, je peux vous dire avec une certitude absolue que nous n’envisageons pas d’utiliser la version 49.3. La retraite est un domaine où je crois que nous pouvons trouver une opinion majoritaire.
L’obsession de Jean-Luc MELENCHON est de faire tomber le gouvernement. Il tient au 49.3 parce qu’il veut déposer des résolutions de censure et faire tomber le gouvernement, c’est pourquoi il s’y intéresse tant.
Donc, je crois que quand on est responsable, comme c’est le cas chez nous, et quand on a un mandat de ses électeurs, il faut se rappeler que le président de la République s’appelle Emmanuel MACRON et qu’il a été légitimement réélu par le français sur la base d’un programme dont les pensions faisaient partie intégrante. Comme le font les bonnes démocraties, nous avançons conformément au mandat qui nous a été confié; Je crois qu’une majorité peut être trouvée.
Espérons que lundi arrive bientôt. Emmanuel MACRON n’est pas assez dur sur l’immigration. Qui a dit ça? Le socialiste Gérard COLLOMB, son ancien ministre de l’intérieur et allié de première heure, n’est pas de droite. Est-il juste de dire que Gérard COLLOMB vous qualifie d’« extrémiste de gauche » ?
Lentilles de contact. Tout le monde a du mal à s’adapter à la routine du lundi. Les téléspectateurs de “6h info” de France 2 ce matin en ont eu la preuve. Un peu avant 6h du matin, Samuel Etienne a pris les ondes pour présenter un tout nouvel épisode de “6h info”,
l’émission qui passe avant “Télématin” de Julia Vignali et Thomas Sotto. Mais alors qu’il accueillait les lève-tôt réunis autour de leurs téléviseurs, ils aperçoivent un journaliste se faufilant par derrière et prenant rapidement place à la table où Clémence de la Baume était assise pour présenter le magazine.